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Taxes douanières : Trump écrase les sots savants

Voici un économiste “libéral” qui pense tout savoir… sans rien comprendre.

Depuis que Trump a annoncé ses taxes douanières… les gauchistes et les pseudos libéraux mous de la matière grise se moquent de lui. Car il commet un énième crime de lèse-pensée en affirmant que ce sont les exportateurs qui vont “payer” les taxes.

A l’unifion (unisson est trop galvaudé, alors “unifion”), ils croâssent : “Trump est idiot, ce sont les consommateurs qui payent les taxes douanières, tout le monde sait cela“.

Vous savez déjà ce qui manque à la fin : “prout“… voire “nananananèèèèèèèère“.

Sauf que les dernières statistiques démontrent que Trump… a raison.

Aïe.

Ca pique.

Trump dit vrai car les vendeurs en réalité BAISSENT LEURS PRIX… afin de COMPENSER… la hausse des taxes.

Et voilà pourquoi… il n’y a pas d’inflation aux Etats-Unis (contrairement à ce que prévoyaient les sots savants, dont le premier d’entre-eux, Jerome Powell le patron de la FED).

Les données PROUVENT cette dynamique.

https://www.zerohedge.com/markets/japan-finally-admits-its-carmakers-have-been-paying-all-trump-tariff-costs-trade-talks

En mai, les importations de véhicules japonais aux Etats-Unis ont ainsi chuté de 24,7 % en valeur, mais seulement 3,9 % en volume !

Ergo, ils ont BAISSE LEURS PRIX pour effacer les taxes de Trump.

Le consommateur américain n’y voit donc que du feu (aucun changement pour lui) et les caisses du Trésor US se remplissent…

Trump UNE FOIS DE PLUS avait raison contre tous les sots savants.

Je sais, c’est extrêmement pénible. 😉

Au fond, cette dynamique se comprend aisément : les exportateurs -toutes choses égales par ailleurs- veulent conserver leurs parts de marché, en clair leurs volumes.

A tout prix.

Et il n’y a qu’un seul moyen pour cela face à un Trump en mode Shiva Destructeur de Mondes (2 en réalité, lire plus bas) : baisser les prix à l’exportation pour ne pas violer l’acheteur américain (le plus gros acheteur de la galaxie, rappelons-le).

Je vous conseille de lire la conclusion de l’article de ZeroHedge… Ces gens ont régulièrement des fulgurances… ils prévoient l’avenir d’une manière étonnement précise (un peu comme moi 😉 ).

ZeroHedge annonce ainsi la fin du film pour le Japon…

Eh bien, le coup porté aux bénéfices [des fabricants de voitures] est là, et dans quelques semaines, il se traduira par l’une des plus grandes récessions que le Japon ait jamais connues dans l’histoire moderne, obligeant la Banque du Japon à déployer un plan de relance sans précédent, tout en ramenant les taux à zéro, voire négatifs.

Et puisque Tokyo va de nouveau recourir à la plus vieille ruse du monde, à savoir faire chuter le yen pour compenser les coûts des droits de douane – nous nous attendons à ce que l’USD/JPY atteigne 160 dans les six prochains mois –, Trump est sur le point de se fâcher encore plus contre le Japon et sa monnaie, qui s’effondrera bientôt, et le monde passera alors enfin des guerres commerciales aux guerres monétaires et aux contrôles des capitaux.

Superbe fulgurance… C’est exactement ce qui va se passer car il s’agit de… la nature humaine.

La guerre des devises est désormais une évidence (elle le fut toujours, mais régulièrement niée car trop effrayante)… et elle provoquera mécaniquement des grands bouleversements et le retour probable des contrôles sur les capitaux…

En bref : l’horreur économique. 😉

Comme on dit sur les rives du Potomac : prepare accordingly.

POST-SCRIPTUM

Le Japon est un pays mercantiliste et ce, depuis des décennies. Trump a raison de dire “ça suffit” (il n’est pas le premier président américain à taper du point sur la table contre l’Empire du Soleil Levant… voir les accords du Plaza en 1985… déjà les taux de change, donc les devises).

Le Japon bénéficie d’un surplus commercial vis-à-vis des Etats-Unis de 60 milliards de dollars. Chaque année.

Autant sur la question du riz, Trump se trompe (et puis, il s’agit d’une somme dérisoire)… autant sur le reste, Trump a raison. Il y a des pays parasites qui profitent du privilège impérial des Américains.

Cela peut sembler paradoxal. Qui profite de qui dans un tel système ?

Le paradoxe disparaît à partir du moment où vous comprenez (comme Trump) que l’empire américain… est terminé !

Les Japonais exportent des gazillons de voitures aux Etats-Unis… Et n’en achètent pas une seule à l’Oncle Sam. Pourquoi ? “Parce que  c’est de la merde” diraient les Jean-Pierre Coffe aux yeux bridés. C’est assez juste. Ils affirmeraient plutôt : “véhicules ne respectant pas les normes de sécurité japonaises” (on pouffe). Les Européens, les Chinois (bien entendu) font exactement la même chose.

Certes, on voit mal les Japonais au gabarit grain de riz conduire des pickups Ford géants dans les petites ruelles de Tokyo. Mais au-delà, il faut bien appeler un chat un chat voire une chatte : il s’agit de protectionnisme.

Alors protectionnisme pour protectionnisme… la fête est finie.

Un partout la balle au centre.

Trump est en mode Shiva. Il détruit pour créer. Ou plutôt : il détruit le monde pour… sauver les Etats-Unis.
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La guerre des boutons ou la guerre des drapeaux

“Roger ! Là ! Un drapeau ukrainien, vaz-y shoote le ! Oh bon dieu, derrière, un drapeau palestinien, tire j’te dis !”

Le drapeau est au patriotisme ce que le chasseur est à la galinette cendrée ; il y a des bons drapeaux et des mauvais drapeaux.

Décembre 2024

Le tribunal administratif de Versailles interdit le drapeau ukrainien sur le fronton de la mairie de St-Germain-en-Laye… Le tribunal rejette l’argument selon lequel il s’agirait d’une opinion politique. C’est un “signe de solidarité“. Il motive sa décision car le maire n’a pas reçu l’autorisation préalable de son conseil municipal. Un simple citoyen était à l’origine de cette action. (source)

“Mettre un drapeau ukrainien sur la façade d’un bâtiment public n’est pas une revendication politique ; c’est un symbole de solidarité envers une nation victime d’une agression”

Conclusion : le drapeau ukrainien est sur le fond un bon drapeau.

13 juin 2025

Le maire de Saint-Denis place le drapeau palestinien sur le fronton de la mairie.

Le préfet envoie immédiatement un courrier pour exiger son retrait. (source)

“en application du principe de neutralité des services publics”.

Conclusion : le drapeau palestinien est un mauvais drapeau.

19 juin 2025

Christian Estrosi refuse de retirer le drapeau israélien de la façade la mairie de Nice… qu’il a installé en octobre 2023.

Le préfet a écrit le 17 juin un courrier pour réclamer le retrait, en vain. (source)

Conclusion : le drapeau israélien est un (très) bon drapeau.

Bref, la conclusion des conclusions s’impose : tous ces clowns, quelles que soient leurs allégeances, leurs névroses, leur histoire personnelle… ont un point commun, une obsession commune : afficher leur vertu (supposée, fantasmée).

Le législateur se garde bien d’intervenir et les juges suivent l’air du temps… comme des clébards.

La loi devrait être revue et précisée pour INTERDIRE TOUS LES DRAPEAUX AUTRES QUE LE DRAPEAU FRANCAIS SUR LES BATIMENTS PUBLICS.

Voilà, ce serait carré et du bon sens.

Si tel ou tel clown se sent obligé d’afficher sa vertu… il en a le droit mais chez lui, dans le domaine privé… absolument pas sur ou dans des bâtiments publics.

L’argument utilisé par ces émotifs est toujours identique : “mon émotion est supérieure à la tienne“, “ma cause est meilleure que la tienne“.

Non.

Ce pays s’appelle la France et ne possède qu’un seul drapeau.

Les drapeaux étrangers qu’ils soient ukrainien, israélien, palestinien, LGBT, ou même celui des aliens de la planète Jupiton, n’ont pas leur place en France.

En attendant cette clarification nécessaire, ces manifestations de névroses et d’hypocrisie continueront de polluer l’espace public et d’exposer les contradictions internes d’un système politique et social à bout de souffle.

Le drapeau de la connerie, hélas, lui, ne se rend jamais.
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Rage américaine : vers un Maïdan 2.0

Le “cri primal” de Jessica lors de l’investiture de Trump en janvier 2017 est devenu célèbre. Symbole d’une maladie mentale naissante… Mais huit ans après… il y a des MILLIONS de Jessica. Et certaines sont désormais prêtes à TUER.

L’extraordinaire victoire électorale de Trump a enragé ses opposants.

Radicalisation évidente qui contamine même les Européens, pourtant d’habitude mous voire ectoplasmiques.

La réalité de la guerre civile américaine ne peut plus être niée.

Certes, Trump a écrasé l’état profond en novembre… Mais, Kamala Harris a malgré tout recueilli… 75 millions de votes. Même avec un peu de triche ici ou là (les Démocrates ne peuvent s’en empêcher) cela demeure un bloc MASSIF.

Et pour voter pour une telle dinde (incompétente et idiote)… il fallait vraiment une grande motivation… en réalité une haine incandescente pour Trump (“tout sauf lui“).

Cette radicalisation ne s’est pas manifestée subitement au lendemain du 5 novembre 2024.

Elle a débuté en réalité dès le premier mandat de Trump (sa victoire surprise en 2016). D’abord par le haut, avec les élites qui ont tout essayé -littéralement – pour éliminer politiquement Orange Man Bad.

Très vite, le poison commença à agir et à se répandre “en bas” aussi.

Avance rapide 2025. On se retrouve aujourd’hui avec des illuminés qui s’attaquent… à des voitures (Tesla)… et qui appellent ouvertement au meurtre de Trump et de ses supporters. Le plus naturellement du monde, si l’on ose dire.

Toutes les barrières morales ont sauté.

La haine de Trump et de ses électeurs emporte tout, tel un tsunami.

Nous sommes passés d’une pathologie mentale (cheveux bleus, transgenrisme, transitionnisme, écologisme, xénophilie fanatique, obsession pour la sexualité des enfants, etc.)… à une rage incendiaire ; un rejet en bloc, viscéral, total.

Quid du futur ? Je vous livre mon intuition (et vous connaissez bibi, je vise souvent juste).

Des émeutes éclateront avant les mid-terms (élections législatives de “mi-mandat”, en novembre 2026).

Le format ? Celui de Black Live Matter, opération téléguidée par l’état profond en 2020 et qui rentrait dans le cadre du coup d’état contre Trump 1 (avec bien entendu le “Covid”, les élections bidonnées grâce aux millions de votes par correspondance, etc.).

Des manifestations d’abord “pacifiques” qui deviendront rapidement violentes.

Puis… surgira le “moment Maïdan” (du nom de l’opération menée à Kiev début 2014, avec le soutien des Anglo-Saxons, pour renverser le pouvoir pro-russe).

Le principe ?

Des individus cachés tirent sur une foule de manifestants.

On ne les voit pas, on ne sait pas qui ils sont.

Confusion. Le sang coule. Des femmes et des enfants tombent sous les balles.

Images diffusées en temps réel sur toutes les chaînes de télévision. Et sur TikTok en boucle.

Rage des survivants. Outrage des spectateurs.

Des trumpistes voire même des forces de l’ordre (flics, garde nationale, agents du FBI ou du Secret Service en civil) seront inévitablement accusés.

A côté, la pseudo émeute du “6 janvier” (manif au Capitole, pathétique traquenard tendu aux trumpistes) paraîtra comme une aimable réunion Tupperware se déroulant dans un Ephad un dimanche après-midi (après l’émission de Jacques Martin… les jeunes ne peuvent pas comprendre).

Trump réagira forcément et fortement… répression… provoquant encore plus de blessés (voire de morts, bavures, etc.) et encore plus de colère haineuse.

Avec un peu de chance, de véritables patriotes, excédés, eux aussi commenceront à manifester, à organiser des ratonnades contre les gauchistes (“antifas”), voire tireront carrément dans le tas.

Il y aura immanquablement l’image des asiatiques… ouvrant le feu sur des noirs pour protéger leurs maisons ou business.

Cette image -indépassable- alimentera la division raciale (les connoisseurs auront bien entendu reconnu les émeutes de 1992 à Los Angeles avec les fameux “Coréens sur les toits”).

Le principe est de créer un tsunami de colère, d’émotions chez les “centristes”, ceux qui ne votent pas, les “indécis”, les femmes, les autorités religieuses, etc. Et monter toutes les communautés les unes contre les autres (pas difficile chez l’Oncle Sam).

Et ensuite, les élections suivront.

Si l’opération est bien menée… alors les Démocrates pourraient remporter une large victoire et devenir majoritaires au Congrès (voire au Sénat) par réaction (“contre les violences de l’état fasciste de Trump“).

Ce coup d’état mettrait un terme à la présidence impériale de Trump. Et débouchera ensuite sur son impeachment

Bref, si on exclut d’autres scénarios (du type “pandémie” comme le “Covid”, guerre chaude contre l’Iran par exemple, assassinat de Trump)… le Maïdan 2.0 est le seul moyen pour l’état profond de reprendre la main.

Voilà pourquoi, sa probabilité est très élevée (quasiment 100 %, en revanche sa réussite n’est pas garantie).

Ce plan est d’autant plus facile à mettre en oeuvre que… la rage est DEJA LA.

Partagée par des millions d’Américains.

Il suffit d’une allumette.

Et d’un ordre venu d'”en haut”.

Mémoire poisson rouge… Vous avez déjà oublié 2020… En plus du Covid… on a eu aussi Black Live Matter…
Les chorégraphies ont déjà été mises au point. Il faudra simplement changer les costumes (ici au premier plan… la crapule Nancy Pelosi)… Tout recommencera.