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Médicament Saloperie et sida mental

Zimbabwe : vengeance contre Jackie Stone

Soit le Zimbabwe.

A l’évidence, un shithole.

Un pouvoir corrompu (on pense à l’infâme Robert Mugabe), des famines (provoquées par l’expulsion des fermiers blancs), une hyperinflation surréaliste (en novembre 2008, le taux d’inflation s’élevait à… 79 milliards pourcents… par mois ! Un dollar américain valait alors… 2,5 milliards de la monnaie locale… le gouvernement lançait un billet de “cent trillions” soit 100 000 000 000 000 !!!!). 😉

Bref.

Lorsque les blancs dirigeaient le pays, c’était un paradis sur terre (“le grenier à grain de l’Afrique”) qui s’appelait… la Rhodésie.

Ils étaient un poil ségrégationnistes… mais la roue a tourné.

Quelques milliers d’Occidentaux habitent toujours là-bas (sur une population totale de 15 millions).

Parmi eux… le docteur Jackie Stone.

Cette femme courageuse s’est retrouvée aux prises avec le Covid, fin 2020. Son témoignage -parmi de nombreux autres- a permis aux résistants de comprendre que quelque chose clochait dans la narration officielle… que des molécules éprouvées comme l’ivermectine… permettaient de soigner des malades et de les sauver, concrètement (hors des délires promus par la Chine, l’OMS, Big Pharma, et tous leurs complices).

Elle avait donné une formidable interview en avril 2021.

Lien : https://covidemence.com/2021/04/27/zimbabwe-ivermectine-a-tous-les-etages/

Elle expliquait sa pratique médicale sur le terrain avec des vrais patients (et pas des fichiers Excel) et les résultats obtenus.

Au passage, elle rappelait des points importants :

-en Afrique on n’a pas peur de l’ivermectine (puisque utilisée depuis 30 ans)

-et en Afrique, face aux multiples pathogènes du moyen-âge… on a pour habitude de FRAPPER FORT (elle pratiquait des dosages importants)

Elle finissait sur ces mots solaires :

“Je n’ai plus peur du tout de cette maladie, maintenant”

Avance rapide septembre 2022.

L’équivalent du Conseil de l’Ordre local… l’attaque, sur 4 chefs d’accusation !

Une institution zimbabwéenne… 2 ans après… attaque un médecin local qui a sauvé des vies, pour un crime épouvantable : avoir cassé la narration covidémentielle (“il n’existe aucun traitement“), et avoir osé parler de l’ivermectine comme traitement.

Le Zimbabwe ?

Ce trou culier du monde ?

Ce qui est significatif dans cette affaire est qu’un morceau perdu d’Afrique, historiquement, économiquement… est malgré tout contrôlé par… les grandes institutions mondialistes telles l’OMS (elle-même infiltrée et instrumentalisée, la psyop Covid l’a amplement démontré).

Car enfin, qui connaît Jackie Stone (sur la scène internationale) ?

Et surtout qui se préoccupe du Zimbabwe ?

Personne.

Et pourtant… le système -telle une mafia- parvient AUSSI à manipuler les politiciens et les fonctionnaires locaux et à exercer une vengeance, quand il l’estime nécessaire.

Que Didier Raoult et Christian Perronne aient été persecutés… on peut le comprendre.

Ils occupent des positions importantes. Ils ont des audiences, au-delà même des frontières françaises.

Il était crucial de les neutraliser dans le cadre de la psyop covidémentielle.

Mais un médecin au Zimbabwe ? 😉

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Médicament

GABA : nouveau ba-BA contre le couillonavirus

Allez zou un cachet et au lit !

Les mois, les années passent… et les études qui mettent en avant l’efficacité de molécules banales contre le couillonavirus, continuent de s’empiler.

Ca en devient indécent.

Je synthétise : le slogan de 2020 “il n’y a pas de traitement contre le Covid” n’était qu’un baratin criminel, destiné uniquement à donner une substance à la menace couillonavirale.

Au lieu de soigner les malades… il fallait les faire crever  avec… du paracétamol (ou encore du Rivotril).

Coup double, car ce crime permettait aussi de justifier la fameuse “vaccination“… devenant la seule “arme” contre la terrible pandémie.

On connaît la suite : une invraisemblable hystérie collective avec des produits ARNm pas maîtrisés, et dangereux.

Inutile donc de revenir sur les antibios, l’HCQ, l’ivermectine, et tant d’autres… (pour les retardataires, vous pouvez feuilleter ma rubrique Médicaments, c’est un festival… et encore je n’ai pas pu tout répertorier…).

Aujourd’hui, c’est au tour du GABA.

Titre de l’étude :

A GABA-receptor agonist reduces pneumonitis severity, viral load, and death rate in SARS-CoV-2-infected mice

Lien : https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fimmu.2022.1007955/full

We observed that GABA treatment initiated immediately after SARS-CoV-2 infection, or 2 days later near the peak of lung viral load, reduced pneumonitis severity and death rates in K18-hACE2 mice. GABA-treated mice had reduced lung viral loads and displayed shifts in their serum cytokine/chemokine levels that are associated with better outcomes in COVID-19 patients.

A noter que la même molécule avait été testée contre un autre coronavirus (par la même équipe, en mai 2021), avec des résultats similaires

Alors kézako GABA ? Acide gamma aminobutyrique (gamma-Aminobutyric Acid).  C’est un neuro-transmetteur (il favorise le calme et la relaxation).

On le retrouverait aussi dans des cellules du système immunitaire, ainsi que des cellules du poumon (comme récepteur), et il inhiberait l’inflammation.

Voilà ce qui expliquerait son action contre le couillonavirus.

On trouve le GABA sous la forme de compléments alimentaires.

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Humour Médicament

Virus chimérique versus cancer : “I am legend”

A droite Will Smith. Il a un cancer du cerveau car il frappe des gens, sans raison. A gauche, Robert. Il n’a plus AUCUN cancer grâce à un vaccin chimérique variolique aux enzymes gloutons. Mais euh… comment dire… Robert a des problèmes.

Vous connaissez sans doute cette scène frappante du film I am legend : “we have cured cancer” (avec la délicieuse Emma Thompson et son plus beau sourire ingénu, à la fois bienveillant et terrifiant, Emma on t’aime, toi et ton accent si british).

Nous avons guéri le cancer

En mai 2022… l’idée pourrait-elle… se concrétiser ?

Scientists have injected the first human patient with a new cancer-killing virus. The virus, known as Vaxinia, has seen successful tests in animals. However, the true test of its efficacy begins with this new clinical trial. (source)

Ah ? Testé sur les animaux… mais par encore sur l’homme ? Eh oui, bien sûr. 😉

C’est comme l’oeuf et la poule… à un moment, faut y aller !

La société explique sur son site :

Our lead candidate is a chimeric vaccinia (pox) virus known as CF33, developed by Professor Yuman Fong, at the prestigious City of Hope Comprehensive Cancer Center in Los Angeles, California.

Vaccinia is a genetically stable double stranded DNA virus of the Poxviridae family. It has a track record of safe use in millions of humans as it was the active constituent of the vaccine that eradicated smallpox, one of the most devastating diseases known to humanity and was the first oncolytic virus demonstrating viral oncolysis in the laboratory in 1922.

Vaccinia has a short well characterised life cycle and spreads rapidly from cell to cell, but does not integrate into the host’s genome. It is highly cytolytic for a broad range of tumor cell types. It has the potential to act as both a gene therapy delivery vehicle and oncolytic agent.

Cette famille de virus… c’est la variole !

Eh oui. Encore une coïncidence.

Décidémment, 2022 n’est pas l’année du tigre… mais bien celle du singe. 😉

Bref.

C’est peut-être un miracle, la technologie du futur qui va éradiquer les cancers.

Ou pas.

Ou pire.

POST-SCRIPTUM

Rappelons à tous les hypocondriaques du masque et les coviobsédés qu’il existe une véritable pandémie dans le sens ultra meurtrière… c’est celle du cancer. Les cancers.

Neuf millions de morts dans le monde… chaque année. Paire ou impaire. Même bisextile ! (source OMS).

A tel point qu’on dit maintenant : “Si à 30 ans t’as pas eu un cancer, t’as -déjà- raté ta vie”.

Alors à cette aune, vous comprenez… le couillonavirus… on pouffe.