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Machine miraculeuse : crac, paf, wiz… et la tumeur disparaît

Tu cliques sur le mulot de la machine. Ca fait wiz, puis splash, puis crac, et enfin prout… La tumeur a dis-pa-ru ! (photo réalisée sans trucage, il s’agit bien de la machine “Edison”).

Je vous la fais très vite.

Une société américaine, HistoSonics, commercialise (avec autorisation de la FDA depuis 2023) une machine baptisée “Edison” qui permettrait de “traiter” (comprendre détruire) les tumeurs sur le foie.

Le système utilise des ultrasons. Ils appellent ce procédé: histotripsy (nom résolument grotesque).

Le principe ?

Les ondes sonores “cavitent“… font des “microbulles“… qui démolissent les tissus visés (en les liquéfiant)…

Ensuite, le système immunitaire nettoie tout le merdier.

“non-invasive, non-thermal and non-ionizing method to destroy targeted liver tissue. “

Vous l’avez compris : ça remplace la chirurgie, les chimios et les rayons

Rien de moins !

(Pour le café et la caresse du matin, faudra voir.)

Le tout sans détruire tout ce qu’il y a autour de la tumeur, en clair, sans vous détruire… vous.

Soit un très net progrès ! 😉

Mais attention, cela nécessite quand même une anesthésie générale (faut pas bouger !).

Et on peut apprécier leur approche, très terre-à-terre, ici décrite par un journaliste :

But histotripsy doesn’t need to understand cancer to be effective. Its reliance on physical force generated by sound means it can ignore questions like what turns normal cells malignant or why certain abnormal cells grow and spread in the body. It’s simply good at killing a killer.

Ils reconnaissent -eux- que personne n’est capable d’expliquer… le cancer.

On fait joujou comme des gamins autistes avec des théories depuis des décennies… mais ces théories foirent avec une constance qui force le respect…

Et les malades continuent de crever.

Une telle honnêteté est rafraîchissante.

Cette société a procédé à 2 tests cliniques, sur le foie (2021) mais aussi d’autres cancers, comme le rein (2023).

Alors ?

Startrek ou escroquerie ?

La guerre des étoiles ou on a perdu la 7ème compagnie ?

Brigitte Bardot ou Sardine Rousseau ?

Toute légende est parfaitement inutile…

Je ne veux pas ici débattre de cette technologie, de ses vertus, de ses dangers. Ou de ses éventuelles foirades.

Vous connaissez la maison ; je souhaite plutôt élargir le débat. 😉

D’abord, cette société fut fondée en… 2009.

Quinze ans déjà ? !

On trouve un papier daté de 2014. Un autre de 2016.

La “percée” technologique en question remonte en réalité à… 2002 (je vous invite à lire ce long article qui explique tout).

Et c’était basé sur les travaux du professeur Charles Cain… qui, suprême ironie… décéda d’un cancer de la prostate en mars 2020 !

Le monde est décidément mal fichu.

Wait a minute2002 ? !

Soit… vingt-deux ans au compteur !

Déjà.

Allô ? T’es cancéreux et t’as déjà attendu 22 ans ? Non mais allô quoi !

A ce rythme-là, on crèvera tous -de vieillesse ou du “Covid”- avant de voir cette techno à l’oeuvre !

On sent donc clairement… le bug.

Quand on mesure les enjeux… quand on comprend la dinguerie de la proposition de cette “histotripsy”, en clair remplacer purement et simplement… une industrie qui pèse des gazillons de dollars CHAQUE ANNEE (les chimios, les radiothérapies, la chirurgie)… on comprend que tout ceci n’a AUCUN SENS.

Le géant américain Johnson&Johnson… a injecté 85 millions de dollars (!!!) dans la société en décembre 2022 ! Ce n’est pas rien… Investissement sincère et intéressé ? Ou alors le baiser de la mort ?

Même un ultra turbo libéral à tendance anar’ très prononcée (comme votre serviteur)… comprend que laisser un tel outil aux mains d’une société privée, cotée au Nasdaq… est une aberration, un non sens éthique, un non sens scientifique.

Bref, une hérésie.

Oui d’accord, tout travail mérite salaire, et toute découverte mérite son pesant de lingots d’or via des brevets. Certes.

Mais… pas sur le cancer.

C’est tout.

Et surtout pas dans une telle configuration (Big Pharma ayant tous les moyens pour définitivement tuer dans l’oeuf cette technologie… même si elle était réellement miraculeuse).

Pour appuyer mes propos séditieux je renvoie à l’Histoire (autre de mes marottes).

C’est Richard Nixon (grand président américain, sans doute le dernier) qui lança un vaste plan pour tuer le cancer (le National Cancer Act, signé en décembre 1971).

Il l’annonça avec force et optimisme en janvier 1971 lors de son discours sur l’état de l’Union, rien de moins !

Voici ses mots :

“The time has come in America when the same kind of concentrated effort that split the atom and took man to the moon should be turned toward conquering this dread disease”. “Let us make a total national commitment to achieve this goal”.

C’est du lourd.

Oui, nous avons percé les secrets de l’atome.

Oui on a mis les pieds sur la Lune (ou plutôt un orteil, alerte conspi’)…

Alors appliquons au cancer la même ambition ! Afin de lui démolir sa sale gueule, une bonne fois pour toute… et forever.

Nixon a bien entendu TOTALEMENT échoué (lui et tous ses successeurs…).

Mais ce n’est pas le sujet.

Nixon fut en réalité le premier à comprendre que le cancer est un sujet tellement universel qu’il en devient… POLITIQUE.

Il faut donc adopter une démarche POLITIQUE… bien loin des dividendes “à la” Pfizer ou “à la” Moderna (crapules dégénérées des temps modernes, petits ronds-de-cuir du capitalisme dévoyé des copains et surtout des coquins).

Il faut une action publique, collective… pour ne pas dire collectiviste. 😉

Oh je sais !

Prononcer de tels mots en 2024 c’est quasiment du terrorisme.

J’ai déjà la Licra, le Sgeg et la Foune aux fesses. Le GIGN suivra bientôt.

Et cela me permet de boucler sur mon autre dada.

Allô Pékin ? Allô tonton Xi ? Pourquoi tu ne tousses pas ?

La Chine devrait s’emparer de tous ces sujets, de toutes ces technos… les exploser en leur appliquant une énormité de moyens financiers et surtout humains… et confirmer ou infirmer.

Point barre.

Si “histotripsy” est vraiment un traitement révolutionnaire… alors il faut renvoyer cette aimable société privée à la niche… et l’offrir AU MONDE ENTIER (gratuitement bien entendu).

Tout ceci peut être fait EN QUELQUES MOIS. Ca n’est pas méningiteux !

Pas besoin d’attendre 22 ans bon sang !

Le prestige politique et scientifique que la Chine pourrait récolter serait incommensurable

Ce serait massif, ahurissant, planétaire !

Ce serait la revanche de tout le monde non-occidental sur la médecine et la recherche occidentales (totalement corrompues aujourd’hui, le Covid en fut son épitaphe honteuse).

Je reformule : rien ne viendra de l’Occident… pourri à la trogne.

C’est à la Chine (ou d’autres pays comme la Russie) de faire le boulot et de courir les derniers 100 mètres.

Pour le bien de l’humanité.

Pour une fois.

Nixon : “Make cancer small again !”
POST-SCRIPTUM

L'”histotripsy” détruit en partie la tumeur… Et ensuite, le système immunitaire reprend ses droits et achève ce qui reste.

After histotripsy destroyed 50% to 75% of liver tumor volume, the rats’ immune systems cleared away the rest, with no evidence of recurrence or metastases in more than 80% of animals.

That immune response occurred throughout the body, not just in areas targeted by the histotripsy treatment, resulting in the reduction of tumors far from the treated area. (source)

On voit bien que la théorie de la “mutation délétère” est trop courte… Pourquoi les cellules cancéreuses (“folles”) ne sont-elles pas reconnues par le système immunitaire ?

Pourquoi quand certaines parties de la tumeurs sont détruites… alors le système immunitaire -par miracle- se remet à faire son boulot correctement ?

Parce que quelque chose “pirate” le système (à son profit).

On a pu le démontrer aussi pour l’effet Warburg… des cellules dites “folles/mutantes” (cancéreuses) sont capables de revenir à leur fonctionnement énergétique normal.

Au passage, on comprend la démence absolue des chimiothérapies… qui RAVAGENT le système immunitaire… laissant le malade démuni.

La tumeur est certes détruite… temporairement… mais le cancer REPART immédiatement après, et encore plus fort… puisque le mécanisme de défense naturelle a été durablement endommagé.

La chimiothérapie, c’est-à-dire l’injection de poisons ultra toxiques juste en dessous de la dose léthale, est un contresens intellectuel, médical, biologique total.

C’est un crime contre l’humanité.

Le modèle de Mark Lintern (infection par micro organismes), une fois de plus, met de la cohérence là où il n’y a qu’étrangetés et paradoxes.

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Cancer : des livres pour enfants et des carottes

Tu as le choix : la carotte c’est dans ton jus. Ou dans ton cul.

J’ai lu récemment : “Curing Cancer with Carrots” de Ann Cameron, publié en 2015.

Faut-il vraiment vous faire la traduction ? 😉

“Guérir du cancer avec des carottes” !

Oui je sais. Ca jette un froid.

D’un blog de haute tenue avec des analyses géopolitiques aussi éblouissantes que profondes… je serais donc passé de l’autre côté de la rue, ambiance Tatie Danièle moisie qui évoque ses recettes de tartes aux pommes.

Ou de broderie.

Revenons à Ann. Cette Américaine écrit des livres pour enfants. Là aussi ce n’est pas vraiment flatteur.

Juin 2012. Crac, cancer colon. Stade 3. Ca tombe bien le chirugien a du temps. Zou. On l’opère immédiatement. Mais une infection survient après, ce qui EMPECHE toute chimio… poussée bien entendu par ses médecins et qu’elle était prête à accepter. Le coup de bol !

Novembre 2012. Nouveau scan. Stade 4, avec métastases aux poumons !

La totale.

Elle a gagné le gros lot.

Alors on lui chante encore les louanges d’une bonne chimio (“paliative” cette fois… en clair c’est bientôt the end).

Mais elle refuse.

Elle a trouvé sur Internet l’histoire d’un homme, Ralph Cole, qui prétend avoir guéri son cancer en 2006 avec… des jus de carottes.

Elle l’appelle. Le type semble honnête. Elle décide d’essayer. On imagine aisément : “foutu pour foutu autant soigner son teint“.

Elle commence ainsi immédiatement une cure… de jus de carottes.

Aucune chimio, aucune radiothérapie. Pas de suppléments (même pas de vitamines D, C etc.).

Rien d’autre que 1,25 litre de jus de carottes, préparé le matin et bu tout au long de la journée.

Même pas des carottes “bio” ! Et elle ne les épluche pas.

Ah la garce !

On sent tout de suite la forte tête, voire la militante extrémiste MAGA (un poil homophobe aussi ? La carotte… on connaît la chanson). 😉

Je plaisante bien entendu. Toutes mes excuses à Ann.

Mars 2013 : étrangement, le cancer n’a pas progressé alors que normalement à ce stade-là, il doit cavaler.

Pas de nouvelles tumeurs et les tumeurs existantes rétrécissent. Tiens tiens… Ah bon ?

30 juillet 2013 : le cancer a disparu… après donc 8 mois de consommation quotidienne de jus de carottes.

Bref, on se pince.

Et puis… on commence à étudier la farce… Les carottes contiennent une foultitude de molécules dont du bêta-carotène (ce qui donne couleur) et des acides phénoliques et du polyacétylène.

C’est quoi le rapport avec la choucroute, ou disons la salade de carottes, alors ?

  • les acides phénoliques ont des propriétés antifongiques (et antibactériennes)
  • le bêta-carotène a des propriétés antifongiques (et antioxydantes)
  • le polyacétylène a des propriétés antifongiques

Hum…

Ann Cameron mettra le miracle carottophile sur le compte de 2 autres molécules : le falcarinol et la lutéoline.

… Mais qui ont AUSSI des vertus antifongiques ! Quelle coïncidence. Que le monde est petit !

Bref quelque chose qui paraît totalement aberrant… voire même burlesque (des carottes, le teint rose, nos grands-mères !!!!) prend subitement du sens… lorsqu’on l’observe sous le prisme du modèle de Mark Lintern (champignons qui parasitent nos cellules et provoquent le cancer, voir mon article ici) !

Est-il besoin de rappeler la réaction du fact-checkeur de base ?

Aucune étude n’a démontré l’intérêt thérapeutique de la carotte contre le cancer. Prout“.

Voilà son mantra. Son bâton de pélerin. Son godemiché mental.

Si pas d’étude, alors ça n’existe pas… ignorant ainsi comme un gros con… la vie tout autour, les expériences de gazillons d’individus.

Car le fact-checkeur a l’anus à la fois serré (psychorigide) et distendu (car il s’en prend des nombreuses, par tractopelle).

En même temps si vous préférez.

“Elle se jetait sur le lit. Elle me montrait le renflement brun de son anus”. Oh la boulette ! Dès que j’écris le mot “anus”, je pense à Burno Lemerde et à son livre ! Quel cauchemar.

Bien entendu qu’aucune “étude” n’a jamais été faite ! Qui financerait une telle “étude” ??!!

Imagine t-on Pfizer ou Sanofi vendre… des carottes ? Des carottes fourrées à l’ARNm ? Remarquez, il y a peut-être ici l’ébauche d’un business plan…

Donc, oui, FORCEMENT bande de crétins dégénérés, “aucune étude” n’appuie l’expérience de Ann Cameron et d’autres !

L’étude c’est Ann Cameron… en personne.

L’étude c’est Ralph Cole… en personne.

(elle donne à la fin de son livre une dizaine d’autres témoignages).

Enfin, la véritable étude est de relier toutes ces expériences sur un canevas unique, et de tenter ensuite de comprendre le tableau ainsi obtenu.

Ne pas accepter cette idée fondamentale… disqualifie tous ces clowns et la quasi totalité du corps médical (qui a vendu son âme, et pour pas cher, durant la covidémence, il est important de le souligner).

Couverture avec une imagerie infantile… Ann Cameron a raison au fond… Elle nous trolle. Elle nous provoque.
POST-SCRIPTUM

Il y a de nombreuses études sur le sujet :

Absolute configuration of falcarinol, a potent antitumor agent commonly occurring in plants, 1999.

Differential Effects of Falcarinol and Related Aliphatic C17-Polyacetylenes on Intestinal Cell Proliferation, 2009.

Carrot Component Reduces Cancer Risk, 2005, University Of Newcastle Upon Tyne

Eliassen AH et al, Plasma carotenoids and risk of breast cancer over 20 y of follow-up. Am J Clin Nutr, juin 2015, (taux de caroténoïdes plasmatiques et risque de cancer du sein dans une étude de suivi de 20 ans).

Slattery ML et al, Carotenoids and colon cancer. Am J Clin Nutr, février 2000, (Caroténoïdes et cancer du côlon).

Larsson SC et al, Vitamin A, retinol, and carotenoids and the risk of gastric cancer : a prospective cohort study.

Février 2007, Am J Clin Nutr (Vitamine A, rétinol et caroténoïdes et risque de cancer de l’estomac : une étude de cohorte prospective).

Shareck M et al, Inverse Association between Dietary Intake of Selected Carotenoids and Vitamin C and Risk of Lung Cancer, février 2017, Front Oncol, (Association inverse entre la consommation de caroténoïdes sélectionnés et de vitamine C et le risque de cancer du poumon),

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Cancer : le chaînon manquant ?

Voilà ce que le livre de Mark Lintern provoquera sur votre cerveau. Et accessoirement sur tout le reste de la planète.

Commençons par… la fin.

Le sujet s’y prête plutôt bien… n’est-ce pas ?

Les cancers sont causés par des infections… de micro-organismes… des champignons… qui piratent le fonctionnement de nos cellules.

Voilà.

Oh ! Je sais !

Vous avez sans doute vomi votre goûter, votre muscle cardiaque se la joue Carl Lewis et votre cerveau danse la java.

Et pourtant…

Respirez à fond… Allez, on y va !

**************************************************

Soit le cancer. Mon autre dada (après la Chine).

Pourquoi ? Mais parce que !

Comme vous, des membres de ma famille, des amis proches… sont morts de cette maladie.

Et j’ajoute : mal crevés (longues et terribles agonies).

Comme vous, je les ai vus… assommés, torturés, détruits par les chimios aberrantes, subissant la démence des “oncologues” avec leurs “nouveaux protocoles“, les tumeurs qui se multiplient, qui deviennent résistantes…

Et au bout du bout… la morphine en biberon pour ACHEVER le supplicié…

Et enfin… le coeur qui lâche…

La délivrance.

On a abrégé ses souffrances“… est ainsi l’eulogie la plus couramment faite… suite au décès d’un cancéreux !

Comme la plupart d’entre-vous donc… j’ai vécu tout cela.

D’où ma haine. Et donc… une motivation élevée.

Mais avant de plonger dans le grand mystère du crabe, il convient de définir les mots.

Les oncologues sont des spécialistes d’une maladie que… l’on ne connaît pas (selon le mot sublime de Dieudonné).

Rien n’est plus vrai.

Un exemple parmi d’autres : les cellules cancéreuses se gavent de glucose, bien davantage que les cellules saines. Ce fait biologique est la clé du fameux “PET-scan”… imagerie médicale dont les “oncologues” font grande consommation pour leurs patients !

On injecte un produit radioactif à base de glucose (apparenté)… qui est donc absorbé très rapidement par les cellules cancéreuses et zou… ces dernières s’illuminent comme un arbre de noël sur l’écran.

Regarde comme elles sont belles tes tumeurs ! Elles brillent de mille feux sur le PET-scan. C’est noël.

Et pourtant… la plupart de ces pseudos spécialistes, ayant derrière eux 10 ans d’école de médecine et de longues années de pratique… la plupart encore nie l’utilité des régimes alimentaires REDUISANT l’apport de glucose ou encore l’intérêt du jeûne intermittent (en tant que support thérapeutique) !

Comment prendre ces gens au sérieux ?

(pas de malentendu, pour les fact-brouteurs neuneus, si moins de glucose, les cellules cancéreuses peuvent alors activer d’autres sources d’énergie : glutamine, lipides… il n’est donc pas question de dire qu’un régime hypoglucidique est un remède miracle).

Le cancer c’est donc d’abord une théorie unique depuis les années 60 : la théorie génétique, l’ADN endommagé.

Nos cellules se renouvellent en permanence… et un jour crac… pas de bol… ADN endommagé… pouf… mutations délétères… Les cellules se mettent à dysfonctionner… elle deviennent “folles”, et c’est le début des emmerdements.

Il s’agit bien de la soupe mentale que les médecins vous servent quand vous débarquez dans leur cabinet avec votre cancer velu qui vous renifle l’arrière-train.

Et cela fait 60 ans que l’on rabâche.

Et cela fait 60 ans que l’on applique les mêmes traitements (radiothérapie, chimiothérapie, la chirurgie étant à part)… qui démolissent l’ADN de ces cellules dingos et qui bien entendu dévastent… tout le reste… dont le système immunitaire.

Et cela fait 60 ans que CELA NE FONCTIONNE PAS !

Pire encore, ces traitements ne guérissent pas… mais aggravent souvent le problème… à cause de leur extrême toxicité.

(rappelons le principe pour les retardataires : on injecte un poison donc… en dose massive… mais juste en dessous de sa dose léthale !)

L’industrie pharmaceutique trafique et enjolive les données… en parlant de “taux de survie à 5 ans“… alors qu’il faut bien entendu se baser sur le TAUX DE MORTALITE.

Et à ce moment… la vérité apparaît, livide et rigide comme un cadavre : depuis 60 ansil n’y a eu AUCUN PROGRES !

C’est fou. Hystérique même alors que pour d’autres pathologies graves, maladies du coeur, maladies cérébro-vasculaires, pneumonies etc… nous avons fait des vrais progrès, parfois remarquables.

Mais le cancer, niet. A la marge. Des miettes ridicules.

Les seules améliorations (il y en a… mais rapidement compensées par des nouveaux facteurs aggravants)… sont dûes à des changements d’habitudes dans la population (exemple notable : baisse très marquée de la consommation du tabac chez les hommes… On pourrait aussi parler de la baisse de la consommation d’alcool… enfin pas pour tout le monde 😉 ).

Les cancéreux en général continuent de crever dans quasiment les mêmes proportions… malgré des gazillons de dollars dépensés, des moyens colossaux déployés et des gazillons de chercheurs cherchant frénétiquement.

On met souvent en avant les enfants cancéreux que l’on parvient plus facilement à traiter comme preuve des”bénéfices“, du “succès” de ces méthodes de sorcières infernales.

Mais on oublie de préciser que durant les années qui suivent… 80% de ces enfants souffrent des dégâts des chimios, et sont accablés de pathologies et que nombre d’entre-eux se payent de nouveaux cancers

Cette théorie, obsédée par l’ADN et ses mutations, souffre d’une multitude d’étrangetés, d’incohérences, de contradictions, de paradoxes… tous systématiquement ignorés par la doxa scientifique.

Si la théorie déconne autant et depuis si longtemps… peut-être qu’elle est tout simplement… fausse ?

Non ?

Oh la ! Tout doux !

Une telle inférence est bien trop complexe pour un “oncologue” professionnel de la profession !

D’où l’émergence d’une autre théorie… la théorie métabolique.

Qui fait davantage sens, et qui -elle- est capable d’expliquer certaines des étrangetés de la maladie.

Elle explique ainsi parfaitement la mécanique du cancer… avec les mitochondries (les centrales énergétiques de nos cellules) qui deviennent dysfonctionnelles, qui passent la surmultipliée, ne meurent plus… ce qui entraîne la formation des fameuses tumeurs.

Mais stupéfaction stupéfiante… le coeur de cette théorie, l’effet Warburg… date de 1924 ! Ca fait un bail !

Hélas, cette théorie n’explique pas le pourquoi

Cause ou conséquence de la cancérogenèse… on patine toujours dans la semoule… cent ans après !

Et malgré ce siècle passé, les “oncologues” ignorent pour la plupart l’effet Warburg.

Ils pensent probablement que c’est une marque de saucisses allemandes.

On peut ajouter une nouvelle pièce au dossier… avec la théorie des cellules cancéreuses… souche. Eh oui, ça se complique !

Elle explique pourquoi après une bonne dose de mort-au-rat pardon de chimiothérapie… qui tuent les cellules cancéreuses (et tout ce qu’il y a autour)… le cancer REVIENT TRES SOUVENT, encore plus résistant et de manière encore plus forte.

Elle explique aussi pourquoi le cancer se promène dans le corps… et va métastaser, dans d’autres organes ou tissus.

Bref.

Arrive ensuite Mark Lintern. Il n’est ni médecin, ni chercheur.

C’est déjà un bon point.

Et il n’est pas le premier. D’autres ont travaillé dans le passé sur la théorie infectieuse.

Pendant huit années, il a lu les études scientifiques relatives au cancer… Les a classées, les a compilées, les a confrontées aux différentes théories, les a questionnées.

Il a procédé comme un détective, en notant les faits, toutes les découvertes ne collant pas avec la théorie classique, voir la contredisant.

Ce fut un véritable travail de flic des tumeurs !

Un travail qui ne fut pas lesté ni corrompu par des conflits d’intérêts pharmaceutiques ou des années d’école de médecine, de propagande avalée au kilomètre, apprise par coeur… et régurgitée comme un automate.

Et des études sur le crabe… il y en a des paquets. Certaines ont provoqué son étonnement, voire sa stupéfaction, et ont fait progressé sa compréhension du problème.

Deux exemples (il y en a beaucoup d’autres cités dans le livre) :

Article publié dans Science, novembre 2022.

Il s’avère que notre corps abrite d’innombrables microbes, tout comme nos tumeurs. Au cours des cinq dernières années, les chercheurs ont montré que les tissus cancéreux contiennent des communautés entières de bactéries et de champignons.

 

Cet article comble une lacune critique en montrant que les bactéries présentes à l’intérieur des cellules cancéreuses peuvent modifier le comportement de ces cellules.

 

Les champignons s’installent également souvent dans les tumeurs. Certaines combinaisons d’espèces fongiques sont corrélées à des chances de survie plus faibles dans plusieurs types de cancers, en particulier  des ovaires et du sein.

Ca secoue sévère, n’est-ce pas ?

Un autre truc fou-fou qui date cette fois de 2013 (publié dans la revue Mycoses) :

Diverses infections pulmonaires fongiques peuvent présenter des résultats radiologiques qui imitent le cancer du poumon. Faire la distinction entre ces lésions infectieuses (tumeurs) et le cancer du poumon reste difficile

Ah bon ? Les deux se ressemblent à ce point ? Au point… de se confondre ?

Alors… c’est peut-être la même chose, non ? 😉

Allez, une autre spectaculaire… publiée en 2021, par une équipe chinoise (Theranostics).

Notre analyse a clarifié l’importance de l’homéostasie fongique dans l’estomac et suggère que le déséquilibre fongique est associé à l’apparition et au développement du cancer gastrique.

Une petite dernière pour la route (BioM, 2021).

Notre étude précédente a montré que la diversité de la microflore fongique buccale des patients avec un cancer de la bouche est remarquablement différente de celle des individus en bonne santé. La charge fongique et la diversité des levures étaient significativement plus élevées chez les patients atteints de tumeurs buccales que dans la cavité buccale des individus en bonne santé.

Qui est au courant ?

Quels sont les médecins, les “oncologues” qui savent cela ?

Ont-il lu ces articles étonnants ?

Ont-ils réfléchi aux conséquences ?

Ont-ils réévalué leur compréhension de la maladie, leur pratique… à la lumière de ces coups de butoir conceptuel ?

Non, bien sûr que non.

Depuis des décennies, nous pensions que les tumeurs étaient stériles… et paf… on comprend qu’elles abritent en réalité… tout un monde de saloperies microscopiques !

Ajoutons, suprême ironie, que selon la doxa officielle, 15 à 20 % des cancers sont déjà causées par des infections !

  • Cancer du col de l’utérus (papillomavirus)
  • cancer du nasopharynx (virus Epstein-Barr)
  • cancer de l’estomac (bactérie Helicobacter pylori)
  • Et même des cancers créés par… des parasites… oui, oui… des vers (miam miam !).

Ca fait désordre, non ?

Mais une famille de micro-organismes reste étrangement dans l’ombre… alors qu’elle est énorme, que nous en avons des gazillons de membres A L’INTERIEUR de notre corps et SUR notre peau…

Ils sont partout dans notre environnement, dans l’air (via leurs spores), dans les sols, sur la nourriture que nous ingérons, sur les objets que nous touchons.

Les champignons (levures, moisissures…).

Certains peuvent nous guérir (pénicilline, les champignons médicinaux chinois)… d’autres sont “magiques” et nous font planer (psilocybine), d’autres nous nourrissent et nous font plaisir (ah bon dieu une fricassée de trompettes de la mort ou de girolles ou de pieds-de-mouton à la crème… l’extase transcendante !).

D’autres nous pourrissent littéralement la vie (en croissant et en libérant des mycotoxines, par exemple Candida Albicans ou Aspergillus), et provoquent de nombreuses pathologies.

Enfin certains… sont bien entendu capables de NOUS TUER.

Que se passe t-il quand nos organes ne parviennent plus à les “tenir en respect” ?

Quand ils s’échappent de la prison biologique dans laquelle notre corps les maintient, tant bien que mal et dans un équilibre délicat (eux et avec d’autres micro-organismes, bactéries et virus) ?

Que se passe t-il quand nos défenses s’affaiblissent, que l’équilibre biologique est rompu ?

Ces micro-organismes… se développent. Ils grossissent.

Ils sont hétérotrophes… cela signifie qu’ils se nourrissent… sur la bête : vous.

Voilà pourquoi… la problématique du système immunitaire (et du microbiote, les 2 sont liés) devrait être au centre du débat !

Car les corrélations entre carcinome et système immunitaire sont très nombreuses et très marquées.

Et malgré cette évidence… quel “oncologue” répète à son patient qu’il est nécessaire de muscler son système immunitaire ?

Au contraire… ces abrutis injectent de manière obsessionnelle aux cancéreux des poisons (dérivés des gaz de combat comme le sinistre gaz moutarde)… qui RUINENT leurs défenses immunitaires !

Même les médecins de Molière au 17ème siècle paraissent aujourd’hui… plus rationnels que cette clique de singes sous LSD.

Ceci est un “oncologue” qui réfléchit à son prochain “protocole”… cocktail de chimiothérapie avec la paille, mais sans l’ombrelle ni la tranche d’ananas.

Voici la thèse de Mark Lintern résumée, à grands traits, dans un diagramme comparatif de son cru.

Pour les impatients ou les paresseux, je signale que l’auteur a créé un PDF de 21 pages… afin de présenter/résumer sa théorie (spéciale dédicace à notre Stanislas national qui n’aime pas les formats longs, ou courts, je ne sais plus).

(lien ici pour le télécharger)

UNE FAIBLESSE

Il y a, de mon point de vue, une faiblesse structurelle dans la théorie de Mark Lintern.

Il s’appuie sur de très nombreuses études scientifiques  tout en citant une vaste étude américaine (National Cancer Institute) qui affirme que sur environ 1 million de papiers consacrés au cancer… 80 % sont… BIDONS (dans le sens non reproductibles) !

Ca fait mal.

L’industrie du cancer repose ainsi sur un corpus de connaissances scientifiques… vaseuses (au mieux)… voire totalement loufoques (au pire).

Et ce ne sont pas les années de covidémence… qui vont infirmer cela. Bien au contraire !

Nous avons tous constaté les débilités ahurissantes racontées par de nombreux “scientifiques” déjantés à propos du “Sars-Cov2″…

Certaines études publiées dans des prestigieuses revues à comité de lecture étaient carrément FRAUDULEUSES (le Lancetgate par exemple, mais il y en a hélas bien d’autres).

UNE CONCLUSION (TEMPORAIRE)

Ce livre est majeur.

Je pèse mes mots et mon italique.

Il est très complet, très riche, plus de 600 pages.

L’auteur s’appuie sur et cite des centaines d’études et articles (927 !!!!), liste des preuves, les entrechoque les unes les autres, et déroule son argumentaire d’une manière à la fois implacable et didactique.

Il faut s’accrocher, c’est dense, mais accessible à l’honnête homme.

Il explique les différents mécanismes en jeu, les différentes étapes, les processus biologiques (et même moléculaires pour certains), il met en lumière les contradictions, les liens cachés… jusqu’aux solutions thérapeutiques.

Eh oui… car comme par hasard… de nombreuses molécules génériques qui ont une activité antitumorale reconnue ont aussi des propriétés antifongiques.

Aussi ou… surtout ?

Liste non exhaustive :

  • metformine
  • les catéchines du thé vert
  • curcumine
  • mélatonine
  • berbérine
  • menbendazole/fenbendazole (antiparasitaires, mais aussi antifongiques. Protocole utilisé par Joe Tippens)
  • itraconazole, clotrimazole, miconazole (par définition)
  • resveratrol
  • disfulfiram
  • doxycycline (mais oui un antibiotique)
  • cannabis/CBD (une bonne défonce… antifongique)
  • mistletoe (le gui, la plante)
  • tamoxifène (eh oui… un médicament qui est donné contre le cancer du sein, c’est un anti-estrogène… mais il est aussi antifongique !!!)
  • et même atorvastatine (famille des statines), etc.

Mark Lintern n’est pas totalement isolé, tel un Don Quichotte du caducée. Des professionels de la santé commencent à ouvrir leur chakras et à considérer voire à appuyer ses analyses.

Je n’affirme pas que Mark Lintern a raison.

Je dis que :

  • Sa thèse est rationnelle, qu’elle s’appuie sur des fondations à la fois nombreuses et solides.
  • Qu’elle est élégante par sa simplicité et sa largeur de bande.
  • Et que finalement elle parvient à assembler dans l’ordre toutes les pièces du puzzle.

Ainsi, plus qu’une théorie de la Cell suppression (le nom qu’il lui donne, mais difficilement traduisible, par opposition à la théorie génétique de la cellule dysfonctionnelle), je préfère la qualifier de Théorie Unifiée du Cancer (elle ne rejette pas tout le corpus existant… elle le complète superbement, elle le rend finalement… cohérent, logique).

Reste à prouver que la fresque ainsi obtenue représente bien… le monde Réel… et non un énième borborygme intellectuel.

Les scientifiques doivent donc appliquer la démarche scientifique… et se mettre au boulot… pour valider ou invalider cette thèse.

Il y a urgence.

Le “Covid” fut une mascarade en terme de santé publique… Une farce absolue.

Le cancer… voilà le véritable tueur.

Voilà la véritable pandémie (10 millions de décès CHAQUE ANNEE, l’OMS en promet bien davantage dans le futur… merci les produits ARNm “sûrs et efficaces“).

Bref. Lisez ce livre (en anglais).

Lisez son synopsis de 21 pages au format PDF.

Traduisez-le. Faites-le tourner. Bougez-vous.

Parlez-en sur les réseaux.

Dans vos familles, avec vos amis (du moins ceux qui  restent… après la covidémence).

Partagez mon article (comme introduction).

Faites pression sur des éditeurs français pour traduire le bouquin. Faites du bruit. Mettez vos copains journalistes (ceux qui sont encore un peu honnêtes) sur le coup.

Car n’oubliez pas… statistiquement… VOUS FINIREZ PAR PASSER A LA CASSEROLE !

Je reformule : vous aussi vous finirez par développer votre petit carcinome… pas de jaloux !

Quant à ma propre contribution… vous connaissez le style de la maison… elle sera politique.

Si, si ! 😉

Démonstration :

Le cancer est -nous pouvons l’affirmer- l’apanage de la médecine occidentale.

Nous avons créé cette industrie, littéralement… Et nous menons toujours la danse dans ce domaine.

Nous dominons, osons le mot (même si c’est sans réussite, et sans gloire !).

J’appelle donc les ennemis de l’Occident, la Chine et la Russie (et l’Iran même) à comprendre qu’il y a là une formidable opportunité d’humilier l’Ouest… et au passage, pourquoi pas, d’alléger les souffrances de leurs populations et de faire avancer la science à pas de géant.

Déployez des moyens du type “Projet Manhattan“, ah non zut ça va déplaire à Pékin… des moyens à l’échelle du “Barrage des Trois Gorges“… 😉 et foncez !

Mettez le paquet !

Et validez ou invalidez cette satanée théorie.

La motivation est solaire : vous pouvez mettre échec et mat… des pans entiers de Big Pharma et de l’infrastructure médicale de l’Ouest.

La guerre ne se livre pas uniquement avec des armes cinétiques, ou des coups fourrés (la fausse pandémie coronavirale, les poisons ARNm)…

La guerre peut également s’appuyer sur… des découvertes scientifiques majeures.

Peut-on imaginer meilleure combinaison ?

Vous pourrez faire de la médecine (de la vraie) et en même temps… de la politique. De la grande géopolitique.

Je tente le tout pour le tout… et j’ose ce slogan :

Tuez le cancer… vous tuerez l’Occident.

Au boulot nom de dieu !
POST-SCRIPTUM

La science se concentre sur les bactéries et les virus… Les champignons semblent ignorés. Parce qu’ils oeuvrent lentement ? Très lentement ?

Nous savons peu de choses. Leur monde est encore largement inexploré.

A ce jour, six cents espèces ont été identifiées… comme pouvant causer des pathologies chez l’homme, parfois lourdes.

La maladie de Kawasaki (coeur, système vasculaire)… Candida.

La maladie de Parkinson (système nerveux)… là encore on soupçonne des champignons (une certaine levure produit 1-octen-3-sol, une toxine qui s’attaque aux gènes transportant la dopamine).

Et même… la sclérose en plaques !!!!!!! (selon une étude datant… de 2010 !).

Sans oublier foule de maladies de peau, de maladie gastro-intestinales, dont certaines peuvent être mortelles (rhizopus microsporus).

Le syndrome de Crohn (lié directement au microbiote) (un papier de 2018 fait état d’un traitement antifongique ayant fortement réduit les symptômes de la maladie).

Et… des méningites ! Et même… du diabète (Candida pouvant provoquer des niveaux élevés d’insuline).

Et… des allergies. Des sinusites ! Aspergillus est associé aussi à l’asthme, aux pneumonies.

Candida peut même coloniser… les ulcères de l’estomac.

Liste non exhaustive…

Enfin, comment ne pas parler… des infections nosocomiales ?

Candida albicans, Candida auris… colonisent les hôpitaux ! Cibles de choix… Ils s’attaquent aux malades immuno-déprimés. Ils se protègent des contre-mesures avec des “biofilms” (qui peuvent également protéger d’autres pathogènes !).

Nous avons ainsi une longue expérience morbide… avec les malades du Sida

Rappel : le Candida peut faire sourire… mais lorsqu’il devient invasif et systémique (candidose)… le taux de mortalité atteint 40 % !

C’est soudain moins drôle.

Et quid du monde extérieur, de la faune, de la flore ?

Vous connaissez tous le coup du champignon qui prend le contrôle… des fourmis (de leur système nerveux !) et les transforme… en zombie.

Sans oublier les champignons… dans le sol qui aident les arbres à communiquer entre eux ! On appelle ça un réseau mycorhizien (à ce sujet je vous conseille le superbe documentaire : Fantastic fungi).

C’est du délire.

Bref… les preuves des capacités et de la toxicité de cette multitude de micro-organismes, s’accumulent…

Voilà pourquoi affirmer qu’ils pourraient causer les cancers… n’a rien d’aberrant.