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Voeux et commentaires 2023

2023 ? Monsieur Eugène Poubelle a le blues.

Des lecteurs m’envoient des épluchures de pomme de terre, du gravier, des poireaux pourris… ils protestent contre les commentaires qui s’accumulent sous mon dernier article et qui rendent la lecture problématique.

En tout cas, trop longue.

Donc, pour 2023, on repart de zéro.

Comment ?

Vous souhaiter une “bonne année“… ? Non, je n’oserai pas.

Quand même pas. 😉

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Fin de partie

“Sans légende” (message de mon stagiaire chinois, préposé au service illustrations)

C’est le 20 juillet 2020 que -enragé, hanté par une haine incandescente- je créai ce blog.

Deux ans et quatre mois plus tard, l’urgence est passée.

La lassitude a fait son chemin (1 400 articles publiés et 3 600 commentaires mitraillés [sur un total de 13 600] !).

Le couillonavirus s’épuise et s’efface devant la géopolitique, plus visible, plus classique ; le Grand Jeu selon l’expression consacrée.

En réalité la guerre continue, mais par d’autres moyens ou batailles si vous préférez (citons l’énergie bien sûr, l’ESG, Environmental, social and governance dans le monde du business, l’invasion démographique de l’Europe, sans oublier le Réchauffemementklimatik et les politiques “vertes”, etc.)

Les règles de ce jeu, ses circonvolutions et ses participants, vous les connaissez. Inutile de se répéter.

D’autres que moi prendront le relai et avec davantage de talent (même si mes analyses relatives à la Chine demeurent, j’en suis persuadé, à l’avant-garde de la péchitude. Je sais, c’est mon côté maoïste).

Nous avons subi dans les pays occidentaux une folie totalitaire hors du commun (par son échelle, son intensité)… et pourtant certains jours nous avons pu également nous payer de franches rigolades.

Mais surtout nous avons appris.

Revenons au cadre médical. J’avais encore personnellement quelques illusions…

Après 2020, 2021 et 2022… j’en suis désormais certain : les médecins, dans leur grande majorité, sont des clowns.

Et des clowns méprisables.

En réalité, rien n’a changé depuis Molière, son 17ème siècle et ses médecins imaginaires… qui achevaient leurs patients en composant des alexandrins et en dénombrant les saignées.

Rien.

C’est à la fois comique et tragique.

Et cela s’explique fort bien.

Si la technique et les outils évoluent, la nature humaine -elle- demeure IMMUABLE.

Comprendre : avec un haut potentiel de saloperie et de neuneuitude en chacun de nous…

Ecce homo, comme disait ou même chantait l’autre.

Bref.  Quand un médecin vous annoncera votre cancer (pas de jaloux, nous passerons tous à la casserole !)… d’abord éclatez de rire.

Et allez demander une 2ème opinion.

Puis, une 3ème.

Puis, une 4ème.

Puis, une 5ème.

Et enfin, rejetez en bloc tout ce que ces sots maniaques vous auront proposé (le énième “nouveau protocole révolutionnaire“, comme disait Dieudonné dans son sketch fameux… sans doute le meilleur remède -véritable lui- contre le crabe !)

Plus largement (je quitte le cadre médical), le pire est bien entendu devant nous.

Le savoir, le comprendre c’est choisir la liberté d’esprit, la plus grande des vertus, même si elle s’accompagne -forcément- d’anxiété voire de peur.

L’alternative ? Oui, elle existe bien sûr !

Rester con comme une enclume, à regarder des vidéos TikTok, à mater des sites de cul, à boire du coca et à bouffer des glaces, en attendant la crise cardiaque salvatrice, libératrice… un sourire crispé aux lèvres.

Le sourire Pfizer ? Le sourire ARNm ?

John Mustapha Dupont : 6 doses ARNm dans le pif, zéro soucis. Plus aucun stress dans la vie. Pfizer ? Encore plus fort que le Soma de papy Huxley.

Bref.

Et moi alors ? Le futur ? Quid ?

Bien blindé dans mon Asie du Sud-Est d’exil, devenu par là même mon propre bougnoule (ce que j’assume fort bien), je finirai sans doute par passer à l’ennemi.

Du côté de Moscou ou de Pékin, du moins intellectuellement. 😉

Pour une raison fondamentale : je refuse d’assister au sac de Rome.

Je refuse de voir la destruction de l’Europe (les Etats-Unis n’étant qu’une excroissance en terme civilisationnel, et aujourd’hui carrément une tumeur).

D’où les 10 000 km de distance règlementaire que je m’impose.

Pour résumer en une formule : Plutôt KGB-PCC que woke, créolisé tiers-monde, islamo-gogo, écolo-psycho, gaucho-mental !

Il faudra bientôt, j’en suis persuadé, choisir le moindre mal.

Bon courage à toutes et à tous.

Ciao.

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Ce mortel ennui… viral

Ce mortel ennui

Qui me vient
Quand je suis avec toi
Ce mortel ennui
Qui me tient
Et me suit pas à pas

(Serge Gainsbourg)

On s’emmerde !

Le Covid est en arrêt maladie. Longue durée ? Ou déjà à la retraite ?

Le “Covipox”, c’est-à-dire la terrible “variole du singe” qui donne des boutons à des gays partouzards… s’est “taillé à l’anglaise“.

Je voyais un vrai potentiel disruptif dans ce virus, au point de le rebaptiser “Covipox”. Bilan ? Bide.

Les covidéments, les homos hystériques et leurs lobbies LGBT++ nous avaient promis l’apocalypse après la rentrée scolaire

Car c’est bien ce qu’on lit dans les livres de médecine du siècle dernier… ce terrible virus s’attaque aux enfants et aux femmes enceintes !

Et il est très contagieux via le linge de maison, la literie, les poignées de porte, l’air ambiant même… De quoi tous nous faire passer à la casserole.

Oui madame ! Enfin plutôt oui monsieur !

Et ?

Il ne s’est strictement rien passé.

Et le virus est resté obstinément dans la communauté des homos, avant de faire pschiit (ou plutôt… prout).

Pensée émue aux milliers de neuneus qui ont fait la queue -forcément- pour recevoir un vaccin contre… la variole (avec simplement une étiquette collée dessus à la UHU : “fonctionne aussi avec la variole du singe, jamais testé, jamais prouvé, faites nous confiance, signé : la FDA“).

La farce est ainsi totale. Et les mecs ont dû ravaler rapidement leur tube de gel lubrifiant désinfectant.

La sodomie est aussi -parfois- un acte mental.

On s’ennuie donc viralement parlant.

La concurrence est forcenée. Le Spectacle est partout… ailleurs.

Ukraine, Russie, inflation, énergie en folie, indices boursiers dans les chaussettes, banques centrales zombies, acte de guerre contre les pipelines, menaces nucléaires, sans oublier les cols roulés de Burno Lemerde etc.

Le bordel est total, grandiloquent, assourdissant.

Et dans l’espace, plus personne n’entend hurler Delfraîchi, Karine Labombe, Olivier Variant et toute la bande des sinistres drilles.

Le couillonavirus est perdu dans l’espace intergalactique.

Le vaisseau Pfizer fait “bip, bip”.

Quant au Merdena, il s’est crashé comme une grosse bouse sur la planète Danstoncul ZOB4559.

Nous sommes orphelins.

Il est peut-être temps de fermer boutique, de se barrer… et de demander l’asile politique à Moscou.

Ou à Pékin.

Ceci est un oeuf pondu par l’alien Karine Labombe. Il n’a pas encore éclos. On peut craindre le pire.