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Virus chimérique versus cancer : “I am legend”

A droite Will Smith. Il a un cancer du cerveau car il frappe des gens, sans raison. A gauche, Robert. Il n’a plus AUCUN cancer grâce à un vaccin chimérique variolique aux enzymes gloutons. Mais euh… comment dire… Robert a des problèmes.

Vous connaissez sans doute cette scène frappante du film I am legend : “we have cured cancer” (avec la délicieuse Emma Thompson et son plus beau sourire ingénu, à la fois bienveillant et terrifiant, Emma on t’aime, toi et ton accent si british).

Nous avons guéri le cancer

En mai 2022… l’idée pourrait-elle… se concrétiser ?

Scientists have injected the first human patient with a new cancer-killing virus. The virus, known as Vaxinia, has seen successful tests in animals. However, the true test of its efficacy begins with this new clinical trial. (source)

Ah ? Testé sur les animaux… mais par encore sur l’homme ? Eh oui, bien sûr. 😉

C’est comme l’oeuf et la poule… à un moment, faut y aller !

La société explique sur son site :

Our lead candidate is a chimeric vaccinia (pox) virus known as CF33, developed by Professor Yuman Fong, at the prestigious City of Hope Comprehensive Cancer Center in Los Angeles, California.

Vaccinia is a genetically stable double stranded DNA virus of the Poxviridae family. It has a track record of safe use in millions of humans as it was the active constituent of the vaccine that eradicated smallpox, one of the most devastating diseases known to humanity and was the first oncolytic virus demonstrating viral oncolysis in the laboratory in 1922.

Vaccinia has a short well characterised life cycle and spreads rapidly from cell to cell, but does not integrate into the host’s genome. It is highly cytolytic for a broad range of tumor cell types. It has the potential to act as both a gene therapy delivery vehicle and oncolytic agent.

Cette famille de virus… c’est la variole !

Eh oui. Encore une coïncidence.

Décidémment, 2022 n’est pas l’année du tigre… mais bien celle du singe. 😉

Bref.

C’est peut-être un miracle, la technologie du futur qui va éradiquer les cancers.

Ou pas.

Ou pire.

POST-SCRIPTUM

Rappelons à tous les hypocondriaques du masque et les coviobsédés qu’il existe une véritable pandémie dans le sens ultra meurtrière… c’est celle du cancer. Les cancers.

Neuf millions de morts dans le monde… chaque année. Paire ou impaire. Même bisextile ! (source OMS).

A tel point qu’on dit maintenant : “Si à 30 ans t’as pas eu un cancer, t’as -déjà- raté ta vie”.

Alors à cette aune, vous comprenez… le couillonavirus… on pouffe.

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Médicament Saloperie et sida mental

Médicament : encore un échec pour Pfizer

La seule réussite UTILE dans cette boîte de merde… Découverte tout à fait fortuite, faut-il le préciser ? 😉

Pfizer continue de saloper tout ce qu’il touche…

Soit le Paxlovid… pillule soit disant contre le couillonavirus, très chère, inutile et avec une efficacité aléatoire

Cette saleté est encore pire… Puisque euh… comment dire… il semblerait que cette molécule… en réalité… euh… la charge virale ainsi que les symptômes repartent à la hausse après le “traitement”.

C’est ballo.

Reformulons sous la forme d’un slogan :

“Avec notre médicament, après une brève accalmie, vous deviendrez encore plus malade. Ca fera 1 000 euros, carte, chèque, espèces. Prout”.

😉

J’exagère à peine.

The FDA “is evaluating the reports of viral load rebound after completing paxlovid treatment and will share recommendations if appropriate”.

In a recent preprint case report, Veterans Affairs researchers reported that a 71-year-old male who took the pill, also known as nirmatrelvir, experienced a “rapid and progressive reduction” in the viral load of SARS-CoV-2, the virus that causes COVID-19.

But four days after completing the treatment course, there was a “surprising rebound of viral load and symptoms,” they reported.

The report “highlights the potential for recurrent, symptomatic SARS-CoV-2 replication after successful early treatment” with the pill, the researchers said. (source ZeroHedge).

Etrangement, parmis des dizaines, que dis-je, des centaines d’études menées dans le monde depuis 2020 sur l’HCQ et l’ivermectine, et autres molécules (antibiotiques etc.) pour le traitements précoce du couillonavirus… on n’a jamais fait état d’un tel phénomène !

Comme c’est étrange ! Encore un mystère mystérieux.

Ce doit être une malheureuse coïncidence. La faute à pas de chance.

Monsieur Pfizer a marché dans un étron canin, délicatement posé sur le trottoir, ce sont des choses qui arrivent (spéciale dédicace à mes amis parisiens).

Précisons que ce phénomène était connu en réalité dès… 2021 lorsque la FDA avait donné l’autorisation “en urgence” à la pilule de Pfizer !

In the FDA’s evaluation (pdf) of data on paxlovid, which the agency cleared on an emergency basis in 2021, the agency reported that in an ongoing phase 2/3 trial run by Pfizer, several participants “appeared to have a rebound” in viral load five to nine days after completing their treatment courses.

Bref, comme d’habitude, on fait mine de s’étonner et de découvrir que l’eau ça mouille... 😉

En attendant, pensée émue à tous les gouvernements corrompus qui ont acheté pour des centaines de millions de dollars de cette merde

Après mûre réflexion… Il n’y a qu’une seule chose valable chez Pfizer… la découverte (tout à fait fortuite, comme d’habitude)… du VIAGRA.

😉

La boucle est bouclée, en somme.

Ainsi, pour conjurer le Covid, prenez du Viagra et honorez votre épouse ou votre amie avec passion, vigueur, dévouement et une gaule d’enfer.

Faites l’amour… baisez… tirez un coup… peu importe.

L’humanité s’en portera mieux.

(désolé, c’est mon côté baba anar d’extrême-drouâte qui ressort). 😉

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Humour Médicament

Embrassons-nous Folleville et échangeons nos anticorps

“Oh bon dieu, t’es bonne Jeanine ! Oh Raoul, grand fou, tu m’excites ! Vite, échangeons nos anticorps”.

Signalons un papier… surprenant (pré-print, donc pas validé).

Les auteurs proposent une nouvelle idée : la dissémination d’anticorps… par voie aérienne !

Oui, les petites gougouttes… les mêmes qui nous tuent régulièrement avec le terrible couillonavirus.

Prenons deux individus, un homme et une femme, c’est plus simple pour la démonstration.

Appelons-les Raoul et Jeanine.

Raoul est covivierge. Jamais eu le terrible Covid, jamais vacciné. Quel inconscient ! Raoul vit ainsi on the edges comme on écrit dans le DailyMail.

Jeanine -elle- a des kilomètres sous le capot et fait rarement les révisions ! Elle a certes reçu ses 3 injections réglementaires mais a chopé 4 fois et demi le terrible Covid.

Pas de bol (Jeanine est un peu cruche, mais passons).

Raoul est donc toujours en danger face à la terrible pandémie ! Car souvenez-vous : “tous vaccinés tous protégés, prout ” !

Et donc par conséquent : “tous non vaccinés, tous en danger, prout-prout ” ! C’est logique.

Enfin quelque chose comme ça. 😉

Sauf si… sauf si… Un soir, pouf, les deux amoureux transis commencent à se bécoter sur le canapé.

A la fraîche. Décontractés.

Très vite ça dérape en galoches d’enfer. Ensuite, ils se léchouillent à qui mieux-mieux, ça bave partout, le canapé prend cher. Puis ils enchaînent sur une vigoureuse et suante séance de sport en chambre, les laissant tous les deux hale-tants, mais heu-reux… et l’air ambiant rempli de musc et de particules -élémentaires- que la décence et Nadine de Rotschild empêchent de nommer !

Et là… à cet instant précis… le miracle de la Nature.

En anglais : the Nature’s miracle, rien de moins.

Jeannine “envoie” ou “transfère” dans l’air certains de ses anticorps contre le terrible Covid.

Si.

Raoul, dont les chakras sont vachement ouverts, les inspire, les avale à s’en faire les péter la fosse nasale et les amygdales… et zou !

Contact !

Tranquility Base Here. The Eagle Has Landed !

Raoul acquiert ainsi une forme d’immunité contre le terrible virus.

Clap de fin.

C’est dans la boîte, Coco.

C’est beau comme un film de Rohmer et émouvant comme un opéra de Wagner.

Alors que penser de tout ceci ?

Rien pour le moment. 😉

C’est une hypothèse rigolote, mais faut davantage bosser. Avec l’esprit ouvert.

Après tout… 2 individus peuvent bien se refiler des maladies via les fameuses gouttelettes aérosols.

Alors pourquoi -dans certaines conditions- ne pourraient-ils pas se transmettre non pas une chtouille d’enfer, mais une forme de protection ? Contre un miasme ?

On apprend jeune qu’il ne faut pas mettre ses doigts et sa langue n’importe où…

Vraiment ? 😉

Tel Janus, la Nature se jouerait ainsi de nous en version pile et face (je conseille aux élèves en journalisme 1ère année de noter cette phrase, véritable tour de force poétique) ?

Les auteurs partent de l’idée d’immunité collective. Comment l’expliquer ?

Tout le monde ne choperait pas la maladie et/ou le virus ne s’épuiserait pas de lui-même à force de mutations… mais les déjà contaminés/immunisés pourraient transmettre une forme de protection à leurs proches… ce qui aboutirait, de chaîne en chaîne, à cette fameuse immunité collective.

On connaît les traitements par injection d’anticorps (via du plasma) ou encore les injections d’anticorps monoclonaux.

Alors, la bonne vieille pelle, prochaine révolution médicale ? 😉

Le patin plus fort que Pfizer (ce ne serait pas très difficile) ?