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Saloperie et sida mental

France : la Bête Immonde est vivante !

Ceci est un scientifique norvégien étudiant l’extrême-goitre de France. Sa conclusion est sans appel : qu’est-ce qu’on mange ce soir ?

Le Monde publie une tribune à son image. Comprendre un torchon mal lavé et mal repassé.

Son titre ?

La violence d’extrême droite gagne du terrain en France

Aïe, aïe ! Ou plutôt, diantre ça commence bien.

De quoi s’agit-il précisément ?

  • entre 2015 et 2018, il y eut 30 “attaques graves” provoquées par l’extrême-droite en France.
  • de 2019 à 2022 : 35.
  • et pour la seule année 2023 : 22 !!!!

Pour l’auteur de la tribune, le directeur adjoint du Centre de recherche sur l’extrémisme de l’université d’Oslo (si, si ça existe, en Norvège) la conclusion s’impose, évidente, solaire ou plutôt… lunaire :

La violence d’extrême droite, motivée par le nationalisme et l’autoritarisme, va croissant en France.

Ici on ressent le besoin irrépressible d’ajouter… “prout“. Le mot-clé convient.

Mais… qu’est-ce qu’une “attaque grave” au juste ?

Le norvégien woke qui se présente comme “politiste” (version 2.0 et cheveux bleus du “politologue“) est bien incapable de le dire… En revanche, il en est persuadé, il s’agit avant tout d’une “violence raciste“.

Nous y voilà.

D’abord les chiffres. 22 “attaques graves” (non définies donc) en France, un pays de 67,9 millions habitants, en une année…

… on mesure ainsi le côté dérisoire de cette fabrication totalement hystérique.

Car durant la même année, combien y eut-il d’agressions “graves“, de coups et blessures “graves“, d’homicides “graves” en France, dont les auteurs appartiennent aux fameuses “minorités” qui sont désormais majoritaires dans de nombreux quartiers et villes ?

Explication :

-si j’insulte et frappe un maghrébin, c’est évidemment une “violence grave d’extrême-droite“.

-si un maghrébin me frappe pour me piquer mon téléphone en hurlant “wouala nique ta mère sa race“… il s’agit d’une simple unité au sein d’un très, très un vaste ensemble statistique… Disons les choses clairement : c’est un “sentiment d’insécurité“.

Vous comprenez la différence fondamentale ?

😉

Mieux encore, l’auteur nous prend pour des imbéciles (forcément) puisqu’il reconnaît lui-même que… euh… les statistiques ethniques n’existent pas en France (Verboten ! Heil !)… alors :

les informations disponibles sur les victimes proviennent exclusivement des médias et, dans de nombreux cas, des propos proférés par le ou les auteurs avant, pendant ou après l’attentat.

Eh oui, les médias… racontent toujours la vérité, et sont parfaitement fiables comme chacun le sait et peut le constater quotidiennement !

Bref, on ne sera pas surpris.

Ce pensum est un torchon absurde fabriqué par un neuneu scandinave qui ne vit -financièrement parlant- que par la chasse fantasmatique d’une non moins fantasmatique “extrême-droite” européenne.

Plus que jamais, le wokisme est une maladie mentale.

Les médias et les témoins sont formels (pardon formaux) : on voit ici un terroriste d’extrême-droite en train d’égorger un gentil musulman, en criant “Ah la la, au bar !” Le crime raciste est signé. Pardon consommé.
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Saloperie et sida mental

Guerre de l’opium 2.0 : Pékin est bien partie prenante

Boum. Bibi avait encore raison.

La commission parlementaire américaine consacrée à la Chine révèle dans un rapport :

Le PCC utilise des réductions d’impôts pour subventionner la fabrication et l’export de produits chimiques liés au fentanyl (source et source en VF).

Ca fait mal. Mais moins mal… qu’un cachet de fentanyl !

Ils écrivent :

“Par le biais de subventions, et d’autres incitations, la Chine nuit aux Américains tout en enrichissant les entreprises de la Chine.”

On rappelle rapidement… Cet opiacé synthétique est XX fois plus puissant que l’héroïne.

Il tue par overdoses… des dizaines de milliers de jeunes Américains CHAQUE ANNEE.

Le nombre de morts par overdose dépasse désormais les 100 000 par an (78 000 pour les seuls opiacés, chiffres de 2021) !

(Source https://nida.nih.gov/research-topics/trends-statistics/overdose-death-rates)

Ce sont les cartels mexicains qui fabriquent la drogue (à partir des produits chinois) et ensuite la distribuent via la frontière sud largement ouverte par le gang de Joe Biden.

Plus aberrant encore : le fentanyl sert désormais de produit de coupe (ultra dangereux) dans des drogues… récréatives (cocaïne, voire même la bonne vieille herbe)… volonté de rendre accroc… et donc un risque de blesser, de tuer démultiplé.

Le fentanyl n’est pas une drogue. C’est une arme de déstabilisation et de destruction massives.

Ca fait longtemps que les experts ont compris qu’il s’agissait d’une attaque asymétrique contre les Etats-Unis.

La Chine, qu’on le veuille ou non, est derrière cette attaque.

Pékin ne fait rien pour arrêter le trafic, à part discuter parfois avec des officiels américains (faibles)… qui font chaque fois les mêmes demandes… accueillies par les mêmes mines contrites, compatissantes (à peine) de la délégation chinoise.

La Chine est donc complice puisqu’elle bénéficie en terme géopolitique de la crise qui frappe les Etats-Unis.

Tout ce qui affaiblit l’Oncle Sam et sa population… renforce forcément le régime de Pékin.

C’est un mécanisme évident de vases communicants.

Enfin, la dimension historique dans cette affaire est très, très forte !

(pour un petit cours de rattrapage, lire mon article ici).

Au 19ème siècle, l’Occident a imposé de terribles guerres de l’opium… signant ainsi la chute de la Chine impériale (et la perte de territoires comme Hong Kong).

Une humiliation terrible et des ravages humains à l’échelle (la chute de la dynastie entraînant ensuite la guerre civile, puis l’invasion japonaise etc).

Quant aux Etats-Unis on ne peut pas d’un côté traiter Trump et son mur de fasciste, laisser entrer sans contrôle des MILLIONS de “migrants” (afin de gonfler le recensement et augmenter le nombre de sièges pour les Démocrates) et en même temps lutter contre le fentanyl.

On ne peut pas d’un côté être obsédé par… l’Ukraine à des milliers de km de là… et s’occuper de son propre pays.

On ne peut pas d’un côté avoir les cheveux bleus, réduire les budgets de la police, s’agenouiller devant des crapules camées afro-américaines, prétendre qu’il existe 78 genres, promouvoir le changement de sexe des enfants… et en même temps protéger réellement sa population.

Echec et mat.

Un de plus.

Vieillard boomer américain mettant son masque pour se protéger des émanations de fentanyl (et aussi des coronavirus, accessoirement).
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Chiffres Saloperie et sida mental

La dernière crapulerie de l’Insee : escamoter des données

L’Insee ? Une bande de mauvais tricheurs.

Depuis que l’Insee a littéralement “mis en scène” la pseudo terrible pandémie en 2020 (via une présentation malhonnête du nombre des décès par mois)… nous ne pouvons pas faire confiance à ces télégraphistes.

Les amateurs pointus savaient déjà que l’Insee se roulait dans la fange de la collaboration et du mensonge… avec ses fameux calculs d’inflation.

Ah le taux d’inflation ! Ah l’indice des prix à la consommation ! Une poésie arithmétique…

Un indicateur tellement politique… qu’il en est devenu complètement farfelu car trop synthétique (je vous renvoie aux délices de l’effet qualité, de l’effet utilité, de l’effet de substitution et plus largement de toutes les méthodes dites “hédoniques“, véritable patascience loufoque).

(effet d’utilité : un disque dur standard a une capacité de 100 GO et est vendu 100 euros. Si ensuite, ce disque dur standard passe à 200 GO avec un prix de vente de 105 euros donc + 5 %… les glands de l’Insee estiment que son prix… a baissé).

(effet de substitution : le prix du boeuf augmente trop ? Ca va faire déraper l’indice des prix ? Ca va mettre en difficulté le ministricule en exercice ? Pouf, l’Insee va alors considérer que les manants (vous !) mangeront à la place… du poulet, moins cher, et donc pas d’effet global sur la hausse des prix. Et hop !).

C’est si vous voulez le gâteau de Marie-Antoinette mais à l’envers 😉

(j’ajoute un autre effet, copyright myself : l'”effet sodomie“…  😉 En minimisant par exemple un bien ou service pourtant essentiel comme le logement… On parle ici du poids aberrant des biens et des services dans le fameux “panier” des guignols de l’Insee.)

Maintenant vous comprenez pourquoi les calculs d’inflation de l’Insee n’ont plus AUCUN RAPPORT avec ce que vous vivez au quotidien.

Les amateurs pêchus savent également que cette fameuse “inflation” impacte directement… les calculs du PIB et de la “croissance” (lorsqu’on compare le PIB d’une année sur l’autre, en euros constants)… avec le “déflateur“.

Dans ces conditions, l’Insee n’est rien d’autre qu’une courroie de transmission du pouvoir politique qui ment (et de plus en plus).

Fin de la parenthèse.

Nos statisticiens nationaux viennent une fois de plus de prouver leur veulerie et leur volonté obsessionnelle de dissimuler des données pourtant importantes.

Petit exercice pratique.

Voici les copies d’écrans du site ouèbe de l’Insee pour le téléchargement des fichiers des décès par année pour 2019, 2020, 2021 et 2022.

2019

2020

2021

2022

Alors ?

Vous ne remarquez rien ? 😉

A partir de 2021… le nombre des variables… chute à 10 !

On passe de 18, à 17… puis à 10 !

Et certaines de ces données sont pourtant bougrement intéressantes.

Citons :

  • LIEUDECR (lieu de décès, 4 choix : domicile, hosto/clinique, hospice/maison retraite, autre). Très important… Permet par exemple de dissimuler une explosion des “décès à domicile” (donc, soudains, en raison des produits sûrs et efficaces).
  • ETAMAT (état matrimonial du décédé)
  • TUCOM et TUDOM (tranche de commune et tranche unité urbaine du lieu de domicile du décédé. Exemple : commune de moins de 10 000 habitants, unité urbaine de 50 000 à 99 999 habitants etc.). On peut retrouver cette info avec la commune du domicile du décédé… Sauf que pas de bol….
  • COMDOM (libellé en clair de la commune du domicile des défunts)… a été supprimé… ah c’est vraiment pas de chance ! Bilan, il est strictement impossible de mettre en valeur par exemple des communes “mouroirs” (par manque de structures de soins, fermetures de lits, etc.).
  • INDNAT (indicateur de nationalité du décédé : française, étrangère). Début de statistiques “ethniques”… Trop risqué, zou, supprimé. En plus, on pouvait facilement le croiser avec la commune des défunts…

La question est donc pourquoi ?

Pourquoi un tel foutage de gueule qui empêche des analyses fines des décès toutes causes en France ainsi que des comparaisons sur plusieurs années ?

Veut-on nous faire croire que l’Insee procède à des coupes budgétaires… et que donc en supprimant des données… elle réaliserait des économies ? 😉

Non. A l’évidence, il y a bien une volonté de dissimulation.

De quoi ? Des effets de la “pandémie” (sous l’angle du refus de soins), des effets des produits “sûrs et efficaces” et des effets des politiques de “santé publique” en général (fermeture de lits, fermeture d’établissements etc.).

POST-SCRIPTUM

Etant honnête jusqu’au bout de la souris, je suis remonté sur 2018 et 2017. L’Insee donnait alors dans ses fichiers 13 variables, dont les importantes LIEUDECR, TUCOM et TUDOM.

A minima, nous devrions exiger le retour à cet ensemble de 13 variables.

Une telle instabilité d’une année sur l’autre, pour des données pourtant essentielles (les décès)… décrédibilise les fonctionnaires de la statistique.

On a affaire à un groupe de gamins qui procèdent à des “attouchements” statistiques et en plus payés par nos impôts.

Ca part dans tous les sens et ils prennent un malin plaisir à saucissonner les chiffres en une infinité de tableaux différents (“effet éparpillement“, tiens c’est tellement bon que je le rajoute à ma liste).

Ils ne font RIEN pour les rendre lisibles et  compréhensibles par le commun des mortels.

Bien au contraire.

Cet “organisme public et indépendant” (ça faisait déjà sourire dès sa création en 1946) est une honte.