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Fin de partie

“Sans légende” (message de mon stagiaire chinois, préposé au service illustrations)

C’est le 20 juillet 2020 que -enragé, hanté par une haine incandescente- je créai ce blog.

Deux ans et quatre mois plus tard, l’urgence est passée.

La lassitude a fait son chemin (1 400 articles publiés et 3 600 commentaires mitraillés [sur un total de 13 600] !).

Le couillonavirus s’épuise et s’efface devant la géopolitique, plus visible, plus classique ; le Grand Jeu selon l’expression consacrée.

En réalité la guerre continue, mais par d’autres moyens ou batailles si vous préférez (citons l’énergie bien sûr, l’ESG, Environmental, social and governance dans le monde du business, l’invasion démographique de l’Europe, sans oublier le Réchauffemementklimatik et les politiques “vertes”, etc.)

Les règles de ce jeu, ses circonvolutions et ses participants, vous les connaissez. Inutile de se répéter.

D’autres que moi prendront le relai et avec davantage de talent (même si mes analyses relatives à la Chine demeurent, j’en suis persuadé, à l’avant-garde de la péchitude. Je sais, c’est mon côté maoïste).

Nous avons subi dans les pays occidentaux une folie totalitaire hors du commun (par son échelle, son intensité)… et pourtant certains jours nous avons pu également nous payer de franches rigolades.

Mais surtout nous avons appris.

Revenons au cadre médical. J’avais encore personnellement quelques illusions…

Après 2020, 2021 et 2022… j’en suis désormais certain : les médecins, dans leur grande majorité, sont des clowns.

Et des clowns méprisables.

En réalité, rien n’a changé depuis Molière, son 17ème siècle et ses médecins imaginaires… qui achevaient leurs patients en composant des alexandrins et en dénombrant les saignées.

Rien.

C’est à la fois comique et tragique.

Et cela s’explique fort bien.

Si la technique et les outils évoluent, la nature humaine -elle- demeure IMMUABLE.

Comprendre : avec un haut potentiel de saloperie et de neuneuitude en chacun de nous…

Ecce homo, comme disait ou même chantait l’autre.

Bref.  Quand un médecin vous annoncera votre cancer (pas de jaloux, nous passerons tous à la casserole !)… d’abord éclatez de rire.

Et allez demander une 2ème opinion.

Puis, une 3ème.

Puis, une 4ème.

Puis, une 5ème.

Et enfin, rejetez en bloc tout ce que ces sots maniaques vous auront proposé (le énième “nouveau protocole révolutionnaire“, comme disait Dieudonné dans son sketch fameux… sans doute le meilleur remède -véritable lui- contre le crabe !)

Plus largement (je quitte le cadre médical), le pire est bien entendu devant nous.

Le savoir, le comprendre c’est choisir la liberté d’esprit, la plus grande des vertus, même si elle s’accompagne -forcément- d’anxiété voire de peur.

L’alternative ? Oui, elle existe bien sûr !

Rester con comme une enclume, à regarder des vidéos TikTok, à mater des sites de cul, à boire du coca et à bouffer des glaces, en attendant la crise cardiaque salvatrice, libératrice… un sourire crispé aux lèvres.

Le sourire Pfizer ? Le sourire ARNm ?

John Mustapha Dupont : 6 doses ARNm dans le pif, zéro soucis. Plus aucun stress dans la vie. Pfizer ? Encore plus fort que le Soma de papy Huxley.

Bref.

Et moi alors ? Le futur ? Quid ?

Bien blindé dans mon Asie du Sud-Est d’exil, devenu par là même mon propre bougnoule (ce que j’assume fort bien), je finirai sans doute par passer à l’ennemi.

Du côté de Moscou ou de Pékin, du moins intellectuellement. 😉

Pour une raison fondamentale : je refuse d’assister au sac de Rome.

Je refuse de voir la destruction de l’Europe (les Etats-Unis n’étant qu’une excroissance en terme civilisationnel, et aujourd’hui carrément une tumeur).

D’où les 10 000 km de distance règlementaire que je m’impose.

Pour résumer en une formule : Plutôt KGB-PCC que woke, créolisé tiers-monde, islamo-gogo, écolo-psycho, gaucho-mental !

Il faudra bientôt, j’en suis persuadé, choisir le moindre mal.

Bon courage à toutes et à tous.

Ciao.

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Vrac

Ce mortel ennui… viral

Ce mortel ennui

Qui me vient
Quand je suis avec toi
Ce mortel ennui
Qui me tient
Et me suit pas à pas

(Serge Gainsbourg)

On s’emmerde !

Le Covid est en arrêt maladie. Longue durée ? Ou déjà à la retraite ?

Le “Covipox”, c’est-à-dire la terrible “variole du singe” qui donne des boutons à des gays partouzards… s’est “taillé à l’anglaise“.

Je voyais un vrai potentiel disruptif dans ce virus, au point de le rebaptiser “Covipox”. Bilan ? Bide.

Les covidéments, les homos hystériques et leurs lobbies LGBT++ nous avaient promis l’apocalypse après la rentrée scolaire

Car c’est bien ce qu’on lit dans les livres de médecine du siècle dernier… ce terrible virus s’attaque aux enfants et aux femmes enceintes !

Et il est très contagieux via le linge de maison, la literie, les poignées de porte, l’air ambiant même… De quoi tous nous faire passer à la casserole.

Oui madame ! Enfin plutôt oui monsieur !

Et ?

Il ne s’est strictement rien passé.

Et le virus est resté obstinément dans la communauté des homos, avant de faire pschiit (ou plutôt… prout).

Pensée émue aux milliers de neuneus qui ont fait la queue -forcément- pour recevoir un vaccin contre… la variole (avec simplement une étiquette collée dessus à la UHU : “fonctionne aussi avec la variole du singe, jamais testé, jamais prouvé, faites nous confiance, signé : la FDA“).

La farce est ainsi totale. Et les mecs ont dû ravaler rapidement leur tube de gel lubrifiant désinfectant.

La sodomie est aussi -parfois- un acte mental.

On s’ennuie donc viralement parlant.

La concurrence est forcenée. Le Spectacle est partout… ailleurs.

Ukraine, Russie, inflation, énergie en folie, indices boursiers dans les chaussettes, banques centrales zombies, acte de guerre contre les pipelines, menaces nucléaires, sans oublier les cols roulés de Burno Lemerde etc.

Le bordel est total, grandiloquent, assourdissant.

Et dans l’espace, plus personne n’entend hurler Delfraîchi, Karine Labombe, Olivier Variant et toute la bande des sinistres drilles.

Le couillonavirus est perdu dans l’espace intergalactique.

Le vaisseau Pfizer fait “bip, bip”.

Quant au Merdena, il s’est crashé comme une grosse bouse sur la planète Danstoncul ZOB4559.

Nous sommes orphelins.

Il est peut-être temps de fermer boutique, de se barrer… et de demander l’asile politique à Moscou.

Ou à Pékin.

Ceci est un oeuf pondu par l’alien Karine Labombe. Il n’a pas encore éclos. On peut craindre le pire.
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Médicament Vrac

Confession : j’ai été couillonavirusé !

Bibi est passé à la casserole !

Ca c’est du scoop Coco !

Je ne préciserai ni les dates, ni le lieu, ni les circonstances précises afin d’éviter une descente de la DGSI ou d’agents chinois venant dans ma villa -de plain-pied- pour me défenestrer

Une certitude : je ne suis pas mort. 😉

Et c’était avant Omicron

Vous devrez donc me supporter encore longtemps…

Ca commence un samedi soir. Deux nuits de suite, j’éprouve une sorte de pincement au coeur, un poul “lourd”, au point d’en faire une grosse insomnie, bien velue.

Je commence à échaffauder des plans pour réaliser un checkup “cardiaque” à l’hosto local… Mon hypocondrie n’est plus à démontrer. mais je la maîtrise. Je n’imagine pas une seule seconde qu’il puisse s’agir du couillonavirus. Alors qu’en fait c’est bien lié à un cluster Covid. Un membre de ma famille a ramené la merdouille à la maison.

Le lundi ces sensations cardiaques s’estompent, une journée normale. Mais mardi au réveil, crac, les symptômes sont bien là. Etat grippal caractérisé. Fièvre, tête dans le cul, douleurs aux lombaires, aux articulations.

Envie de tuer la terre entière et de dormir pendant 3 mois (en même temps, ou l’un après l’autre, c’est selon).

Je fais un test antigénique rapide (salivaire) : positif.

Bingo. J’ai gagné le cocottier.

Je vais faire un test PCR pour confirmation.

Résultat positif, avec une charge virale importante (CT bas).

J’entame immédiatement le protocole précoce :

Lien : https://covid19criticalcare.com/wp-content/uploads/2020/12/FLCCC_Alliance-I-MASKplus-Protocol-FRANCAIS.pdf

Je charge l’ivermectine à 0,4 mg/kilo le 1er jour. Puis 0,6 les 4 suivants. Je suis équipé d’un oxymètre : tout est normal de ce côté.

J’ajoute tout le who’s who des sorciers : zinc, vitamine D, aspirine, vitamine C, curcuma, bains de bouche à la chlorhexidine, etc.

Hélas, j’arrête le pinard. 😉

Je décide d’écouter les conseils du doc local, et je m’enferme à l’hosto (privé) pour des examens : radio pulmonaire, tests sanguins etc. (pour lui en réalité, il s’agit d’un emprisonnement, mise en quarantaine).

Ca ne mange pas de pain, mais ça coûte un bras. Ne lésinons pas. D’autant qu’au même moment je perds l’odorat et le goût… eh oui la totale… Ce qui signifie que ce n’est pas fini… Re-zut.

Bref, si la saleté s’avise de descendre sur mes poumons, nous pourrions alors réagir.

Au final, j’ai passé 1 semaine à l’hosto.

Il s’agit pour une large part d’une machine à fric, d’une arnaque.

Et une machine bâtie sur un malentendu : un hôpital c’est conçu pour traiter des malades… pas pour les maintenir en quarantaine !

Mais les Thaïs ont du mal à comprendre cette évidence.

Ce système privé, parallèle, qui est monnaie courante en Asie, préfigure ce que vous vivrez bientôt… Eh oui avec votre Sécu de merde qui coûte un max, toujours en déficit et vos “mutuelles” qui s’ajoutent par dessus… l’ensemble ayant dépassé depuis longtemps le point de non retour…

Au final : vous paierez toujours “un pognon de dingue”, comme des… “malades”, c’est le cas de le dire, mais en prime vous serez soignés comme de la merde (le Covid étant un amuse-bouche “restez chez vous, prenez du paracétamol ! “, avec des prélèvements zociaux à 17,20 %, tu parles d’une enculerie !).

Ici en Thaïlande, à Bangkok, “parce que je le vaux bien“, je peux faire une séance de scanner Low Dose (avec une machine spatiale flambant neuve signée Siemens, heil !) le lendemain, si je veux.

Pourquoi ? Juste pour le plaisir.

Une opération de chirurgie ? Une colonoscopie dans la joie et la bonne humeur ? 24 h d’attente, à peine. Et pour le prix, vous avez une chambre de luxe, et pour vous faire oublier le vôtre (plat et avachi), le cul de l’infirmière sera fabuleux, son sourire sera solaire, coup de foudre dans la seringue et sous la blouse, et plus si affinités.

Mais je m’emballe. 😉

Le tout à condition de banquer.

Je referme cette parenthèse.

Mon hospitalisation a donc été “conseillée“, j’ai dit jokay pour blinder le pronostic. Mais ce n’était pas nécessaire.

Après la période de quarantaine obligatoire achevée dans ce putain d’hosto, j’ai retrouvé une vie normale. Avec malgré tout quelques manifestations… cutanées… aussi étranges que fugaces, et mon odorat et mon goût toujours dans les chaussettes… pendant plusieurs semaines.

Alors que retenir de cet épisode couillonaviral (je le répète avant le rhume Omicron) ?

D’abord l’ironie bien entendu. Moi l’un des pourfendeurs enragés de cette saloperie, pouf, je passe à la casserole.

Evidemment.

Vous avez le droit de vous foutre de ma gueule. J’assume totalement.

L’autodérision est une des conditions sine qua non de la résistance mentale.

A un moment, au pic de l’état grippal, dans mes délires nocturnes, j’imaginais même avoir été victime d’un empoisonnement mené par un gang d’agents du PCC ! 😉

C’est dire si j’étais impliqué.

Rétrospectivement, je préfère y voir l’expression (ironique) du journalisme gonzo qui est mon modèle.

C’est-à-dire l’immersion personnelle.

Donc voilà, j’ai goûté au couillonavirus. Mais je n’ai pas eu un Covid grave avec atteintes pulmonaires. Je m’en sors donc très bien, comme 99,900225555876899710377 % des gens sur cette satanée planète.

Est-ce que cela a changé mon analyse de fond quant au virus ?

Pas le moins du monde.

La prochaine fois, je passerai au protocole Raoult (HCQ et azithromycine).

Pourquoi ?

Pour varier les plaisirs et emmerder les covidéments.