Certains pensent encore que le “coronavirus” était terrible et que nous avons failli tous mourir dans d’atroces douleurs, selon la formule consacrée.
Voici un reportage diffusé sur la télé australienne (pourtant très covidémente), pas daté mais durant lequel ils évoquent le variant “delta” (donc fin 2020/début 2021).
De quoi s’agit-il ? D’une variété d’ail cultivé en Australie… et qui… ô surprise !… casse la gueule de la terrible arme bactériologique développée par des scientifiques sino-américains déjantés et des pangolins hystériques.
Je l’ai souvent répété… on finira par avouer que l’eau gazeuse, le vin rouge, le munster fermier coulant… sans oublier le chocolat noir… la masturbation, les Pokémon, et le Requiem de Mozart, tout… virtuellement… tout est capable de détruire le terrible virus responsable de la plus grande pandémie de toute l’histoire des vertébrés…
😉
Bref.
Outre ses miracles culinaires et sa capacité à pimenter les véritables baisers des véritables amants, l’ail possède de nombreuses vertus médicales.
Et c’est même un fongicide. A garder dans un coin de son nez lorsque le Grand Crabe viendra vous croquer les miches.
Et vous allez voir que d’une simple gousse d’ail à la géopolitique il n’y a guère qu’une brandade de distance !
Un lecteur attentif sur Twitter a en effet retrouvé un test clinique IRANIEN… durant lequel ils filaient de l’ail à des couillonavirés… en PLUS DU REMDESIVIR, le fameux poison de Gilead, le géant pharmaceutique américain !
Ici, un brin de culture est nécessaire… Si vous ne vous souvenez pas que l’Iran avait construit une usine pour fabriquer le Remdesivir… alors vous ne pouvez pas comprendre l’absurdité d’une telle étude.
Politiquement, c’est très parlant aussi.
Je rappelle que l’Iran fut “frappée” très tôt par le mystérieux virus, lequel affichait un goût aussi certain qu’étonnant pour… les officiels du pays (ministres, députés, fonctionnaires etc.).
L’Iran qui a des liens très étroits avec… la Chine.
Eh oui, on y revient toujours.
La Chine qui se gorge des hydrocarbures bon marché des Perses.
Et je l’ai écrit très tôt : quoi de mieux pour resserrer les liens avec son fournisseur, inverser les rôles et le rendre encore plus dépendant de vous ? Lui faire peur avec un terrible virus…
Mais tout ceci est bien entendu l’expression d’un complotisme effréné… 😉
Bref, il faut bien prendre la mesure du délire : des Mollahs en guerre contre les Etats-Unis depuis 40 ans, qui construisent une usine pour fabriquer un poison américain pour lutter contre un virus chinois mais qui aurait été répandu par les Etats-Unis, tout en vendant du pétrole aux chinois et en étudiant les effets de… l’ail sur les malades… et qui finissent par utiliser… l’ivermectine (lire ici) ! 😉
C’est un fait indépassable : le Réel est toujours un peu plus complexe que ses représentations sur BFMerde ou dans Le Monstre.
Une société américaine, HistoSonics, commercialise (avec autorisation de la FDA depuis 2023) une machine baptisée “Edison” qui permettrait de “traiter” (comprendre détruire) les tumeurs sur le foie.
Le système utilise des ultrasons. Ils appellent ce procédé: histotripsy (nom résolument grotesque).
Le principe ?
Les ondes sonores “cavitent“… font des “microbulles“… qui démolissent les tissus visés (en les liquéfiant)…
Ensuite, le système immunitaire nettoie tout le merdier.
“non-invasive, non-thermal and non-ionizing method to destroy targeted liver tissue. “
Vous l’avez compris : ça remplace la chirurgie, les chimios et les rayons…
Rien de moins !
(Pour le café et la caresse du matin, faudra voir.)
Le tout sans détruire tout ce qu’il y a autour de la tumeur, en clair, sans vous détruire… vous.
Soit un très net progrès ! 😉
Mais attention, cela nécessite quand même une anesthésie générale (faut pas bouger !).
Et on peut apprécier leur approche, très terre-à-terre, ici décrite par un journaliste :
But histotripsy doesn’t need to understand cancer to be effective. Its reliance on physical force generated by sound means it can ignore questions like what turns normal cells malignant or why certain abnormal cells grow and spread in the body. It’s simply good at killing a killer.
Ils reconnaissent -eux- que personne n’est capable d’expliquer… le cancer.
On fait joujou comme des gamins autistes avec des théories depuis des décennies… mais ces théories foirent avec une constance qui force le respect…
Et les malades continuent de crever.
Une telle honnêteté est rafraîchissante.
Cette société a procédé à 2 tests cliniques, sur le foie (2021) mais aussi d’autres cancers, comme le rein (2023).
Alors ?
Startrek ou escroquerie ?
La guerre des étoiles ou on a perdu la 7ème compagnie ?
Brigitte Bardot ou Sardine Rousseau ?
Je ne veux pas ici débattre de cette technologie, de ses vertus, de ses dangers. Ou de ses éventuelles foirades.
Vous connaissez la maison ; je souhaite plutôt élargir le débat. 😉
D’abord, cette société fut fondée en… 2009.
Quinze ans déjà ? !
On trouve un papier daté de 2014. Un autre de 2016.
La “percée” technologique en question remonte en réalité à… 2002 (je vous invite à lire ce long article qui explique tout).
Et c’était basé sur les travaux du professeur Charles Cain… qui, suprême ironie… décéda d’un cancer de la prostate en mars 2020 !
Le monde est décidément mal fichu.
Wait a minute… 2002 ? !
Soit… vingt-deux ans au compteur !
Déjà.
A ce rythme-là, on crèvera tous -de vieillesse ou du “Covid”- avant de voir cette techno à l’oeuvre !
On sent donc clairement… le bug.
Quand on mesure les enjeux… quand on comprend la dinguerie de la proposition de cette “histotripsy”, en clair remplacer purement et simplement… une industrie qui pèse des gazillons de dollars CHAQUE ANNEE (les chimios, les radiothérapies, la chirurgie)… on comprend que tout ceci n’a AUCUN SENS.
Le géant américain Johnson&Johnson… a injecté 85 millions de dollars (!!!) dans la société en décembre 2022 ! Ce n’est pas rien… Investissement sincère et intéressé ? Ou alors le baiser de la mort ?
Même un ultra turbo libéral à tendance anar’ très prononcée (comme votre serviteur)… comprend que laisser un tel outil aux mains d’une société privée, cotée au Nasdaq… est une aberration, un non sens éthique, un non sens scientifique.
Bref, une hérésie.
Oui d’accord, tout travail mérite salaire, et toute découverte mérite son pesant de lingots d’or via des brevets. Certes.
Mais… pas sur le cancer.
C’est tout.
Et surtout pas dans une telle configuration (Big Pharma ayant tous les moyens pour définitivement tuer dans l’oeuf cette technologie… même si elle était réellement miraculeuse).
Pour appuyer mes propos séditieux je renvoie à l’Histoire (autre de mes marottes).
C’est Richard Nixon (grand président américain, sans doute le dernier) qui lança un vaste plan pour tuer le cancer (le National Cancer Act, signé en décembre 1971).
Il l’annonça avec force et optimisme en janvier 1971 lors de son discours sur l’état de l’Union, rien de moins !
Voici ses mots :
“The time has come in America when the same kind of concentrated effort that split the atom and took man to the moon should be turned toward conquering this dread disease”. “Let us make a total national commitment to achieve this goal”.
C’est du lourd.
Oui, nous avons percé les secrets de l’atome.
Oui on a mis les pieds sur la Lune (ou plutôt un orteil, alerte conspi’)…
Alors appliquons au cancer la même ambition ! Afin de lui démolir sa sale gueule, une bonne fois pour toute… et forever.
Nixon a bien entendu TOTALEMENTéchoué (lui et tous ses successeurs…).
Mais ce n’est pas le sujet.
Nixon fut en réalité le premier à comprendre que le cancer est un sujet tellement universel qu’il en devient… POLITIQUE.
Il faut donc adopter une démarche POLITIQUE… bien loin des dividendes “à la” Pfizer ou “à la” Moderna (crapules dégénérées des temps modernes, petits ronds-de-cuir du capitalisme dévoyé des copains et surtout des coquins).
Il faut une action publique, collective… pour ne pas dire collectiviste. 😉
Oh je sais !
Prononcer de tels mots en 2024 c’est quasiment du terrorisme.
J’ai déjà la Licra, le Sgeg et la Foune aux fesses. Le GIGN suivra bientôt.
Et cela me permet de boucler sur mon autre dada.
Allô Pékin ? Allô tonton Xi ? Pourquoi tu ne tousses pas ?
La Chine devrait s’emparer de tous ces sujets, de toutes ces technos… les exploser en leur appliquant une énormité de moyens financiers et surtout humains… et confirmer ou infirmer.
Point barre.
Si “histotripsy” est vraiment un traitement révolutionnaire… alors il faut renvoyer cette aimable société privée à la niche… et l’offrir AU MONDE ENTIER (gratuitement bien entendu).
Tout ceci peut être fait EN QUELQUES MOIS. Ca n’est pas méningiteux !
Pas besoin d’attendre 22 ans bon sang !
Le prestige politique et scientifique que la Chine pourrait récolter serait incommensurable…
Ce serait massif, ahurissant, planétaire !
Ce serait la revanche de tout le monde non-occidental sur la médecine et la recherche occidentales (totalement corrompues aujourd’hui, le Covid en fut son épitaphe honteuse).
Je reformule : rien ne viendra de l’Occident… pourri à la trogne.
C’est à la Chine (ou d’autres pays comme la Russie) de faire le boulot et de courir les derniers 100 mètres.
Pour le bien de l’humanité.
Pour une fois.
POST-SCRIPTUM
L'”histotripsy” détruit en partie la tumeur… Et ensuite, le système immunitaire reprend ses droits et achève ce qui reste.
After histotripsy destroyed 50% to 75% of liver tumor volume, the rats’ immune systems cleared away the rest, with no evidence of recurrence or metastases in more than 80% of animals.
That immune response occurred throughout the body, not just in areas targeted by the histotripsy treatment, resulting in the reduction of tumors far from the treated area. (source)
On voit bien que la théorie de la “mutation délétère” est trop courte… Pourquoi les cellules cancéreuses (“folles”) ne sont-elles pas reconnues par le système immunitaire ?
Pourquoi quand certaines parties de la tumeurs sont détruites… alors le système immunitaire -par miracle- se remet à faire son boulot correctement ?
Parce que quelque chose “pirate” le système (à son profit).
On a pu le démontrer aussi pour l’effet Warburg… des cellules dites “folles/mutantes” (cancéreuses) sont capables de revenir à leur fonctionnement énergétique normal.
Au passage, on comprend la démence absolue des chimiothérapies… qui RAVAGENT le système immunitaire… laissant le malade démuni.
La tumeur est certes détruite… temporairement… mais le cancer REPART immédiatement après, et encore plus fort… puisque le mécanisme de défense naturelle a été durablement endommagé.
La chimiothérapie, c’est-à-dire l’injection de poisons ultra toxiques juste en dessous de la dose léthale, est un contresens intellectuel, médical, biologique total.
C’est un crime contre l’humanité.
Le modèle de Mark Lintern (infection par micro organismes), une fois de plus, met de la cohérence là où il n’y a qu’étrangetés et paradoxes.
J’ai lu récemment : “Curing Cancer with Carrots” de Ann Cameron, publié en 2015.
Faut-il vraiment vous faire la traduction ? 😉
“Guérir du cancer avec des carottes” !
Oui je sais. Ca jette un froid.
D’un blog de haute tenue avec des analyses géopolitiques aussi éblouissantes que profondes… je serais donc passé de l’autre côté de la rue, ambiance Tatie Danièle moisie qui évoque ses recettes de tartes aux pommes.
Ou de broderie.
Revenons à Ann. Cette Américaine écrit des livres pour enfants. Là aussi ce n’est pas vraiment flatteur.
Juin 2012. Crac, cancer colon. Stade 3. Ca tombe bien le chirugien a du temps. Zou. On l’opère immédiatement. Mais une infection survient après, ce qui EMPECHE toute chimio… poussée bien entendu par ses médecins et qu’elle était prête à accepter. Le coup de bol !
Novembre 2012. Nouveau scan. Stade 4, avec métastases aux poumons !
La totale.
Elle a gagné le gros lot.
Alors on lui chante encore les louanges d’une bonne chimio (“paliative” cette fois… en clair c’est bientôt the end).
Mais elle refuse.
Elle a trouvé sur Internet l’histoire d’un homme, Ralph Cole, qui prétend avoir guéri son cancer en 2006 avec… des jus de carottes.
Elle l’appelle. Le type semble honnête. Elle décide d’essayer. On imagine aisément : “foutu pour foutu autant soigner son teint“.
Elle commence ainsi immédiatement une cure… de jus de carottes.
Aucune chimio, aucune radiothérapie. Pas de suppléments (même pas de vitamines D, C etc.).
Rien d’autre que 1,25 litre de jus de carottes, préparé le matin et bu tout au long de la journée.
Même pas des carottes “bio” ! Et elle ne les épluche pas.
Ah la garce !
On sent tout de suite la forte tête, voire la militante extrémiste MAGA (un poil homophobe aussi ? La carotte… on connaît la chanson). 😉
Je plaisante bien entendu. Toutes mes excuses à Ann.
Mars 2013 : étrangement, le cancer n’a pas progressé alors que normalement à ce stade-là, il doit cavaler.
Pas de nouvelles tumeurs et les tumeurs existantes rétrécissent. Tiens tiens… Ah bon ?
30 juillet 2013 : le cancer a disparu… après donc 8 mois de consommation quotidienne de jus de carottes.
Bref, on se pince.
Et puis… on commence à étudier la farce… Les carottes contiennent une foultitude de molécules dont du bêta-carotène (ce qui donne couleur) et des acides phénoliques et du polyacétylène.
C’est quoi le rapport avec la choucroute, ou disons la salade de carottes, alors ?
les acides phénoliques ont des propriétés antifongiques (et antibactériennes)
le bêta-carotène a des propriétés antifongiques (et antioxydantes)
le polyacétylène a des propriétés antifongiques
Hum…
Ann Cameron mettra le miracle carottophile sur le compte de 2 autres molécules : le falcarinol et la lutéoline.
… Mais qui ont AUSSI des vertus antifongiques ! Quelle coïncidence. Que le monde est petit !
Bref quelque chose qui paraît totalement aberrant… voire même burlesque (des carottes, le teint rose, nos grands-mères !!!!) prend subitement du sens… lorsqu’on l’observe sous le prisme du modèle de Mark Lintern (champignons qui parasitent nos cellules et provoquent le cancer, voir mon article ici) !
Est-il besoin de rappeler la réaction du fact-checkeur de base ?
“Aucune étude n’a démontré l’intérêt thérapeutique de la carotte contre le cancer. Prout“.
Voilà son mantra. Son bâton de pélerin. Son godemiché mental.
Si pas d’étude, alors ça n’existe pas… ignorant ainsi comme un gros con… la vie tout autour, les expériences de gazillons d’individus.
Car le fact-checkeur a l’anus à la fois serré (psychorigide) et distendu (car il s’en prend des nombreuses, par tractopelle).
En même temps si vous préférez.
Bien entendu qu’aucune “étude” n’a jamais été faite ! Qui financerait une telle “étude” ??!!
Imagine t-on Pfizer ou Sanofi vendre… des carottes ? Des carottes fourrées à l’ARNm ? Remarquez, il y a peut-être ici l’ébauche d’un business plan…
Donc, oui, FORCEMENT bande de crétins dégénérés, “aucune étude” n’appuie l’expérience de Ann Cameron et d’autres !
L’étude c’est Ann Cameron… en personne.
L’étude c’est Ralph Cole… en personne.
(elle donne à la fin de son livre une dizaine d’autres témoignages).
Enfin, la véritable étude est de relier toutes ces expériences sur un canevas unique, et de tenter ensuite de comprendre le tableau ainsi obtenu.
Ne pas accepter cette idée fondamentale… disqualifie tous ces clowns et la quasi totalité du corps médical (qui a vendu son âme, et pour pas cher, durant la covidémence, il est important de le souligner).
POST-SCRIPTUM
Il y a de nombreuses études sur le sujet :
Absolute configuration of falcarinol, a potent antitumor agent commonly occurring in plants, 1999.
Differential Effects of Falcarinol and Related Aliphatic C17-Polyacetylenes on Intestinal Cell Proliferation, 2009.
Carrot Component Reduces Cancer Risk, 2005, University Of Newcastle Upon Tyne
Eliassen AH et al, Plasma carotenoids and risk of breast cancer over 20 y of follow-up. Am J Clin Nutr, juin 2015, (taux de caroténoïdes plasmatiques et risque de cancer du sein dans une étude de suivi de 20 ans).
Slattery ML et al, Carotenoids and colon cancer. Am J Clin Nutr, février 2000, (Caroténoïdes et cancer du côlon).
Larsson SC et al, Vitamin A, retinol, and carotenoids and the risk of gastric cancer : a prospective cohort study.
Février 2007, Am J Clin Nutr (Vitamine A, rétinol et caroténoïdes et risque de cancer de l’estomac : une étude de cohorte prospective).
Shareck M et al, Inverse Association between Dietary Intake of Selected Carotenoids and Vitamin C and Risk of Lung Cancer, février 2017, Front Oncol, (Association inverse entre la consommation de caroténoïdes sélectionnés et de vitamine C et le risque de cancer du poumon),