Categories
Médicament Vrac

Confession : j’ai été couillonavirusé !

Bibi est passé à la casserole !

Ca c’est du scoop Coco !

Je ne préciserai ni les dates, ni le lieu, ni les circonstances précises afin d’éviter une descente de la DGSI ou d’agents chinois venant dans ma villa -de plain-pied- pour me défenestrer

Une certitude : je ne suis pas mort. 😉

Et c’était avant Omicron

Vous devrez donc me supporter encore longtemps…

Ca commence un samedi soir. Deux nuits de suite, j’éprouve une sorte de pincement au coeur, un poul “lourd”, au point d’en faire une grosse insomnie, bien velue.

Je commence à échaffauder des plans pour réaliser un checkup “cardiaque” à l’hosto local… Mon hypocondrie n’est plus à démontrer. mais je la maîtrise. Je n’imagine pas une seule seconde qu’il puisse s’agir du couillonavirus. Alors qu’en fait c’est bien lié à un cluster Covid. Un membre de ma famille a ramené la merdouille à la maison.

Le lundi ces sensations cardiaques s’estompent, une journée normale. Mais mardi au réveil, crac, les symptômes sont bien là. Etat grippal caractérisé. Fièvre, tête dans le cul, douleurs aux lombaires, aux articulations.

Envie de tuer la terre entière et de dormir pendant 3 mois (en même temps, ou l’un après l’autre, c’est selon).

Je fais un test antigénique rapide (salivaire) : positif.

Bingo. J’ai gagné le cocottier.

Je vais faire un test PCR pour confirmation.

Résultat positif, avec une charge virale importante (CT bas).

J’entame immédiatement le protocole précoce :

Lien : https://covid19criticalcare.com/wp-content/uploads/2020/12/FLCCC_Alliance-I-MASKplus-Protocol-FRANCAIS.pdf

Je charge l’ivermectine à 0,4 mg/kilo le 1er jour. Puis 0,6 les 4 suivants. Je suis équipé d’un oxymètre : tout est normal de ce côté.

J’ajoute tout le who’s who des sorciers : zinc, vitamine D, aspirine, vitamine C, curcuma, bains de bouche à la chlorhexidine, etc.

Hélas, j’arrête le pinard. 😉

Je décide d’écouter les conseils du doc local, et je m’enferme à l’hosto (privé) pour des examens : radio pulmonaire, tests sanguins etc. (pour lui en réalité, il s’agit d’un emprisonnement, mise en quarantaine).

Ca ne mange pas de pain, mais ça coûte un bras. Ne lésinons pas. D’autant qu’au même moment je perds l’odorat et le goût… eh oui la totale… Ce qui signifie que ce n’est pas fini… Re-zut.

Bref, si la saleté s’avise de descendre sur mes poumons, nous pourrions alors réagir.

Au final, j’ai passé 1 semaine à l’hosto.

Il s’agit pour une large part d’une machine à fric, d’une arnaque.

Et une machine bâtie sur un malentendu : un hôpital c’est conçu pour traiter des malades… pas pour les maintenir en quarantaine !

Mais les Thaïs ont du mal à comprendre cette évidence.

Ce système privé, parallèle, qui est monnaie courante en Asie, préfigure ce que vous vivrez bientôt… Eh oui avec votre Sécu de merde qui coûte un max, toujours en déficit et vos “mutuelles” qui s’ajoutent par dessus… l’ensemble ayant dépassé depuis longtemps le point de non retour…

Au final : vous paierez toujours “un pognon de dingue”, comme des… “malades”, c’est le cas de le dire, mais en prime vous serez soignés comme de la merde (le Covid étant un amuse-bouche “restez chez vous, prenez du paracétamol ! “, avec des prélèvements zociaux à 17,20 %, tu parles d’une enculerie !).

Ici en Thaïlande, à Bangkok, “parce que je le vaux bien“, je peux faire une séance de scanner Low Dose (avec une machine spatiale flambant neuve signée Siemens, heil !) le lendemain, si je veux.

Pourquoi ? Juste pour le plaisir.

Une opération de chirurgie ? Une colonoscopie dans la joie et la bonne humeur ? 24 h d’attente, à peine. Et pour le prix, vous avez une chambre de luxe, et pour vous faire oublier le vôtre (plat et avachi), le cul de l’infirmière sera fabuleux, son sourire sera solaire, coup de foudre dans la seringue et sous la blouse, et plus si affinités.

Mais je m’emballe. 😉

Le tout à condition de banquer.

Je referme cette parenthèse.

Mon hospitalisation a donc été “conseillée“, j’ai dit jokay pour blinder le pronostic. Mais ce n’était pas nécessaire.

Après la période de quarantaine obligatoire achevée dans ce putain d’hosto, j’ai retrouvé une vie normale. Avec malgré tout quelques manifestations… cutanées… aussi étranges que fugaces, et mon odorat et mon goût toujours dans les chaussettes… pendant plusieurs semaines.

Alors que retenir de cet épisode couillonaviral (je le répète avant le rhume Omicron) ?

D’abord l’ironie bien entendu. Moi l’un des pourfendeurs enragés de cette saloperie, pouf, je passe à la casserole.

Evidemment.

Vous avez le droit de vous foutre de ma gueule. J’assume totalement.

L’autodérision est une des conditions sine qua non de la résistance mentale.

A un moment, au pic de l’état grippal, dans mes délires nocturnes, j’imaginais même avoir été victime d’un empoisonnement mené par un gang d’agents du PCC ! 😉

C’est dire si j’étais impliqué.

Rétrospectivement, je préfère y voir l’expression (ironique) du journalisme gonzo qui est mon modèle.

C’est-à-dire l’immersion personnelle.

Donc voilà, j’ai goûté au couillonavirus. Mais je n’ai pas eu un Covid grave avec atteintes pulmonaires. Je m’en sors donc très bien, comme 99,900225555876899710377 % des gens sur cette satanée planète.

Est-ce que cela a changé mon analyse de fond quant au virus ?

Pas le moins du monde.

La prochaine fois, je passerai au protocole Raoult (HCQ et azithromycine).

Pourquoi ?

Pour varier les plaisirs et emmerder les covidéments.

Categories
Résistance Vrac

Temps et virus : le problème des 2 pilules rouges

Morpheus s’est planté. Il y a 2 pilules rouges.

Deux ans.

Ceux qui me lisent depuis le 20 juillet 2020 connaissent mon mantra : chaque jour qui passe affaiblit les explications couillonavirales classiques (“ils font des erreurs“, “on n’a pas assez de données” etc.) ainsi que les explications subsidiaires, aussi aberrante (“c’est pour enrichir Big Pharma” etc.).

Plus ça dure, plus la covidémence révèle mécaniquement sa nature extraordinaire.

Pourtant, le virus ne semble pas être à la hauteur, ce n’est pas Ebola.

Conclusion : la covidémence est bel et bien une conspiration.

J’ai proposé dès le début une pilule rouge (psyop organisée par la Chine afin d’affaiblir l’Occident, dans un monde sous contraintes en terme de ressources).

Mais il y a un problème.

Car plus ça dure, plus cela renforce aussi l’angle “arme biologique” de la covidémence et donc… la dangerosité du virus.

Les 2 sont liés. Car une arme biologique est forcément dangereuse… Qui s’amuserait à fabriquer un “rhume” et à le déployer sur la planète ? Ou alors… pour provoquer une “vaccination” qui elle serait l’arme ? 😉

On revient en quelque sorte au point de départ.

Discours typique : “Deux ans que ça dure, tous les gouvernements de la planète continuent d’agir comme si le virus était hyper dangereux… donc il est hyper dangereux, ils nous cachent le fait qu’il s’agit d’une arme biologique”.

Autre version : “Deux ans que ça dure, tous les gouvernements de la planète font tout pour nous vacciner alors que la maladie est peu dangereuse, donc cela cache quelque chose de terrible : c’est une arme biologique à effet retardé”.

On dispose désormais d’une importante littérature quant aux effets du virus : les poumons, le système immunitaire qui s’emballe, les problèmes vasculaires, les caillots sanguins etc.

Le virus a plusieurs moyens/voies pour abîmer/détruire l’organisme (déjà affaibli, un point à ne jamais oublier).

Il ne tue que des gens… déjà morts (en gros).

En revanche, personne ne se retrouve en réanimation avec les poumons fondus, plusieurs mois après avoir été infecté.

Tout le monde sera d’accord sur ce point.

Mais quid des effets neurologiques ?

Car enfin, ce virus a une particularité… il peut s’attaquer au cerveau.

On pense bien entendu aux symptômes immédiats : la perte du goût et de l’odorat

La science est comme un enfant en bas âge face au cerveau… On accumule des connaissances mais à une échelle toujours réduite face à sa complexité.

Dès lors, une question surgit : le Covid pourrait-il, en tant qu’arme biologique, avoir des effets long terme sur le cerveau ?

Voilà la deuxième pilule rouge.

D’où mon titre.

Résumons :

-c’est désormais évident le Covid est bien une situation du type “pilule rouge/pilule bleue”… entre ceux qui réfléchissent et les covidéments neuneus qui gobent le spectacle.

-mais, le problème se complexifie… car nous pouvons avoir 2 pilules rouges.

Laquelle choisir ?

😉

Personnellement, je rejette la deuxième, je tente simplement de comprendre le fonctionnement des covidéments, voire de l’anticiper.

La problématique de la durée, de l’obstination ahurissante, extraordinaire au sens propre, des gouvernements du monde entier… sont des arguments que les covidéments peuvent retourner en quelque sorte, pour justifier et renforcer encore davantage leur comportement.

Car n’oublions pas que le premier symptôme du couillonavirus est… la paranoïa.

One pill makes you larger
And one pill makes you small
And the ones that mother gives you
Don’t do anything at all

Go ask Alice
When she’s ten feet tall
And if you go chasing rabbits
And you know you’re going to fall

(Jefferson Airplane – White Rabbit)

Categories
Vrac

Thaïlande : un pas en avant puis 1,48 pas en arrière

Le cirque continue. Le 1er novembre 2021, la Thaïlande lançait le programme “Test&Go” pour les touristes vaccinés.

Ils pouvaient enfin revenir, après 18 mois de frontières fermées (seuls les expats et les citoyens thais étaient autorisés à rentrer en Thaïlande).

Le principe : 1 test PCR au départ (avion), 1 test PCR en arrivant, attendre le résultat dans 1 hôtel spécial (fermé) puis zou libre. Il fallait ajouter une assurance médicale arnaque, et quelques papiers. Et être injectés bien entendu.

Bilan : 133 000 arrivées en novembre.

Puis, arrêt brutal le 22 décembre because Omicron, trop horrible, impossible de continuer le programme car on va de nouveau tous mourir.

Aïe.

Un mois après… donc aujourd’hui… merde on s’est planté, bon allez on reprend le programme, mais comme on ne veut pas perdre la face… on va quand même le “renforcer“… on ne sait jamais ! 😉

Donc, cette nouvelle version à compter du 1er février c’est kifkif… sauf qu’il faut ajouter un 2ème test PCR et une 2ème nuit dans un hôtel spécial pour attendre le résultat… Mais les 2 hôtels peuvent être différents. 😉

Et les 2 réservations doivent être payées à l’avance…

Le tout contre un variant parfaitement bénin. Mais non, car il provoque des cas, et l’Asie ne raisonne qu’en cas.

Un cas c’est mal.

Les PCR foireux avec des CT absurdes qui fabriquent des “cas asymptomatiques” ? Un cas c’est mal.

Ainsi rappelons que des milliers (oui) des milliers de touristes se sont fait baiser depuis le 1er novembre… avec un test PCR déclaré “positif” en arrivant !

Aucun symptôme ? On s’en fout. Zou… direction la prison, pardon l’hôpital pour 10 jours ! Le tout avec votre assurance refusant parfois de payer… car VOUS N’ETES PAS MALADE. 😉

Et des couples séparés (eh oui, il faut ajouter du fun au fun), et des enfants traumatisés.

Super les vacances… 😉

Bref. Encore une énième branlette mentale de nos amis thaïs.

Avec ça, c’est sûr désormais, l’industrie touristique continuera d’être ravagée pour une troisième année consécutive.

Mission accomplie pour les militaires qui dirigent le pays…

A part ça ? Ils repoussent à 23 heures l’heure limite pour consommer de l’alcool dans les restaurants agréés au sein des provinces… codées en bleu et jaune (contre 21 h avant), enfin certaines provinces passent de orange à jaune. (source Bangkok Post).

Mais les bars et autres lieux de divertissement demeurent fermées… for ever.

Et le décret d’urgence qui couvre tout le bordel covidémentiel a été prorogé pour 2 mois supplémentaires.

C’est sa… seizième extension. 🙂

Vous n’y comprenez plus rien ? C’est normal, ici en Thaïlande, tout le monde aussi est largué les règles changeant en permanence au niveau national mais aussi provincial (certains gouverneurs s’en donnant à coeur joie et rajoutant des règles à la con par dessus les règles à la con).

Une seule certitude en ce qui me concerne : ces enfoirés ne m’empêcheront pas de boire du pinard.