Retour aux chiffres. Je sais c’est pénible, mais c’est votre garantie contre la covidémence.
Zoom aujourd’hui sur la Californie.
Porqué ?
Parce que c’est l’état le plus peuplé des USA : 40 millions.
Le plus riche. Mais aussi celui avec… le plus haut taux de pauvreté ! Eh oui.
Et qui vote démocrate.
En clair : c’est un shithole, au sens trumpien du terme. 😉
Et si vous avez toujours une vision romantique années 60 du Golden State, une sérieuse mise-à-jour est nécessaire.
Voyez ce qu’est devenu San Francisco… Un exemple parmi de nombreux autres…
Alors à part les mecs qui font caca sur les trottoirs sous les applaudissements des municipalités aussi dégénérées que “démocrates“, quid du couillonavirus ?
Voici le tableau officiel par groupe d’âge, du CDC californien (données au 13 août).
Bilan ? Toujours identique, comme partout dans le monde : le virus tue des vieux malades. Point barre.
Plus quelques jeunes, malades eux aussi. Pas de bol. On pointera d’ailleurs la parfaite obscénité… Ils ont osé mettre “1” mort dans le groupe des 5-17 ans… Ah ils ont dû aller le chercher loin celui-là ! Aux forceps on imagine…
Le groupe des 80 ans et plus… pèse 41,8 % des covidécès… alors que ces individus ne représentent que 3,9 % de la population totale.CQFD.
Et comme je n’apprécie pas vraiment la branlologie des Californiens et leurs pathétiques tentatives de manip’… voici leurs propres données, mais sans ces “tranchettes” d’âge à la con.
Car quelle est la différence entre 72 ans et 76, en matière couillonavirale, hein ? A part vouloir gommer l’effet de masse ?
Le CDC est grotesque. Ce qui au passage révèle sa covicomplicité (je reviendrai bientôt sur les manipulations de son grand frère, le CDC fédéral, à la pointe de la covidémence téléguidée…).
Ma propre expérience (Asie du Sud-Est vers Paris en mai)… des formulaires à remplir…mais jamais exigés par la police des frontières de notre glorieux pays.
L’officier à Amsterdam ? Rien à foutre non plus. Mais très poli.
L’arrivée à Paris CDG ? La blague… Rien de rien. Même pas une petite caméra thermique à se mettre sous la dent. Alors que nous étions, souvenez-vous, “en guerre” contre le couillonavirus.
Ce qui frappe toujours avec la covidémence et la problématique des frontières c’est d’abord une certaine odeur. Très prononcée.
Celle d’un gigantesque foutage de gueule. 😉
D’un côté, tout est fait pour distiller la terreur virale… de l’autre concernant certaines mesures pratiques… on retombe dans la bonne vieille branlologie française que le monde nous envie (ou pas).
Le plus beau symbole est cette expression reprise en coeur et avec enthousiasme par tous les covicons et les covidéments : “le virus n’a pas de passeport” (Macron bien entendu, et tous les autres).
Ajoutez ensuite pour les plus aventureux : “vous n’aurez pas ma haine !“
😉
Alors que si. Et la honte et la haine, mon général !
En Thaïlande par exemple, les frontières sont fermées, totalement, réellement et je peux vous assurer que le bordel requis pour rentrer… ferait rougir de honte n’importe quel fonctionnaire français en stage d’été à la Stasi.
Le tout couplé avec 14 jours de quarantaine dans un hôtel sélectionné (payé de sa poche par l’imprudent voyageur). En coopération avec un hôpital local, 2 tests dans le pif, 2 prises de température par jour avec reporting électronique et tout le tralala.
Sans oublier bouffe avec couverts plastiques (car celui qui franchit la frontière est forcément contaminant) et charlotte sur les cheveux pour le personnel… Ambiance Lèvres de Feu avec Star Trek modulo Mash.
Là, le couillonavirus il ne passe pas…
Quand on veut on peut.
Mais la France et ses complices européens n’ont jamais voulu.
Car frontières fermées = invasion migratoire stoppée, et ça mes amis, vous le savez bien, c’est intolérable. Verboten.
L’idéologie “frontières ouvertes” est même souvent supérieure à la covidémence… C’est dire… !
Vous remarquerez d’ailleurs qu’elles se chevauchent : ce sont les mêmes individus qui généralement souffrent de ces deux formes de démence.
Alors pour revenir à ce capiteux parfum de foutage de gueule tricolore, rien de vaut un article dans le Canard Enchaîné… 😉