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Médicament

Caca : à la recherche de la bactérie perdue

On en fait des… transplantations. Si, si.

On la surnomme “la reine du caca“.

Les Anglos-saxons s’amusent en disant qu’elle “knows her shit“. Forcément.

Qui ? Il s’agit du docteur Sabine Hazan spécialisée en gastro-entérologie.

Elle publia en 2020 un livre : Let’s Talk Shit: Disease, Digestion and Fecal Transplants.

Que l’on peut traduire par l’audacieux : “Parlons de la merde : maladie, digestion et transplantations fécales“.

Je sais, le titre est évocateur et le menu appétissant (pour le bras séculier, faudra voir). 😉

Vous savez certainement que les scientifiques s’intéressent de plus en plus au contenu de nos intestins

Ils appellent cela le microbiote intestinal. Un espace étrange, que dis-je un univers !, où coexistent dans une symbiose stupéfiante des gazillons de bactéries, champignons, virus et autres bidules, etc.

Si vous n’avez plus de boutons sur le front, vous vous souvenez sans doute de l’expression : “nos intestins sont notre deuxième cerveau“.

Car il y a même des neurones à l’intérieur !

Je chie donc je pense ?

Enfin, on évoquera aussi le vieux dicton, cette fois plus réaliste :

On est ce que l’on mange.

😉

Où je veux en venir ?

Covid of course. Ou plus précisément… ivermectine (qui a été en quelque sorte redécouverte grâce à la covidémence).

Sabine Hazan propose une hypothèse fascinante.

C’est le déficit (dans notre microbiote intestinal) d’une certaine bactérie, le bifidobacterium, qui faciliterait… le boulot du Covid, conduisant aux “formes graves”.

Cette bactérie jouerait un rôle sur le système immunitaire (ce serait tout le microbiote intestinal qui aurait une influence sur le système immunitaire… l’inverse étant peut-être vrai aussi… symbiose on y revient toujours).

Le ou l’un des mécanismes d’action de l’ivermectine (contre le couillonavirus)… serait le suivant : elle agirait comme un ENGRAIS pour le bifidobacterium !

On résume :

  • vous êtes au bout de votre vie, 85 balais, multipathologisé, la vitamine D dans les chaussettes, et les intestins ravagés… Et en plus vous nous faites une grosse dépression.
  • le Covid dit alors : “Soeur Anne, ne vois-tu rien venir ?”
  • on vous administre de l’ivermectine… qui va booster le bifidobacterium, et hop, zou, coup de boule, clé de bras, balayette au virus.
  • vous gagnez une bougie supplémentaire (ne soyez pas trop ambitieux, vous restez un crevard) sur votre gâteau d’anniversaire (que vous ne pouvez pas manger de toute façon puisque vous n’avez plus de dents).

Il s’agit bien sûr d’une hypothèse… C’est élégant, mais il faut creuser.

Mes lecteurs les plus affranchis se souviennent sans doute de cette étude stupéfiante menée dans un Ehpad de Seine-et-Marne… où les pensionnaires (et le personnel) avaient tous été traités à l’ivermectine en mars 2020... en raison… d’une flambée de gale (l’ivermectine est le traitement contre cette maladie de peau, très contagieuse).

Attendez ! Mars 2020 ? ! Le fameux mars 2020 ?

Et ? Et ? Et ?

Etrangement ces joyeux vieillards déglingués… échappèrent au terrible couillonavirus !

Alors que c’était l’apocalypse couillonavirale dans les Ehpad d’Ile-de-France, les vieux tombaient comme des mouches (… à merde).

Et nous étions tous “en guerre“…

Ah ben merde alors !  Une coïncidite. 😉

Hazan publia à l’été 2022 un article pour présenter son bouzin :

Microbiome-Based Hypothesis on Ivermectin’s Mechanism in COVID-19: Ivermectin Feeds Bifidobacteria to Boost Immunity

Le mot “hypothèse” est assez clairement déposé dans le titre… tel un étron bien démoulé.

Les covidéments, les fanatiques haineux (on pense à Elisabeth Bik, une folle-dingue qui s’est également attaquée à Raoult, il a porté plainte contre elle) lui sont tombés dessus, forcément, en lui reprochant des erreurs dans son article.

Ces gens là nient l’essence même de la démarche scientifique : observer le réel, formuler des hypothèses, y compris les plus folles, et ensuite les tester, les confirmer ou les infirmer.

Car Hazan… et là on commence à comprendre et à relier les points… a terriblement aggravé son cas

Elle affirme en effet que… les produits ARNm, pseudos “vaccins”… affecteraient le microbiome intestinal et donneraient une bonne claque au bifidobacterium !

La tuile.

Son étude ici (qui date d’octobre 2022) : https://journals.lww.com/ajg/fulltext/2022/10002/s227_messenger_rna_sars_cov_2_vaccines_affect_the.227.aspx

De telles positions font d’elle une dangereuse terroriste, et une cible pour les zélotes du “camp du bien” et du “monde d’après” (copyright, trademark).

Résumons le problème :

Si non seulement l’avenir de notre système immunitaire serait dans notre merde, mais qu’en plus les produits géniques ARNm nous transformeraient en merde… cette fois au sens figuré… on comprend alors l’acharnement d’Elisabeth Bik, la Calamity Jane de la covidémence, et celui de toute l’industrie pharmaceutique !

Indiana Jones dans les Aventuriers des Toilettes Perdues : “Si je dépose un étron à la place, ça va marcher ?”
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Médicament Saloperie et sida mental

Zimbabwe : vengeance contre Jackie Stone

Soit le Zimbabwe.

A l’évidence, un shithole.

Un pouvoir corrompu (on pense à l’infâme Robert Mugabe), des famines (provoquées par l’expulsion des fermiers blancs), une hyperinflation surréaliste (en novembre 2008, le taux d’inflation s’élevait à… 79 milliards pourcents… par mois ! Un dollar américain valait alors… 2,5 milliards de la monnaie locale… le gouvernement lançait un billet de “cent trillions” soit 100 000 000 000 000 !!!!). 😉

Bref.

Lorsque les blancs dirigeaient le pays, c’était un paradis sur terre (“le grenier à grain de l’Afrique”) qui s’appelait… la Rhodésie.

Ils étaient un poil ségrégationnistes… mais la roue a tourné.

Quelques milliers d’Occidentaux habitent toujours là-bas (sur une population totale de 15 millions).

Parmi eux… le docteur Jackie Stone.

Cette femme courageuse s’est retrouvée aux prises avec le Covid, fin 2020. Son témoignage -parmi de nombreux autres- a permis aux résistants de comprendre que quelque chose clochait dans la narration officielle… que des molécules éprouvées comme l’ivermectine… permettaient de soigner des malades et de les sauver, concrètement (hors des délires promus par la Chine, l’OMS, Big Pharma, et tous leurs complices).

Elle avait donné une formidable interview en avril 2021.

Lien : https://covidemence.com/2021/04/27/zimbabwe-ivermectine-a-tous-les-etages/

Elle expliquait sa pratique médicale sur le terrain avec des vrais patients (et pas des fichiers Excel) et les résultats obtenus.

Au passage, elle rappelait des points importants :

-en Afrique on n’a pas peur de l’ivermectine (puisque utilisée depuis 30 ans)

-et en Afrique, face aux multiples pathogènes du moyen-âge… on a pour habitude de FRAPPER FORT (elle pratiquait des dosages importants)

Elle finissait sur ces mots solaires :

“Je n’ai plus peur du tout de cette maladie, maintenant”

Avance rapide septembre 2022.

L’équivalent du Conseil de l’Ordre local… l’attaque, sur 4 chefs d’accusation !

Une institution zimbabwéenne… 2 ans après… attaque un médecin local qui a sauvé des vies, pour un crime épouvantable : avoir cassé la narration covidémentielle (“il n’existe aucun traitement“), et avoir osé parler de l’ivermectine comme traitement.

Le Zimbabwe ?

Ce trou culier du monde ?

Ce qui est significatif dans cette affaire est qu’un morceau perdu d’Afrique, historiquement, économiquement… est malgré tout contrôlé par… les grandes institutions mondialistes telles l’OMS (elle-même infiltrée et instrumentalisée, la psyop Covid l’a amplement démontré).

Car enfin, qui connaît Jackie Stone (sur la scène internationale) ?

Et surtout qui se préoccupe du Zimbabwe ?

Personne.

Et pourtant… le système -telle une mafia- parvient AUSSI à manipuler les politiciens et les fonctionnaires locaux et à exercer une vengeance, quand il l’estime nécessaire.

Que Didier Raoult et Christian Perronne aient été persecutés… on peut le comprendre.

Ils occupent des positions importantes. Ils ont des audiences, au-delà même des frontières françaises.

Il était crucial de les neutraliser dans le cadre de la psyop covidémentielle.

Mais un médecin au Zimbabwe ? 😉

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Médicament

GABA : nouveau ba-BA contre le couillonavirus

Allez zou un cachet et au lit !

Les mois, les années passent… et les études qui mettent en avant l’efficacité de molécules banales contre le couillonavirus, continuent de s’empiler.

Ca en devient indécent.

Je synthétise : le slogan de 2020 “il n’y a pas de traitement contre le Covid” n’était qu’un baratin criminel, destiné uniquement à donner une substance à la menace couillonavirale.

Au lieu de soigner les malades… il fallait les faire crever  avec… du paracétamol (ou encore du Rivotril).

Coup double, car ce crime permettait aussi de justifier la fameuse “vaccination“… devenant la seule “arme” contre la terrible pandémie.

On connaît la suite : une invraisemblable hystérie collective avec des produits ARNm pas maîtrisés, et dangereux.

Inutile donc de revenir sur les antibios, l’HCQ, l’ivermectine, et tant d’autres… (pour les retardataires, vous pouvez feuilleter ma rubrique Médicaments, c’est un festival… et encore je n’ai pas pu tout répertorier…).

Aujourd’hui, c’est au tour du GABA.

Titre de l’étude :

A GABA-receptor agonist reduces pneumonitis severity, viral load, and death rate in SARS-CoV-2-infected mice

Lien : https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fimmu.2022.1007955/full

We observed that GABA treatment initiated immediately after SARS-CoV-2 infection, or 2 days later near the peak of lung viral load, reduced pneumonitis severity and death rates in K18-hACE2 mice. GABA-treated mice had reduced lung viral loads and displayed shifts in their serum cytokine/chemokine levels that are associated with better outcomes in COVID-19 patients.

A noter que la même molécule avait été testée contre un autre coronavirus (par la même équipe, en mai 2021), avec des résultats similaires

Alors kézako GABA ? Acide gamma aminobutyrique (gamma-Aminobutyric Acid).  C’est un neuro-transmetteur (il favorise le calme et la relaxation).

On le retrouverait aussi dans des cellules du système immunitaire, ainsi que des cellules du poumon (comme récepteur), et il inhiberait l’inflammation.

Voilà ce qui expliquerait son action contre le couillonavirus.

On trouve le GABA sous la forme de compléments alimentaires.