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Pognon

Les taxes douanières enivrées au pinard

“Les gens ne comprennent rien à rien. Autant se bourrer la gueule et mourir d’une cirrhose carabinée”.

J’ai osé célébrer les taxes douanières dans un article précédent. Crime sévère de nos jours.

Je maintiens que les Occidentaux n’y comprennent absolument rien en raison de décennies de formatage mental, au nom du “libéralisme” et de la “globalisation“, avec des pensées-réflexes du type “le libre-échange c’est bien“, “les taxes douanières c’est mal“, etc.

Tout est politique.

Il y a un principe que l’on cherche à imprimer dans votre cerveau : les frontières sont mauvaises (après tout une taxe douanière n’est jamais que la matérialisation d’une frontière pour le commerce de marchandises).

Cette obsession du libre-échange pour les biens et les services est le… levier qu’on a utilisé pour vous faire accepter d’ouvrir les frontières… aux hommes.

On vous a fait croire que l’un entraînait mécaniquement l’autre.

Mais pourquoi ? Il n’y a jamais de réponse argumentée. “Parce que”.

La suite de l’histoire, nous la connaissons tous puisque nous la subissons au quotidien : l’invasion migratoire.

Mais revenons à l’économie. Voici une illustration du problème posé. Au ras des pâquerettes (et de la dive bouteille) pour que tout le monde puisse comprendre.

L’Australie et les Etats-Unis produisent du vin.

  • L’Australie taxe à 29 % les vins importés des Etats-Unis.
  • L’Oncle Sam ne taxe pas les vins importés d’Australie (en raison du “United States-Australia Free Trade Agreement“, accord de libre échange en vigueur depuis 2005).

Les esprits pointilleux parleront de la taxe d’accise sur l’alcool. Oui, aux USA, 1,07 USD par gallon (pour les vins de moins de 16 degrés). L’Australie aussi, même si les règles de calcul diffèrent. C’est un classique douanier concernant les boissons alcoolisées. Mais le débat n’est pas là.

Les producteurs américains sont clairement désavantagés par rapport à leurs collègues qui ont la tête à la place des pieds.

La question, parfaitement légitime, est : pourquoi ?

Ou si vous préférez : why ?

Au nom de quoi, les viticulteurs américains devraient souffrir, en silence, parce que “c’est comme ça” et parce que “le libre-échange c’est bien” et parce que vouloir rétablir l’équilibre serait “mal” (surtout quand on s’appelle “Orange Man Bad”) ?

D’autant que l’Australie n’est pas un pays en voie de développement (argument souvent utilisé pour justifier de tels déséquilibres). C’est même un allié très proche des Etats-Unis (alliance Five Eyes).

Et vous connaissez la pirouette utilisée par les kangourous ? L’accord de libre-échange de 2005 ne concerne pas les taxes “locales“… or la Wine Equalisation Tax qui s’applique à 29 % sur tous les vins importés, quelle que soit leur provenance est considérée comme… une taxe “locale” !

Trump veut donc corriger cela dans le cadre de sa politique de “réciprocité“. Ce qui est parfaitement rationnel. Et moderne.

Mais creusons. Car les taxes douanières ne sont souvent que la première couche du problème.

Il faut également regarder… les aides que des états distribuent à tel ou tel secteur de leur économie, plus ou moins directement (sans oublier les manipulations monétaires)… ainsi que les barrières érigées, là aussi plus au moins discrètement (malus pseudo “écolo” pour les voitures, normes couterlinesques, délires administratifs destinés à décourager les entrepreneurs même les plus aguerris, etc.). Deux face de la même pièce : la tricherie.

L’Australie soutient ainsi financièrement ses producteurs (via divers mécanismes). Outre-Atlantique une loi permet aux producteurs américains… d’importer de la piquette australienne en “bulk” (en vrac)… et de la mélanger jusqu’à 25 % (!) avec le vin local qui sera alors considéré, et étiqueté, comme… “vin américain” ! 😉

Aux Etats-Unis, des gazillons de tonnes de raisins sont ainsi détruites chaque année… car non utilisées par les viticulteurs locaux qui préfèrent substituer 25 % de vin australien bon marché, importé en cuve.

Vous me direz : ici, les Australiens ne sont pas responsables, c’est la seule stupidité réglementaire des Américains qui est en cause. Absolument, mais cela ne change rien à la big picture.

L’industrie du vin emploie au total 1 million de personnes aux Etats-Unis.

Contrairement à toutes les salades que racontent les “libéraux” et autres ravis de la crèche de “gauche” (par essence, la gauche est internationaliste/globaliste, faisant d’elle l’alliée objective et zélée du “grand capital” qu’elle dénonce par ailleurs), on voit donc que toute une chaîne économique, composé de sociétés et d’individus en chair et en os (importateurs, distributeurs, agriculteurs, viticulteurs, grossistes, détaillants etc.) peut souffrir à cause de lois, de réglements, accumulés par strates au fil du temps et à des échelons divers (local, national, international).

Et qu’il est tout à fait rationnel, sain, moderne et juste de vouloir corriger un tel foutoir, de tels déséquilibres, y compris quand on s’appelle… “Orange Man Bad“, AKA Donald Trump.

Et pour finir en allant dans le sens des “libéraux/globalistes”… la VERITABLE concurrence, libre, consisterait tout simplement à proposer aux consommateurs les vins australiens et américains… AU MEME PRIX… et de leur laisser choisir… le meilleur.

N’est-ce pas ? 😉

Après tout, n’est-ce pas l’essence du  “libéralisme” ?

Que le meilleur gagne” ?

POST-SCRIPTUM

Au nom de quoi, on déclare que la France ne devrait plus fabriquer de voitures et qu’elle devrait les importer de Chine ?

Au nom de quoi, les Japonais osent protéger leurs riziculteurs contre le riz thaïlandais, vietnamien ou américain ?

Au nom de quoi, les Français devraient accepter de manger du poulet aux hormones importés des Etats-Unis ?

Ce sont de véritables questions, bien plus intéressantes et complexes que de simples “taux”.

L’idée d’un commerce libre, parfait, ouvert dans le monde entier est un pur fantasme. Un truc pour gamins et pour “libéraux” bas de plafond.

Cela n’a JAMAIS existé et n’existera jamais.

Le commerce international est d’abord et avant tout politique.

C’est donc de cette manière qu’il faut l’aborder. Et arrêter avec l’économisme ambiant, patascience grotesque.

POST-SCRIPTUM BIS

Pour prouver que ma passion pour Trump ne biaise pas mon jugement, je reconnais qu’il existe… de très mauvaises taxes douanières.

Trump vient par exemple d’annoncer l’imposition d’une taxe douanière de 25 % (s’ajoutant aux taxes existantes) SUR TOUS LES PAYS qui… importent du pétrole vénézuélien.

C’est baroque.

Ici, on sort de l’économie et de la nécessaireréciprocité“… et on entre dans l’intimidation…

Et même si le Vénézuéla (pays socialo-mafieux à la dérive) ne mérite aucunement notre respect, cette obsession américaine de “punir” tout un chacun est… insupportable.

D’autant que sur ce dossier, cela vise directement… la Chine (qui importe beaucoup d’or noir vénézuélien).

Bref, c’est une mauvaise méthode.

Lien : https://www.zerohedge.com/energy/trump-any-country-buying-venezuelan-oil-gets-25-tariff

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Saloperie et sida mental

Immigration : quand le droit devient gauche

Benny Hill était anglais… Voilà pourquoi chez la Perfide Albion, immigration et droit font mauvais ménage…

Face à l’invasion migratoire, nos systèmes juridiques et nos lois sont détournés, instrumentalisés. Pire même : tournés en ridicule.

Je me suis livré à un petit exercice, fort simple, basé sur la lecture quotidienne du DailyMail (second plus gros tirage de la presse britannique), durant un mois et demi.

Le but du jeu ? Relever les histoires aberrantes liées au droit de l’immigration et à son détournement (souvent via la convention européenne des droits de l’homme).

VIOLEUR DEPRESSIF

Un violeur roumain, condamné pour viol en Grande-Bretagne, recherché en Roumanie, évite l’expulsion en expliquant au juge que cela serait “injuste” car cela aggraverait son stress post-traumatique lié à un précédent séjour en prison en Roumanie durant lequel il fut “abusé” (18 mars).

CA PIQUE

Une femme née à la Grenade (Caraïbes), vivant illégalement en Grande-Bretagne, affirme qu’elle ne peut pas être expulsée car son mari -d’origine lettone- ne serait pas capable de supporter… la nourriture épicée (cuisinée sur l’île de la Grenade) (15 février).

E.T. NE PEUT PAS PHONE HOME

Un Irakien clandestin évite l’expulsion en expliquant qu’il a perdu son téléphone et sa carte d’identité et qu’il ne se souvient plus des numéros de sa famille ce qui l’empêcherait d’entrer en contact avec eux, une fois de retour en Irak (23 mars).

TROP OCCIDENTAL

Un trafiquant de drogue irakien, emprisonné pour 5 ans, ne peut pas être expulsé selon le juge car il est devenu entre temps trop “occidentalisé“… ce qui serait mal vu et provoquerait le “soupçon” dans son pays natal (3 mars).

POETE EN MAL D’INSPIRATION

Un trafiquant de cocaïne d’origine jamaïcaine, condamné à 13 reprises (vivant illégalement au UK depuis 2001)… affirme que ses droits seraient violés s’il était renvoyé dans son pays, car cela endommagerait sa carrière de “poète” et qu’il ne trouverait pas de travail. Son appel a finalement été rejeté (financé par les contribuables). Cinq ans après (le premier ordre d’expulsion), il vit toujours au UK (26 mars).

L’ALCOOLIQUE

Un Pakistanais pédophile était en prison pour de multiples agressions sexuelles. A sa sortie, il a agressé une adolescente. Ordre d’expulsion. Appel citant la convention européenne des droits de l’homme. L’homme explique que son expulsion le mettrait en danger (“traitement inhumain ou dégradant“) à cause de son… alcoolisme. Car la consommation d’alcool est interdite au Pakistan. Il a gagné son appel (26 mars).

ROLE DU PERE

Un trafiquant de drogue albanais, condamné à 3 ans de prison pour avoir créé une “ferme à cannabis”, est parvenu à éviter l’expulsion en expliquant que sa fille serait privée de “modèle du père“. Toujours au nom de l’article 8 de la convention européenne des droits de l’homme (“respect de la vie de famille“) (5 mars).

Note : ce cas est emblématique. Il suffit donc que n’importe quel criminel étranger, vivant illégalement sur le territoire national, ait un enfant né au UK… pour devenir de facto INEXPULSABLE.

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Médicament

Cancer : et si on parlait… d’excréments ?

Oui, c’est difficile. Mais il faut regarder le Réel en face.

Printemps 2020. Tim Story, professeur de sport dans un lycée du Mississippi (Etats-Unis), apprend qu’il souffre d’un cancer du côlon, stade 3. Il a 49 ans (source NBC News).

Printemps 2022, les médecins sonnent la cloche (avant le requiem). Il lui reste quelques mois à vivre.

Entre temps, le pauvre Tim a tout enduré : plusieurs cycles de chimios, de la chirurgie et de l’immunothérapie. Rien à faire. Le crabe progresse toujours. Il a métastasé.

Le pronostic est dès lors imparable : les carottes sont cuites, ou si vous préférez en raison des circonstances, le cheeseburger est cuit.

Brûlé même.

On lui dit : il reste un truc expérimental qui traîne là, dans une clinique, au fond d’un couloir, à la cave. Vous n’allez sans doute pas aimer. Une thérapie avec… du caca.

En langage médical : une transplantation fécale.

Aïe.

Mais quel rapport avec… le cancer ? !

Pour un béotien, autant parler des liens entre le trésor des Templiers, la course à pied et la recette de la ratatouille marocaine (ou algérienne ? Je ne sais plus).

Mais inévitablement… notre cancéreux finit par accepter, selon le fameux principe existentiel : “foutu pour foutu”

Se faire injecter dans le fion une préparation méphistophélique à base… de merde prélevée sur un individu “sain” (on parle pudiquement de “super donneur“, c’est un poil plus engageant)… au point où l’on en est (30 kilos à sec sur la balance, le teint vert de gris, l’haleine fétide et des cernes sous les yeux)… balancez l’étron fraîchement démoulé, envoyez le nouveau protocole, j’achète. Le père Pascal peut aller se rhabiller chez Zara avec son pari à la noix.

On procède donc fissa (et surtout recta) à la transplantation.

Automne 2023. Tiens, tiens… Tim Story se sent un peu mieux. Ah bon ? Stupéfaction stupéfiante : des tumeurs commencent même à disparaître !

Automne 2024… sapristi… non seulement le bougre n’est pas mort, mais les médecins le déclarent “cancer free” !

Ces pirouettes merdiques, pardon fécales, ne sont pas nouvelles. D’autres tests, ailleurs, ont également provoqué des rémissions, y compris avec d’autres pathologies (infection récidivante à Clostridium difficile, maladie de Crohn, syndrome de l’intestin irritable, autisme, etc.).

Le problème n’est pas là. La SEULE VERITABLE question est : comment ?

Et même comment se fesse, pour filer la métaphore…

“Un cul de bonne femme Oh ! Il est magnifique. J’vais le peindre en vert, en bleu, en rouge, en jaune”… Ah, Jean-Pierre, si tu savais…

Quel est le lien entre la santé du microbiote (les gazillons de bactéries, virus et champignons qui colonisent nos entrailles) et un cancer métastasé ?

C’est quoi le rapport avec la choucroute ? (Il y en a, c’est ça le plus drôle ! Les micro-organismes bénéfiques issus de la fermentation du chou, mais je m’égare… ).

On connaît la réponse et elle est évidente (sauf pour l’écrasante majorité des oncologues et des médecins, cela va de soi) : le système immunitaire.

Un “cul” sain, une flore intestinale bétonnée aux petits oignons… c’est un système immunitaire performant, qui fait son boulot du mieux possible, et vice-et-versa.

Les deux sont liés, désolé.

Cela vous troue sans doute un deuxième fondement… excuse my french… mais c’est ainsi.

Et n’oubliez pas : au sujet des intestins, on va même jusqu’à évoquer un… “deuxième cerveau” ! 😉

Notre fameux système immunitaire apparaît ainsi le mieux placé pour casser la gueule des tumeurs.

Cette simple expérience, par la bande ou plutôt par le derrière… PROUVE que les traitements conventionnels “contre” le cancer (chimiothérapies et rayonnements ionisants), en réalité le font FLAMBER puisqu’ils endommagent consciencieusement le système immunitaire des malades !

Les preuves s’accumulent quant à l’importance de nos défenses naturelles (et des moyens par lesquels les cellules cancéreuses tentent de s’en protèger, mais ceci est un autre débat)… mais cela ne percute toujours pas.

Les oncologues de Molière continuent de se couvrir de ridicule avec leur pseudo science, leurs obsessions génétiques et leurs “protocoles” sinistres.

Ils continuent ainsi, laborieusement, d’assassiner des millions de personnes.

Oh rassurez-vous… au nom de la science, toujours !

La même science qui vous dit que la transplantation fécale est “expérimentale” (sous-entendu, certainement dangereuse, malsaine, vaudou)… Oubliant que la médecine traditionnelle chinoise la pratiquait (sous une certaine forme)… au IVè siècle contre les problèmes digestifs (diarrhée, etc.).

“Messieurs, nous avons utilisé 15 chimios et un total de 290 Gy de radiations… Le cancéreux refuse de mourir. Que faire maintenant ? Une saignée !”

On me rétorquera sans doute : “responsables mais pas coupables, prout“…

Des clous.

Cela fait des DECENNIES que vous faisons la même chose (chimios, rayonnements ionisants)… et cela fait des DECENNIES que cela ne marche pas car la théorie des mutations somatiques est tout simplement loufoque et la quête des “oncogènes”, puérile.

Au mieux, au bout de soixante ans, nous sommes parvenus à donner corps à la définition de la démence (“La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent“)… !

Dès lors, si des individus avec un bac + 15 continuent leurs combines, l’air de rien et avec la satisfaction du travail bien fait… cela signe non seulement leur profonde stupidité

Mais aussi et surtout leur culpabilité.

POST-SCRIPTUM

Vous connaissez mon art de l’à-propos et surtout du parallèle fulgurant…

Qui dit excréments dit odeurs. Qui dit odeurs dit… cancer… et même maladie de Parkinson (entre autres pathologies).

Hein ? C’est quoi ce bazar ?

Lisez cet article publié par The Telegraph.

Synthèse : une mamie anglaise équipée d’un sens de l’odorat hors du commun a, durant sa carrière d’infirmière, appris à “sentir” les malades et leurs problèmes de santé.

Si, si.

On savait déjà que les chiens pouvaient renifler, littéralement, des tumeurs cancéreuses.

La mamie british -elle- se spécialise dans… la maladie de Parkinson. Cela paraît fou, n’est-ce pas ?

Comment un fonctionnement neuronal -normal ou anormal- pourrait-il “sentir”, émettre telle ou telle odeur ?

Si on accepte la théorie selon laquelle la plupart des pathologies lourdes… sont provoquées par des infections chroniques de microbes, de parasites ou de champignons (lire l’excellent bouquin de Paul W. Ewald, Plague Time : The New Germ Theory of Disease)… alors tout s’éclaire.

Ces micro-organismes libèrent des toxines et génèrent en permanence des métabolites (des molécules que notre corps dégrade). Lesquels sont ensuite évacués (urines, sueurs, excréments).

Ce sont tous ces sous-produits qu’un… “nez” pourrait donc capter, sentir.

Vous allez me dire qu’une fois de plus je déconne à plein tube à essai… 😉

Accrochez bien votre string ou votre culotte victorienne.

Connaissez-vous l’histoire du petit vers (Caenorhabditis elegans) qui est attiré par l’urine de femmes cancéreuses et qui est repoussé par l’urine de femmes saines ?

Comment réalise-t-il cet exploit ? Il “sent”, littéralement, des métabolites spécifiques… qui proviennent des tumeurs.

De multiples expériences le démontrent.

Lien : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25760772

Alors… pourquoi pas ? Cela pourrait valider la théorie de Paul W. Ewald ?

La maladie de Parkinson -dont nous ne connaissons toujours pas la ou les causes, comme le cancer et l’Alzheimer malgré les salades rabâchées par ces messieurs de l’Académie- serait-elle un ensemble de symptômes neurologiques provoqués par… une infection chronique, impliquant un ou plusieurs micro-organismes ?