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Chiffres Vaccinocide

France, naissances : après l’automne… l’hiver

“Dis bonjour à la dame.”

Les mois se suivent… Une saison chasse l’autre (il paraît qu’il fait froid maintenant)… et 2023 demeure une année de chute –anormale– de la natalité en France (et dans une foultitude d’autres pays).

L’Insee en guise de cadeau de Noël a mis à jour les chiffres de janvier à novembre 2023.

Le nombre des naissances chute de 6,78 % (par rapport à la même période 2022) (en septembre, sur neuf mois donc, nous étions à -7,3 %).

Autant dire que l’année est pliée

Il n’y aura pas de miracle… de Noël (même en priant très fort et même en multipliant les petits Jésus…).

Voici le graphique qui me sert d’illustration chaque mois, et qui est le seul permettant de contextualiser ces chiffres (sur 20 ans !).

Inutile de se répéter : 2023 est ANORMALE (même dans le cadre d’une baisse tendancielle de la natalité, sur le long terme qui se constate dans de nombreux pays, oui, oui nous sommes au courant, prout).

Tant il est vrai qu’avec une population qui vieillit à vitesse grand V, des Occidentaux qui s’empoisonnent et qui haïssent le futur, des mecs qui s’enculent à qui mieux-mieux, des lesbiennes aux cheveux bleus en lutte contre le patriarcat.. il est difficile de maintenir une population à la fois équilibrée mentalement et surtout un nombre d’enfants par femme au-dessus du seuil de renouvellement…

C’est bête, hein ?

Il y a clairement un décrochage que personne ne veut ou ne peut expliquer (le Méchant Poutine, la Fée Clochette, le RichoffementKlimatik, le prix des fruits et légumes, les impôts, la sale gueule de Elizabeth Borne, oui, oui, toutes ces raisons et bien d’autres sont valables !).

Zoom à présent par région (domicile de la mère).

On voit bien que les “DOM” résistent mieux. Je rappelle qu’ils furent le plus “rebelles” aux injections.

On constate également que la première maternité tricolore, l’Ile-de-France, résiste mieux… Grâce au bantoustan plus connu sous le nom de “Seine-Saint-Denis”, ou le “9-3” si vous préférez.

Le nombre d’habitants ne cesse d’y augmenter sous l’effet non pas d’une migration interne (genre les mecs du Gers qui déménageraient), mais sous l’effet d’une invasion arrivant d’Afrique du Nord et d’Afrique Noire (où les injections ARNm furent inexistantes).

Ces phénomènes permettent de “gommer” un peu la situation (la migration “d’accouchement” est une réalité). Sans oublier le fait qu’une naissance sur le territoire garantit… la nationalité qui va avec, comme un cadeau bonus.

Un môme c’est mieux que l’asile politique. Ca rapporte de la thune et ça rend inexpulsable (bon d’accord, dans tous les cas, on n’expulse plus réellement, donc mon argument tombe à l’eau 😉 ).

Je prenais le Gers comme exemple car au niveau du département (domicile de la mère)… la chute du nombre des naissances sur 11 mois y est vertigineuse : -17 % (record, les Landes arrivent juste après avec -14 %, on compte ensuite plusieurs départements avec des -11 %) !

Pas besoin d’avoir fait un DESS en Démographie option Couture pour voir que certains départements sont en train de mourir, littéralement.

La pyramide des âges de la population du Gers ou des Landes doit être fascinante. 😉

Allez, tous ensemble, tous ensemble, avec l’import de quelques millions de “mineurs non accompagnés” il n’y paraîtra plus (et les oies continueront d’être gavées. Ah ? Non ? Vraiment ?).

Méfiance avec les données par département d’enregistrement des naissances… Car dans ce cas, l’Ardèche tient le haut du pavé avec -19 % ! Alors que par le domicile, ce département est à -8,4 %.

Dans ce cas, il y a clairement des fermetures de lits, des fermetures de maternités qui jouent.

Ah la bonne vieille désertification à la française !

Ca doit plaire à Macron (quand on épouse sa maman… difficile d’envisager de procréer, donc les femmes enceintes on s’en tape).

Bientôt les futures mères devront prendre l’avion (ou le TGV) pour aller accoucher…

Ou alors, on fera un 360 ° historique, avec l’accouchement dans l’étable, pardon chez soi, dans son lit, avec les dents (pour couper le cordon), une Bible sur la table de nuit (pardon le Coran ! Je m’excuse), avec le père (pardon le parent numéro 2 ! Je m’excuse) en train de regarder la scène, les yeux exorbités et recouvert de sang, de pisse et de merde…

Mais d’ici là…

Vive la France !

Et vive 2024 !

“Dis donc Roger ça te dirait de faire un enfant ? Oh oui Albert, j’en rêve ! Mais il faudrait plutôt le commander sur Amazon, non ? Y’a des soldes en janvier.”
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Vaccinocide Vaccinocircus

Produits ARNm : une technologie en carton-pâte

On a demandé à Kevin, 3 ans et demi, de dessiner un vaccin ARNm contre le Covid. Voilà le résultat. C’est assez bien vu ! Bravo Kevin !

Le carton-pâte. Une matière que les enfants aiment utiliser.

On peut aujourd’hui affirmer que les “vaccins ARNm”… sont au même niveau, en terme d’avancement et de maîtrise technologique.

Avant de détailler les faits qui invalident cette technologie, commençons par… la dernière confirmation.

Une équipe anglaise a démontré le mécanisme qui altère le message… et donc… la protéine produite (source The Telegraph).

C’est comme si vous programmiez les cellules pour obtenir un avion à réaction. Et que vous vous retrouviez avec… rien… voire une théière voire, pire, une arme à feu pointée contre vos organes avec un doigt virtuel appuyant frénétiquement sur la gâchette.

Il s’agit ici de garantir l’intégrité de la protéine produite, en l’occurence la fameuse “Spike”, en clair de respecter le plan.

Il est démontré que cette garantie est IMPOSSIBLE à donner.

Plus fort encore, l’équipe estime que jusqu’à 30 % (!!) des injectés auraient été dans ce cas de figure… En clair, avec la production de protéines différentes, entraînant une surchauffe du système immunitaire, si pudiquement baptisée… “unintended immune response”  !

In the case of the Covid jabs, the end result is a nonsensical and harmless protein, the team found, which the body attacks and leads to an immune system flare-up. The new study, published in Nature, found this occurred in around 25-30 per cent of people.

Comme toujours avec les publications scientifiques, les chercheurs sont contraints de rappeler le dogme (sous peine d’être censurés).

Les Anglais n’échappent pas à cette règle d’or :

Dr James Thaventhiran, senior author of the report, said: “Research has shown beyond doubt that mRNA vaccination against COVID-19 is safe. Billions of doses of the Moderna and Pfizer mRNA vaccines have been safely delivered, saving lives worldwide.”

Un vulgaire mantra qui est bien entendu en totale contradiction avec ce qu’ils démontrent par ailleurs ! 😉

A partir du moment où l’on estime que jusqu’à 30 % des injectés n’ont pas fabriqué la bonne protéine… mais quelque chose d’autre… il est absurde de prétendre… que cela ne représente aucun danger.

En outre, est-il nécessaire de rappeler les gazillons d’observations, de témoignages, de données depuis la fin 2020… qui démontrent l’extrême nocivité de ces produits, dans le monde Réel (pas dans des éprouvettes ni dans des micro-processeurs) ?

Listons les autres problèmes fondamentaux qui invalident la technologie des “vaccins ARNm”. Le professeur belge Martin Zizi a fait le boulot :

  • Absence de posologie Spike contrôlable
  • Absence de biodistribution contrôlable
  • Absence de pharmaco-cinétique contrôlable (l’effet censé être limité dans le temps est plutôt aléatoire.)
  • Absence de fiabilité dans la traduction de l’ARN en protéine (point donc démontré par les Anglais)

Il conclut :

A ce jour – aucun biologiste moléculaire, ni aucun labo ne peut contrôler ces 4 paramètres in vivo. C’est donc la roulette russe.

Mais ce n’est pas tout.

L’autre gros problème est lié… au principe même de fabrication des produits ARNm… qui génère mécaniquement de nombreuses POLLUTIONS ADN dans tous les lots !

Là encore… c’est démontré, les taux explosent les limites fixées par les régulateurs… et PERSONNE N’EST CAPABLE de dire… ce que cela fait, concrètement, dans un corps humain une fois l’injection faite !

Ajoutons à ce bordel sans nom :

-les nanoparticules lipidiques (dont la toxicité est connue depuis longtemps… rien ne changera cet état de fait)

Mais aussi :

-les conditions de stockage (vous vous souvenez de la comédie des “super frigos” à -80 ° ?), de transports etc.

-la préparation des piqûres (combien de LPN par piqûre, hein ? Tu les as comptées ?)

-la méthode d’injection (le geste)

La conclusion de tous ces facteurs AVERES, réels, concrets… est évidente :

Les produits ARNm sont immaîtrisables et incontrôlables.

Ce ne sont pas des produits “médicaux” !

Ce sont des :

  • brouillons
  • tests
  • expérimentations
  • délires
  • jouets dans les mains d’enfants psychotiques
  • armes
  • pièges à cons
  • gros paquets de merde…

… choisissez l’expression qui vous préférez… mais ce n’est ni une “haute-technologie”, ni un médicament, ni un vaccin…

Voici Kevin, ouvrier spécialisé chez Pfizer, en train de fabriquer un lot de vaccin ARNm contre le Covid… Oui, je sais, ça fait bizarre…
POST-SCRIPTUM

Pas de malentendu !

La science a besoin de tests foireux, d’idées loufoques, d’accidents, de brouillons, d’erreurs et même de dégâts collatéraux… C’est une des conditions… du progrès (mot ô combien galvaudé et finalement nié dans notre monde moderne 2.0).

Mais on ne peut pas “survendre” de tels procédés, un tel empirisme, surtout à une telle échelle (l’Occident entier !)… en répétant comme des débiles mentaux sous LSD “sûrs et efficaces“, à l’instar de Pfizer, Moderna et de tous leurs complices bas de plafond depuis 2020.

C’est un crime contre l’intelligence…

Qui conduit inévitablement à… un crime contre l’humanité.

POST-SCRIPTUM BIS

Je parlais des enfants… De leur pensée magique. De leurs… jeux.

En 2021, Moderna claironnait sur son site web :

Recognizing the broad potential of mRNA science, we set out to create an mRNA technology platform that functions very much like an operating system on a computer. It is designed so that it can plug and play interchangeably with different programs. In our case, the “program” or “app” is our mRNA drug – the unique mRNA sequence that codes for a protein.

Les types croient qu’ils jouent à… un jeu vidéo.

Y’a des lettres, le code génétique. Pouf, on programme l’ordinateur, crac on “plug and play“, et hop, la machine (vous) fabrique la protéine en suivant le logiciel.

C’est le degré zéro de la science. 😉

C’est une vision adolescente qui déborde d’hormones… mais qui manque sérieusement d’intelligence.

En 2021, des esprits faibles pouvaient se laisser emporter par l’enthousiasme… Trois ans après… Moderna a supprimé ces phrases délirantes de son site web (il faut consulter les pages archivées)…

Exclusif ! Voici le software des vaccins ARNm de Moderna. Le truc jaune c’est l’enzyme qui va boulotter les méchants virus (les petits points blancs). C’est chouette, hein ?
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Résistance Vaccinocide

ARNm : une scientifique allemande disait -presque- tout le 30 janvier 2021

“Ah bon ? Vous ne saviez pas ?”

J’ai retrouvé un article fascinant.

Lien : https://leblogalupus.com/2021/04/06/entretien-avec-le-dr-vanessa-schmidt-kruger-le-blog-de-skidmark/

Il s’agit d’un verbatim de l’intervention de Vanessa Schmidt Kruger devant un comité d’enquête créé par Reiner Fuellmich (en Allemagne) et consacré au couillonavirus.

Pardon, à l’affreuse pandémie.

Elle affiche au compteur plus de 20 ans d’expérience en biologie cellulaire.

Son intervention –RETENEZ BIEN CETTE DATE– a eu lieu le 30 janvier 2021.

Contexte : nous sommes alors en pleine covidémence. L’hystérie “vaccins ARNm” débute.

Israël a commencé les injections de Pfizer… le 19 décembre 2020 (avec déjà la crapule Benjamin Netanyahu à la manoeuvre…).

Soit un mois et demi avant.

Voici des extraits qui démontrent… que DES LE DEBUT, des experts -des vrais- avaient repéré les principaux problèmes posés par les poisons ARNm.

LES LNP

nanoparticules lipidiques (LNP). Cette technologie n’est pas vraiment nouvelle: c’est une nouveauté en tant que vaccin, mais nous utilisons ces LNP dans la recherche depuis plus de 20 ans, et nous avons toujours été aux prises avec le problème de la toxicité des lipides et le fait de l’équilibrer avec leur efficacité.

CONTAMINATIONS

[je rappelle que Raoult parlait aussi des contaminations ADN début 2022… Bref, ce n’est absolument pas nouveau]

le vaccin BioNTech qui est déjà utilisé actuellement n’est pas hautement purifié, il contient des contaminants de certains composants

PRODUCTION

Et puis il ne faut pas oublier que l’optimisation de la production est également importante, il faudrait sûrement au moins un an pour cela. Cela n’a pas du tout eu lieu. Le vaccin est déjà vendu et utilisé, mais l’optimisation de la production n’est pas encore achevée. Et il y a des lacunes considérables.

ARN MODIFIE, LOTS

Une question que je voudrais aborder concerne les déficiences liées à la substance active: j’entends par là l’ARN modifié qu’ils synthétisent. En deuxième lieu, il y a des lacunes dans la cohérence des différents lots de production: ils doivent toujours être cohérents pour que l’on obtienne toujours le même volume et la même qualité de vaccin.

METHODES DE FABRICATION

[question fondamentale… et connue répétons-le depuis le début ! A l’époque pourtant, ce fait ne parvenait pas à percoler. Cela met en lumière le problème sous-jacent des contaminations ADN qui a été “redécouvert” en quelque sorte en 2023, grâce à des analyses].

Le problème rencontré par BioNTech est que dans la phase clinique, le produit, c’est-à-dire l’ARN, a été fabriqué avec des techniques complètement différentes de la façon dont il est produit actuellement. Pendant la phase clinique, ils n’avaient besoin que de petits volumes de vaccin, ils ont pu utiliser des techniques très coûteuses qui ont livré des produits finaux hautement purifiés. Maintenant qu’ils sont entrés dans la production de masse, ce n’est plus possible, ils ont dû passer à des processus moins coûteux, par ex. en utilisant d’énormes quantités d’ADN  […] Les bactéries multiplient l’ADN en quantités énormes, ce qui entraîne de nouveaux dangers ou risques, en particulier de contamination.

TRANSPORT

[vous vous souvenez du délire… au sujet des “super frigos” à -70 degrés ?]

Des exigences ont également été formulées concernant le fait qu’ils n’ont pas réalisé d’étude de vérification du transport. Cela signifie qu’ils n’ont aucune idée de la viabilité du vaccin après le transport. Cela est actuellement en cours.

LOTS DIFFERENTS

[à ce sujet je vous invite à lire l’article de P.Gibertie]

Et puis, ils n’ont pas de norme appropriée pour les différents lots.

Il a été constaté que l’intégrité de l’ARN varie toujours dans les lots qui ont été fabriqués.

LE MYTHE DU “RESTE DANS LE MUSCLE”

[là encore, cette conspiration semble avoir été démontée très récemment… alors que les experts ont toujours su]

les nanoparticules lipidiques pénètrent dans toutes les cellules, pas seulement les cellules musculaires – c’est une erreur de le croire.

INTEGRATION ADN / CONTAMINATION

Il est donc théoriquement possible que cet ADN linéarisé qui est là en tant que contaminant puisse s’intégrer dans le noyau de la cellule de l’hôte dans une cellule en division, l’ADN linéarisé est optimal pour l’intégration. L’ADN circulaire ne l’est pas. L’ADN des bactéries est circulaire et n’est pas aussi facile à intégrer. Cela arrive, mais pas si souvent. Mais dès que vous rencontrez une situation comme celle-ci, cela se produira plus souvent. Voilà le risque. Je ne voulais pas vraiment entrer dans ce qui peut arriver si tel est le cas: les gènes peuvent être activés et désactivés, régulés à la hausse et à la baisse, le cancer peut se développer – il y a beaucoup plus de possibilités. Il faut donc absolument réduire cette contamination.

LE PROBLEME DE LA DOSE

Donc, pour résumer, le vaccin a un effet positif, mais la critique est qu’il n’y a pas de corrélation positive entre les différentes doses de vaccin, c’est-à-dire que nous constatons le même effet à 10, 20 et 30 microgrammes. Malgré cela, ils veulent utiliser 30 microgrammes comme dose de vaccin. Bien que 30 microgrammes aient beaucoup plus d’effets secondaires que 10 microgrammes. Les avantages sont les mêmes, mais le risque est différent. Cela n’est pas scientifiquement justifié. […] Il n’y a tout simplement aucun avantage supplémentaire si j’augmente le volume d’ARN dans ces tests.

GENOTOXICITE

[ça c’était écrit dans les docs de Pfizer à la FDA en novembre 2020 ! … Mais là encore, ce simple fait, indiscutable, est passé totalement dans la trappe mémorielle et de la propagande !]

Aucune étude de génotoxicité n’a encore été réalisée. Ils disent qu’ils n’ont pas besoin de le faire car «aucun potentiel génotoxique n’est à prévoir». Mais on sait depuis 20 ans que les lipides cationiques sont hautement toxiques. Dans quel univers vivent-ils?!