Du 1er décembre 2022 au 25 janvier 2023… le nombre d’avis de décès publiés (9 718) a augmenté de 42 % par rapport à la même période 2019/2020 (6 802) !
Du 1er décembre 2020 au 25 janvier 2021 (8 135)… la hausse est de 20 % (et +19 % pour la période suivante).
Récapitulons les scores :
01/12/2019 au 25/01/2020 : 6 802 décès (le monde d’avant, quand Poutine était gentil et que Trump était méchant)
01/12/2020 au 25/01/2021 : 8 135 (la terrible pandémie couillonavirale ravage le monde, on va tous mourir, plusieurs fois de suite)
01/12/2021 au 25/01/2022 : 8 075 (“tous vaccinés, tous protégés“, le miracle patavaccinatoire ARNm descend sur nos épaules et nos muscles. Les prophètes Bourla et Fauci nous donnent l’extrême onction… euh pardon… leur bénédiction)
01/12/2022 au 25/01/2023 : 9 178 (le terrible virus est devenu un rhume qui fait rire les enfants, et tout le monde est “vaccinés boostés protégés“. Zut, ça ne marche pas. La boulette. On a fait une grosse connerie.)
Comme disait l’autre : “Belfast, we have a problem”…
“Une dose de Guinness ou une dose de Pfizer ? Ah ! J’me tâte !”
“The key point is this – and this is really, really important – the Government needs to investigate this very, very clearly, in a scientific fashion,” Deputy Peadar Tóibín said. “We need to get rid of the word ‘maybe’. When we see death rates 3,000 higher in a small six-week period than they were in a six-week period pre-COVID, we can’t have the Government standing idly by.”
Il s’agit des avis de décès (publiés). Il y a un effet retard (exemple, un avis publié le 1er décembre correspond à un décès le mois précédent).
Les âges -hélas- ne sont pas indiqués (une donnée essentielle).
Bref, il faudra attendre les chiffres de l’état civil (certificats de décès) pour analyser plus finement la situation irlandaise.
Mais déjà, l’épidémie de “coïncidite” s’étale… là devant nos yeux… et elle touche de nombreux pays…
Difficile d’invoquer -uniquement- le vieillissement de la population ou encore le retour de la grippe (qui rappelons-le avait miraculeusement disparu en 2020 et 2021… magie de la comptabilité couillonavirale et du vocabulaire correspondant…).
Quant à moi, je n’ai eu de cesse de le répéter : les Irlandais abusent de la bière noire.
Ceci explique forcément cela.
Il pleut en Irlande. Le ciel est bas. Les femmes sont rousses. La nourriture est infâme. Et on s’y emmerde à mourir. Alors… forcément…
L’Australie est couillonaviralement un cas intéressant.
Car le terrible virus l’a soigneusement évitée en 2020 (il ne s’est rien passé cette année et même durant une partie de 2021, comme dans la plupart des pays asiatiques, un point fondamental qui fut toujours ignoré car ne rentrant pas dans le spectacle de la “pandémie“).
Pourtant, le pays est devenu totalement covidément, hystérique même, et a lancé fin février 2021 une campagne massive d’injection ARNm (pour se protéger d’une terrible pandémie… qui n’existait tout simplement pas).
Et puis… à l’instar des pays asiatiques (Thaïlande etc.), le couillonavirus… pouf… a débarqué peu de temps après.
Et les scientifiques sans oublier les journalistes, les factmenteurs et bien sûr les gouvernements sont tous “déconcertés” (c’est le mot-clé utilisé dans les médias : “baffled” en anglais). 😉
Et juillet est le mois le plus meurtrier (17 936 décès) (si on compare avec tous les autres mois, depuis 2015).
Voici un article qui fait le point, avec plusieurs indicateurs, en particulier par tranche d’âge (on voit que les injections tuent des vieux rapidement, alors que pour les jeunes, il y a un effet retard).
L’auteur met en graphique également les causes des décès : on voit ainsi une forte hausse des maladies du coeur, des pathologies cérébrovasculaires et des cancers…
Bref, tout le who’s who lié aux produits ARNm, pardon aux formidables vaccins qui nous ont tous sauvés d’une mort certaine et atroce provoquée par le Covid.
Quant à moi, j’ai été à la source officielle des données (gouvernement australien), et je m’en tiens aux chiffres bruts.
Voici le total des décès (toutes causes confondues) durant les 7 premiers mois de chaque année, de 2015 à 2022.
Rappelons (est-ce nécessaire ?) que les Australiens ont la tête à l’envers et juillet… est le début de leur hiver…
On constate une hausse de 11,3 % des décès durant les 7 premiers mois de l’année 2022 par rapport à la même période 2021.
Ce pourcentage d’évolution est inédit (en tout cas depuis 2016).
Par ailleurs, on voit bien le phénomène de “moisson” (une année, la mortalité monte, ensuite elle baisse l’année suivante. Sauf 2022 qui apparaît comme une anomalie).
Avertissement : les chiffres 2022 sont encore “provisoires”. En clair : le nombre total sera encore plus élevé.
Et août sera sans doute encore plus mauvais, puisque c’est le coeur de l’hiver austral.
Alors bien sûr, on va nous expliquer que le responsable est le terrible virus !
Les Australiens auraient ainsi d’abord survécu à la souche génocidaire de Wuhan (qui foudroyait les gens dans la rues selon les vidéos fournies par les gentils Chinois début 2020, et qui a ravagé les pays occidentaux)… mais ensuite, la tuile, ils chopent en 2022 les versions d’Omicron… vous savez celles qui font éternuer…
Au point de les tuer…
C’est logique.
Alors même que le gouvernement australien a intérêt a grossir le nombre des morts du Covid (cette surdéclaration est visible partout depuis 2020… sauf en Chine bien entendu)… la surmortalité est supérieure au nombre officiel de décès dûs au virus…
On voit donc bien l’anomalie, et elle n’est pas liée uniquement au virus.
Il y a autre chose.
Mais quoi ? 😉
Enième mystère mystérieux…
Tous les mystères sont mystérieux. Surtout ceux liés aux produits ARNm. Forcément.
“Dis donc Moshé… j’ai l’impression qu’on s’est fait baiser. Oui David, avant nous étions des Sans-terre, désormais nous sommes… des Sans-validité”.
Israël est en avance, sur tout, depuis son contrat faustien passé avec Pfizer fin 2020… lui permettant de lancer la campagne massive d’injections ARNm dès le 19 décembre 2020.
Puis, ils furent les premiers à créer l’étoile jaune 2.0, pardon le “badge vert ” (véridique), ce que les Européens sans imagination nommèrent “passe sanitaire“…
Puis la 3ème dose, les injections pédiatriques, la 4ème dose etc.
Et visiblement, ça ne se passe pas très bien (lire ici).
Et ils sont tellement en avance qu’ils ont créé une nouvelle race d’injectés : les “vaccinés sans validité “. 😉
Eh oui, les mois passent et le compteur de doses aussi ! En clair, un Israélien avec ses 3 doses réglementaires… n’est plus considéré comme “vacciné”… car il est en retard ! Il n’a pas reçu sa 4ème dose !
L’arnaque était facile à prévoir, dès le départ, avec la logique -totalement perverse- des “boosters” à administrer tous les X mois !
Israël fut le premier (dès juillet 2021 !), encore une fois, à noter que l'”efficacité ” de chaque injection… baissait au niveau des chaussettes, et de plus en plus rapidement (sous l’effet également de la samba mutante du virus qui pond du variant).
On constate que le système covidémentiel dépense une grande énergie à façonner le langage.
Ainsi, si vous dites à Moshé ayant reçu 3 piqûres: “désolé tu n’es pas vacciné “, il pourrait mal le prendre.
Mais si vous lui dites : “tu es vacciné… sans validité “… ça calmera Moshé, même si administrativement vous le coincez.
Par ailleurs, autre bénéfice… les autorités peuvent, en toute légalité, maquiller les morts du Covid… et les attribuant aux… “non vaccinés ” ! C’est toujours bon à prendre pour motiver par la peur le cheptel et faire monter la mayonnaise de l'”efficacité des vaccins”.
Voici le tableau de bord officiel de la vaccination en Israël au 5 août 2022.
Pour le système israélien, à ce jour et malgré des gazillons de doses injectées, seuls 7,72 % de la population sont “vaccinés” !
La nouvelle race pèse 62,92 %.
Quant aux sous-hommes non-vaccinés, les dangereux terroristes sanitaires d’extrême-drouâte russophiles, ils sont 29,36 %.
Que s’est-il passé ?
La 4ème dose à fait un bide. Le graphique suivant (injections quotidiennes) le démontre. Le 4ème rappel en mauve a bien commencé début 2022, et puis a rapidement fait pschiit.
Alors, ce système est-il tenable ? Que peut-il se passer ?
Si le passe sanitaire est réactivé, alors de nombreux Israéliens se retrouveraient A LA CASE DEPART, c’est-à-dire contraints d’accepter une nouvelle dose… pour continuer à aller au restaurant, se déplacer, vivre normalement.
Ne vous faites aucune illusion… tous les pays seront confrontés à cette problématique, tôt ou tard. Et cela aura des impacts (y compris sur les contrôles aux frontières, les déplacements).
Je prends un exemple très concret : la Thaïlande. Aujourd’hui, un touriste étranger doit être en mesure de présenter sa “preuve de vaccination” (QR code pour les Européens), donc 2 doses selon le standard mondial ou à défaut un test PCR négatif.
Mais… cela ne pourra pas durer éternellement. Soit le pays abandonnera tout le dispositif, soit il sera OBLIGE -comme Israël- d’ajuster la définition, en intégrant les doses de rappels (à ce jour, la Thaïlande fait la promotion de la 3ème dose).
Au-dessus, l’OMS devra également se positionner… et à sa suite toutes les officines nationales complices (CDC, Santé Publique France etc.)
C’est un fait : le consentement pour les 3èmes et 4èmes doses chute.
Le système covidémentiel, s’il veut se maintenir, devra donc faire impérativement deux choses, et au trot :
réactiver la peur (via un énième nouveau variant)
réactiver les outils administratifs (passe sanitaire, passe vaccinal avec les restrictions correspondantes, car les premiers ne peuvent pas subsister sans les seconds)
A défaut, tout le système s’effondrerait… et on serait alors dans la situation du vaccin… annuel contre la grippe (que l’on propose sans grand succès).
Le calendrier est imparable : tout va se jouer durant l’automne/hiver … donc dans une poignée de mois (pour l’hémisphère nord).
Préparez les popcorns et le pinard.
POST-SCRIPTUM
Tout le monde attend le prochain “variant hivernal”. Ici, il faut comprendre un point technique fondamental… Ce variant n’aura même pas besoin d’être davantage pathogène pour atteindre l’effet désiré.
En effet, en combinant :
affaiblissement volontaire des systèmes hospitaliers (fermetures de lits, etc.) provoquant du “mal soin”, voire carrément un manque de soins
hausse naturelle de la mortalité et des besoins de soins (les générations nombreuses du baby boom, dans de nombreux pays occidentaux, qui commencent à partir physiquement en sucette)
saisonnalité (La Palice fait du ski, mais en hiver, les gens sont davantage malades)
hausse artificielle de la mortalité (liée aux produits ARNm qui affaiblissent les systèmes immunitaires et/ou blessent) (un facteur encore diffus, mais dont on voit déjà quelques signaux dans certains pays)
d’éventuels phénomènes type ADE (les réinfections Covid étant à chaque fois plus violentes chez les vaccinés)
… tout cela devrait MECANIQUEMENT provoquer le chaos ou en tout cas une forte dégradation… qui permettra de justifier la relance de la boucle désormais bien connue :