
ARNm. L’un des mots-clés de la covidémence (avec Chine, peur, mensonge, folie, etc.).
Dès le début, nous nous sommes méfiés :
- une nouvelle biotechnologie jamais utilisée sur une telle échelle
- des sociétés pharmaceutiques à la manoeuvre, connues pour leur corruption insensée (et leurs très nombreuses condamnations en justice)
- un calendrier absurde (des pseudos “vaccins” conçus en UN WEEK-END… et ensuite “testés” et fabriqués en quelques mois).
… Toutes les lumières clignotaient au rouge. Rouge sang. Les incertitudes, les risques étaient là, sous nos yeux.
Avec le recul, nous savons désormais que cette technologie n’est pas aboutie, pire encore qu’elle est incontrôlable et donc dangereuse.
Face à tous les ravis de la crèche qui continuent d’y croire et à tous ceux qui ont -hélas- été injectés, vous devez leur mettre sous le nez les 3 anomalies congénitales qui définissent les produits de Biontech/Pfizer et Moderna :
QUANTITE
Personne ne peut contrôler/garantir la quantité de protéines (antigènes) produite dans chaque individu. Avec un vaccin classique, la dose peut varier mais l’amplitude est CONNUE, maîtrisée. Avec l’ARNm… c’est la loterie et surtout le grand écart. Certaines personnes produiront très peu d’antigènes (donc aucune efficacité), d’autres en fabriqueront des quantités très élevées et pendant un temps long (provoquant des effets délétères sur le système immunitaire et autres désordres physiologiques).
DISTRIBUTION
Personne ne peut contrôler/garantir… où exactement ces produits vont se balader dans le corps, ni quelles sont les cellules dans quels organes qui vont fabriquer les protéines. La biodistribution est incontrôlable.
FIDELITE
Personne ne peut contrôler/garantir la fidélité du “plan” ARNm. En clair, il y a des “décalages” réguliers dans le code ARNm (frameshifting)… conduisant à la fabrication de protéines Frankenstein (en plus de la protéine voulue).
1+1+1 = ?
Quand vous additionnez ces 3 anomalies… vous obtenez un produit qui n’est EN RIEN une formulation pharmaceutique destinée à être utilisée chez l’humain c’est-à-dire un produit offrant des garanties aussi nombreuses que serrées et un profil de risque bien établi.
Vous avez en lieu et place un truc grotesque qui n’a AUCUN SENS ; une insulte à l’intelligence et à la Nature.
C’est un truc infantile, excitant sur le papier mais dont la réalisation est une catastrophe. Il y a beaucoup de pensée magique dans ce procédé.
Vous voulez visualiser les promoteurs de la technologie ARNm ? Des mômes dopés au sucre qui s’extasient sur une maquette de l’Enterprise dans Star Trek… et qui affirment ensuite qu’ils vont construire le vaisseau spatial grandeur nature…
L’énormité du crime commis est telle, en terme d’échelle, qu’on se heurte à une sidération globale.
Avec des MILLIARDS DE DOSES INJECTEES… on se retrouve face à la Gorgone qui statufie le monde.
Voilà pourquoi, la prise de conscience prend du temps.
Au mieux, Trump s’en servira comme de l’arme absolue pour détruire une bonne fois pour toute le parti Démocrate (et ses nombreux complices). C’est ma thèse (un poil gonflée, je l’admets).
Au pire… un beau matin… plus personne ne parlera de ces produits, de cette technologie bidon.
Une vaste amnésie collective s’abattra sur le monde.
C’est l’hypothèse la plus probable.
Pour aller plus loin : https://redpilltimes.blogspot.com/2025/05/600-million-covid-shots-and-2-million.html
POST-SCRIPTUM
En plus des 3 anomalies “congénitales” des vaccins ARNm… d’autres vents contraires soufflent (liste non exhaustive).
D’abord, les “nanoparticules lipidiques”. Ca fait plus de 20 ans qu’on sait qu’elles sont problématiques (réaction inflammatoire, toxicité, dégradation dans l’organisme, difficultés de fabrication). Et on voit mal comment s’en passer (il faut un véhicule pour transporter le code ARNm, très fragile).
Ensuite, le procédé de fabrication. Il y en a deux (à ce jour). L’un est précis mais lent et coûteux. Le second permet une production de masse… mais il est sale (il provoque de nombreuses pollutions ADN variables -bien au-delà des normes en vigueur- qui peuvent poser d’autres problèmes dans le corps humain).
Oui, les fabricants ont utilisé la première version pour le test clinique et la validation… Oui, ils sont passés ensuite… au deuxième procédé industriel (très différent) en affirmant en toute simplicité “c’est kifkif aucune différence“. Et la FDA a répondu “ah bon d’accord, merci“. 😉
Enfin, parlons des conditions de conservation (et donc de distribution en aval). Il est très drôlatique de constater que les poissons rouges ont déjà oublié le coup des “supercongélateurs” (farce absolue). D’abord, le brouet devait impérativement être conservé à -70 degrés (!)…. Et ensuite ? Une simple glacière faisait l’affaire. 😉
Je vous laisse imaginer l’état du “code ARN” et des “nanoparticules lipidiques” à l’intérieur des fioles… après de multiples étapes, entre la sortie d’usine et la piqûre…
Imaginer une logistique parfaite, hyper rapide, sans le moindre accroc, des conditions de stockage optimales, une distribution finale impeccable et une préparation aussi précise qu’experte (car oui… chaque fiole doit être diluée avant utilisation !)… déclenchera une franche crise d’hilarité chez n’importe quel observateur de la condition humaine.
Une conclusion est-elle nécessaire ?
Personne ne peut prendre au sérieux de tels produits.