Le couillonavirus est apparu officiellement début décembre à Wuhan. La Chine fait une communication officielle à l’OMS fin décembre 2019. En fait, il était déjà là depuis au moins septembre.
En octobre, la délégation française aux Jeux mondiaux militaires à Wuhan, est rentrée malade.
« Valentin a loupé trois jours d’entraînement. Moi, j’ai été malade aussi. […] J’ai eu des trucs que je n’avais pas eus avant. On ne s’est pas plus inquiétés que ça parce qu’on n’en parlait pas encore », poursuivait l’athlète française, selon laquelle beaucoup d’athlètes des Jeux mondiaux militaires […] ont été très malades.
Le 8 janvier, la Thailande devient le premier pays hors Chine à confirmer un cas.
La news commence à apparaître sur le radar des gens informés. Puis c’est le coup de massue : le 22 janvier. La Chine annonce le “lockdown” de Wuhan, une ville de plus de 10 millions d’habitants.
Choc.
La Thailande, la France et d’autres refusent de fermer leurs frontières aériennes.
La Thailande va ainsi continuer à accueillir des touristes de Chine durant tout le mois de janvier, y compris des vols directs entre Wuhan et Bangkok (jusqu’à 6 par jour).
Plus de 800 000 Chinois visiteront la Thailande durant le mois…
Parallèlement, la Chine s’offusque de toute tentative de fermer les frontières aériennes. Pourquoi ?
Février, les premières études sortent (y compris analyse du génome du virus). Des vidéos fuitent de Wuhan (des mecs qui tombent dans les rues, des couloirs d’hôpitaux où s’entassent les malades).
La Chine monte un hôpital en 7 jours (avec force vidéo pour édification des masses populaires). Image qui marquera les esprits.
L’OMS minimise la menace. Et refuse de parler de “pandémie” (alors que le virus est déjà bien étalé dans le monde).
La Chine mène une lutte héroïque. Et pourtant n’utilise pas cela comme propagande positive. Elle avait une occasion unique d’apparaître comme le sauveur de l’humanité, la première ligne de défense dans cette “guerre” (mot utilisé Xi Jinping, ensuite repris par l’adolescent troublé, Macron, le président français, et par tous les autres courtisans, agents pro-chinois et clients ici ou ailleurs).
Et pourtant, non.
La Chine arrête les médecins lanceurs d’alerte, etc.
En fait, c’est comme si la Chine faisait tout… pour que le virus se développe en dehors de ses frontières.
En France, on nous joue le pipeau “le virus n’a pas de passeport”, mantra stupide et gauchisant repris par les petits marquis et les Robespierre français.
Puis vient le con-finement. Plus ou moins fort selon les pays. La Suède dit non. L’Angleterre dit non, avant de subitement lâcher face aux forces de l’appareil de propagande.
Toutes les études portant sur des séries de cas (Italie maintenant) montre la même chose : le virus tue des vieux malades, principalement. Malgré cela, l’hystérie collective se développe.
La France est en pointe dans la luttre contre le professeur Raoult, et ses idées “nauséabondes” (ils ont au début un peu essayé de le dépeindre en mec d’extrême-droite voire même antisémite, pas de bol c’est un humaniste qui a bcp travaillé en Afrique, et sa femme est juive).
Nombreuses raisons pour un tel comportement (conflits d’intérêts, lutte de pouvoir, pognon bien entendu, avec le laboratoire Gilead etc.)
Bien sûr.
Mais concrètement, c’est comme si les autorités françaises faisaient tout pour… augmenter les effets de la pandémie.
Ce comportement se retrouve dans de nombreux pays.
Y compris encore début juin, lorsque le 9, le triste sire Jérôme Salomon, Directeur général de la santé, a envoyé une circulaire dénonçant l’usage des antibiotiques…
Le HCSP recommande, de manière générale, qu’aucune antibiothérapie ne soit prescrite chez un patient présentant des symptômes rattachés à un Covid-19 confirmé.
Dans l’infection par le SARS-CoV-2, la littérature n’apporte pas d’argument pour proposer la prescription d’azithromycine.
Des mois après, on continue le délire sur le mode : “restez chez vous, prenez du doliprane, et quand vraiment vous serez en train de crever, on viendra vous chercher“.
Ne cherchez surtout pas de traitement.
Là encore, le 9 juin, comment expliquer une telle constance, et surtout une telle durée dans le fanatisme ?
La conclusion, obsédante, revient toujours : ils cherchent à tout faire pour que la pandémie fasse des dégâts.
Et là encore, ce comportement est partagé par de nombreux pays.
Autre exemple : très vite on a identifié les personnes âgées comme le principal groupe à risque.
Ca n’a pas empêché New york ou l’Angleterre par exemple, de renvoyer dans les hospices des vieux malades du Covid, sans précaution, sans isolement.
More than 4,500 recovering coronavirus patients were sent to New York’s already vulnerable nursing homes under a controversial state directive that was ultimately scrapped amid criticisms it was accelerating the nation’s deadliest outbreaks
(source article AP)
Cette circulaire datait du 23 mars… Pourquoi ?
Et pourquoi on retrouve la même “incompétence” et les mêmes “erreurs” ailleurs ?
Angleterre par exemple.
Hospitals’ deadly betrayal: Doctors sent elderly patients back to care homes despite KNOWING they had coronavirus but did not tell staff and triggered new outbreaks
(source DailyMail)
En France, une autre méthode fut appliquée : la méthode rien.
Le sujet des Ehpad fut soigneusement “oublié”. Pratique pour bien faire des ravages parmi les vieux, et pour augmenter les bilans…
Cet article évoque ce scandale.
Depuis le début de cette crise sanitaire sans précédent, une indifférence morbide plane sur les 700 000 résidents des différents types d’établissements privés ou publics accueillant des personnes âgées
En France, le professeur Christian Perronne, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garche, a publié un livre-réquisitoire : “Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ?“.
Ce titre révèle parfaitement le coeur du problème : ils ont tout fait de travers !
Tout, absolument tout.
Mais Perronne s’arrête aux “erreurs”, l’incompétence, l’arrogance, les luttes de chapelle…
Oui bien sûr.
Mais deux facteurs principaux démontrent qu’il s’agit de quelque chose de plus sinistre :
-on peut se tromper au début, quand le virus est inconnu et qu’on ne dispose pas suffisamment de données… Mais 7 mois après ? Pourquoi continue t-on à systématiquement se “tromper” ? Pourquoi une telle constance dans l’erreur ?
-on peut accepter l’excuse de l’incompétence dans tel ou tel pays (histoire, institutions, formations, voire simplement habitudes)… Mais pourquoi les mêmes “erreurs” se sont produites dans de nombreux pays, très différents les uns des autres ?
Le global et le temps longs… voilà les preuves circonstancielles de l’existence de la psyop, en arrière-plan, de l’exploitation opportuniste (comme on parle d’une maladie opportuniste) du couillonavirus.
Fast forward juillet. Pour éviter de laisser le cheptel recouvrer ses esprits après les épreuves du confinement et du déconfinement… On invente la “seconde vague”, les frémissements en Mayenne, Bretagne etc.
Puis cette énième manip permet d’imposer… le masque. On est reparti pour un tour.
Encore une fois une décision unilatérale, et de portée nationale… Alors qu’une fois de plus, la situation est totalement différente d’un territoire à l’autre ! C’était déjà le cas pour le con-finement. Pourquoi s’obstine t-on ?
Il s’agit de continuer à vous emmerder, d’affaiblir votre mental alors même qu’en vacances au grand air, les esprits pouvaient refaire une partie de leurs défenses naturelles.
Non.
Maintien de la pression. Des confinements “locaux” seront bien entendu imposés, comme c’est déjà le cas en Espagne, Australie par exemple.
Puis, je vous annonce déjà le scénario pour septembre : la rentrée scolaire…
Gros tam-tam à prévoir… Une fois de plus, alors que nous savons que les enfants ne sont pas touchés par le virus… la rentrée va mal se passer. Des parents hystériques et Karen se répondront en écho morbide avec les professeurs paresseux, gauchistes et opportunistes.
Toute l’armée des idiots utiles nous offrira un grand spectacle… scolaire.
L’objectif sera de maintenir la pression, globale, jusqu’à l’automne, les premiers frimats dans l’hémisphère nord… Les rhumes, les virus, la grippe… A ce moment, la “seconde vague” arrivera officiellement.
A moins que Trump soit battu le 3 novembre ! 😉
Si Trump est réélu, alors on peut raisonnablement prévoir l’émergence du couillonavirus version 2.0.
Covid 20.
Covid 21
Covid 22…
😉