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Gastronomie : “A table !” dit le cancer au vers

Voici Caenorhabditis elegans, grossi 600 millions de fois, en train de bouloter une bactérie… ou une levure, pardon… un cancer.

Je vous présente Caenorhabditis elegans.

Il appartient à la famille des nématodes.

C’est un petit vers rond. Taille ? 1 mm à tout casser. Il est transparent, ce qui facilie son étude sous toutes les coutures.

Figurez-vous que ce gentil petit vers… est attiré par l’urine de femmes atteintes d’un cancer du sein !

Hein ? Quoi ! Vous pouvez répéter la question ?

“Allô ? T’es une fille et t’as pas d’urine ? Non mais allô quoi !”

Ce n’est pas une blague. En labo, Caenorhabditis elegans se dirige vers l’urine cancéreuse et s’écarte des échantillons témoins (urine des femmes saines).

Lien étude (36 femmes âgées de 38 à 92 ans, groupe témoin itou) : https://www.nature.com/articles/s41598-021-96613-z

Et attention ! Le vers ne joue pas au loto. Il ne se trompe quasiment pas (taux de réussite de 86,11 %… on dirait un pourcentage à la Pfizer !).

“it was demonstrated that C. elegans displays attractive chemotaxis towards cancer urine samples while it is repelled by control samples in a highly accurate way.”

C’est baroque ! C’est extraordinaire ! C’est époustouflant !

Mais la vraie question est bien entendu : pourquoi ? Ou si vous préférez why ?

L’explication, comme souvent chez Mère Nature, est simplissime.

“A table !!!!!”

L’urine cancéreuse contient des molécules odorantes (car ce sont bien les neurones olfactifs du vers qui réagissent) associées à… des bactéries !

Et les bactéries… miam-miam, c’est la nourriture du vers.

Mais on peut aller plus loin.

Les nématodes se nourrissent aussi… de LEVURES (lire ici).

Bingo ! 😉

Alors chers ami(e)s, je vous pose la question : comment la théorie classique du cancer dite “gènes/mutations/pas de bol“… peut-elle expliquer cette merveille de la nature, et ce léger problème conceptuel ?

Je réponds à votre place : des clous !

Elle ne le peut pas (comme sur bien d’autres sujets et faits depuis plus de six décennies, une paille).

Alors que… la théorie unifiée du cancer de Mark Lintern -elle- peut parfaitement expliquer le comportement du petit vers rond attiré par l'”odeur” du cancer, en réalité l'”odeur” de la nourriture.

Donc, si ce n’est pas encore fait, précipitez-vous sur ce satané bouquin de 600 pages et au boulot !

Faites tourner chez les Français (journalistes verreux, médecins vendus, universitaires corrompus, chercheurs achetés… bref la crème de la crème).

“Monsieur le vers ? Puis-je vous conseiller une petite levure pour bien digérer ? Offerte par la maison !”
POST-SCRIPTUM

Tout scientifique honnête, sérieux et curieux… devrait automatiquement être pris de convulsions à la lecture de cette étude.

Précisons : ce n’est pas la SEULE dans le genre… On peut donc raisonnablement évacuer les soupçons de fraude.

Mais il est urgent de refaire les mêmes expériences avec des cancers différents ! Cette piste doit être explorée à fond.

Et on comprend la facilité et le coût dérisoire pour organiser de telles expériences (des petits vers… et des échantillons d’urine !!!!!).

On voit bien que le “cancer” est AUTRE CHOSE que ce que la doxa rabâche depuis des décennies…

Je reformule : le cancer est peut être lié aux “gènes” et aux “mauvaises mutations” et au fameux “pas de bol“… pourquoi pas ? … mais il y a quelque chose d’autre, en plus, DERRIERE.

Ce petit vers rond ne ment pas. Il suit l’odeur de la nourriture, RIEN DE PLUS.

L’urine des personnes saines repousse le vers (alors que tout individu en bonne santé abrite en lui des gazillons de bactéries)…

Cela prouve que le “cancer” contient des bactéries et/ou certaines levures… particulières… qui relâchent dans l’urine des molécules/métabolites particuliers.

Par exemple -au hasard- des mycotoxines ? Aïe, aïe, aïe le mot est lâché ! ;-).

Faites le test : demandez à des bacs + 15, médecins expérimentés, oncologues prestigieux, scientifiques médaillés, si les tumeurs malignes sont “stériles“…

99,5 % vous déclareront, l’air outré, scandalisé, que “oui bien entendu” !

La plupart ajouteront même… “prout” afin de bien marquer leur courroux devant une question si imbécile.

Sauf que… c’est TOTALEMENT FAUX.

Zéro pointé.

Depuis 2017, des études ont démontré que les tumeurs cancéreuses contiennent en réalité des tas de “trucs” (bactéries, virus, levures en plus de nos propres cellules).

D’ici à ce qu’on comprenne enfin que ce sont ces “trucs” qui en réalité font les tumeurs… le petit vers rond continuera de… humer l’air du temps.

Et son prochain casse-croûte.

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Cancer du sein : “dis donc tata, pourquoi y’a des virus en plus ?”

Voici un scientifique jordanien qui trouve… lorsqu’il cherche ! Oui, je sais, c’est fou.

Les gens intelligents (il en reste… quelques uns) finiront pas comprendre que le “cancer” est bien plus compliqué (ou simple) que ce que l’on radote depuis des décennies.

De quoi s’agit-il ?

Mais voyons ! De la Sainte Trinité de l’Oncologie !

  • mauvaise mutation
  • malchance
  • cellule folle

Selon l’Exégèse, cela fonctionne bien de cette façon. Nos cellules se multiplient. Pouf, un jour pas de bol , une cellule mute. La tuile. Cette cellule devient alors folle… Et c’est le début des emmerdements, le cancer se développe (ou pas, ça dépend, on ne sait pas de quoi exactement, ne posez pas trop de questions SVP !).

La vie est vraiment mal fichue.

Au nom du corps médical, du scanner et de la tumeur sainte. Amen. Pan, t’es mort !

Et au bout du bout, quand on a suffisamment empoisonné le malheureux cancéreux avec des gaz de combat et qu’on a démoli son système immunitaire avec des radiations… il finit par crever.

Vision quasi infantile… comme toutes les religions. Car c’est bien une religion avec son clergé, ses prêtres, ses moines (et ses maladies sexuellement transmissibles, bien entendu).

Figurez-vous qu’une étude menée sur des femmes jordaniennes atteintes d’un cancer du sein… montre que dans 20 % de cas environ… on trouve des virus !

Au menu de ces réjouissances virales :

  • papillomavirus
  • cytomégalovirus
  • Epstein-Barr

(alors que pas loin de 0 dans le groupe contrôle, sans cancer du sein, ça pique.)

(cette étude vient d’être publiée).

Conclusion de nos amis jordaniens ?

nos résultats mettent en évidence la prédominance de l’infection HR-HPV parmi une sous-population féminine jordanienne et la coexistence de co-infections HR-HPV, CMV et EBV, suggérant une association avec le grade et le stade de la tumeur.

J’en entends déjà au fond de la salle qui vont s’exclamer : “corrélation n’est pas causalité, nana nananère, prout !“…

On n’en sortira jamais. Bref.

Les joyeux lurons du désert ajoutent ensuite une sorte de “médaillon”, très important pour obtenir de futurs financements : l’appel à la vaccination, forcément !!! 😉

D’accord, je n’ai pas une tête de jordanienne, mais j’affirme que les chemins du rhum mènent forcément à Rome, pardon à la vaccination. Forcément.

Cette enquête propose qu’un vaccin contre le VPH pourrait potentiellement être utilisé pour prévenir le développement et la progression de sous-types spécifiques de cancer du sein, mais le rôle oncogène du VPH dans le cancer du sein nécessite une analyse plus approfondie.

Le point important n’est pas là ! Je le répète, ces chercheurs sont obligés de respecter le catéchisme… sinon, le robinet à pognon se fermerait, avec en bout de course la mort scientifique et sociale.

Le point fondamental est le suivant : quand on cherche des virus dans le cancer… on en trouve !

Vous voyez où je veux en venir… Si on cherchait des levures/champignons… on en trouverait aussi !

On savait déjà que des bactéries étaient à l’origine du cancer de l’estomac, et que des virus provoquaient le cancer du col de l’utérus ou de celui du nasopharynx (papillomavirus, Epstein-Barr).

Répétons-le : les tumeurs ne SONT PAS STERILES… Elles abritent au contraire tout un monde de bric et de broc (bactéries, virus, levures, et un mélange de nos propres cellules).

Et de ce monde, de ses interactions, de ses causes, de ses effets… nous ne savons rien ou presque rien… PUISQUE NOUS NE CHERCHONS PAS.

Plus que jamais le modèle de Mark Lintern (voir mon article qui présente son livre) apparaît à la pointe.

Il donne une clé qui rétablit la cohérence de l’ensemble (car l’idéologie du cancer “ADN centré” est incohérente, avec des contradictions, des trous, des paradoxes).

Répétons cette vérité aussi ontologique que bouleversante voire même bouleversifiante : quand on ne cherche pas , on ne trouve pas. 😉

Ca fait 60 ans qu’on bourre le mou des jeunes scientifiques… avec l’obsession ADN/mutation/malchance… Donc ces derniers ne cherchent RIEN D’AUTRE, CQFD !!!!

Voilà comment on peut mouliner dans la semoule pendant six décennies, mobiliser des énergies folles et dépenser des montagnes d’argent… sans parvenir à guérir les malades…

Car on ne guérit pas les cancéreux

Certains s’en sortent MALGRE les traitements (hyper toxiques), et encore… souvent pendant un laps de temps limité !

Le crabe REVIENT TRES SOUVENT.

Les autres passent tous à la casserole, la seule variable étant le temps qu’ils mettent à s’éteindre (et surtout le nombre de chimios et autres “nouveaux protocoles” qu’ils peuvent encaisser).

Ces médecins et scientifiques ne voient pas toutes ces bactéries, ces virus étranges présents EN PLUS des cancers, avec les cancers, à côté des cancers et même dans les cancers !… ni bien entendu ces levures (qui sont en nous de manière permanente).

Encore moins même (car c’est un fait, elles sont bien moins étudiées que les bactéries et les virus).

Il faut tout reprendre à zéro.

Et cette fois réellement sortir de nos ornières mentales !

Il faut travailler sur la théorie de Mark Lintern (et d’autres), la soumettre à la question.

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Obésité à l’anglaise : les tribulations de Candide au Japon

“Crunch, crunch, mwarf, grouik”. L’obèse anglais se reconnaît à son ramage et à sa danse nuptiale.

Soit la Perfide Albion. Soit un programe télévisé complètement débile qui consiste à faire voyager une bande d’obèses pathologiques dans le monde… pour qu’ils apprennent à perdre du poids !

Le titre de l’émission ? “Around The World In 80 Weighs” ! (source DailyMail).

Oh my god ! C’est si fin et si lourd à la fois (référence au bouquin de Jules Vernes… Le tour du monde en quatre-vingt jours). 😉

[note de la direction : mon stagiaire chinois au service illustrations s’est planté de livre. La honte]

Ca n’a pas loupé. Ces six crétins débordant d’huile furent envoyés… au Japon… pays dans lequel les gens sont normaux.

Comprendre : avec un poids normal.

Et là, ces six pauvres chéris sont… épouvantés…. Les gens dans la rue les regardent ! Les enfants rient à leur passage ! On les pointe du doigt !

Car c’est précisément ce qu’ils sont : des bêtes de foire.

‘They’re so open about being rude,’ she continued. ‘Why would you point and laugh at another human being? It’s just cruel.’

‘It just blows my mind that you’re not allowed to be who you are and you just have to fit it,’ agreed 31-year-old Marisa.

Marisa nous sert la classique soupe de victimisation woke et veule dont on l’abreuve à la maison depuis sa terminale X option Couture : “j’hallucine de voir qu’on n’est pas autorisés à être ce que nous sommes… et que nous devons seulement nous conformer”.

Elle a oublié le “prout” à la fin comme ponctuation.

Oui Marisa… Tu es anormale. C’est à toi de te conformer aux gens normaux. Pas l’inverse !

Puis la gourde adipeuse s’enfonce… sous l’effet de la gravité :

I don’t feel like I should be here,’ Marisa continued. She added: ‘In this country I don’t feel comfortable, and for me personally, it isn’t somewhere I would come back.

Ca tombe bien : les Japonais ne veulent pas de toi ! Tu n’es pas la bienvenue. Retourne dans ton shithole anglais graisseux.

Edith Cresson avait raison ! Les Anglais sont des pédés et les Japonais sont des fourmis ! La prochaine fois on voyagera aux Etats-Unis ! Et toc !”