Si vous n’avez pas oublié vos cours de géographie, vous savez que la Nouvelle-Zélande est située dans l’hémisphère sud.
Si, si.
Ce faisant, quand à Paris, présentement, vous avez vos vapeurs avec un 36 degrés des familles, nos amis (?) néo-zélandais, se pèlent le jonc avec un petit 9 degrés.
C’est leur hiver.
Et que se passe t-il en hiver ? Nez qui coulent, rhumes, grippes, états grippaux et toutes une variétés de miasmes et symptômes qui nous pourrissent la vie.
A présent, replacez la covidémence… dans un tel cadre hivernal…
Entire retirement village is placed into lockdown in New Zealand as 8 residents display flu symptoms – after nation celebrated 100 days without community transmission.
Dans l’absolu, je suis d’accord : on se contrefiche de 8 vieux à l’autre bout du monde qui ont une simple grippe (car la Nouvelle-Zélande n’a plus d’infection Covid domestique, depuis 100 jours !!!) ou même des décisions de confinement local prises par quelque Kiwi covidément.
En revanche, ce micro évènement vous montre précisément ce qui va se passer, à compter du mois de novembre, dans tout l’hémisphère nord…
Ici, faites un léger travail d’imagination [alerte Fact Checkers : exagération, je sais, calmez-vous].
-un prof dans un collège : il a le nez qui coule, il éternue. Panique des parents. Fermeture de la classe, voire du collège entier. Tout le monde doit être testé. Quarantaine. Durée d’incubation du couillonavirus, blablabla.
-la même classe : un élève éternue, un autre a la mal la tête (le bougre a bien picolé la veille). Droit de retrait des profs. Soutien des syndicats-caca. Fermeture de l’établissement. Tests. Panique. Caméras de BFM-TV devant. Lockdown. Castex augmente le nombre de ses points Hertz en débarquant fissa, avec son chiot Véran, histoire de… on ne sait pas au juste, mais il vient en voiture, c’est l’essentiel.
-à présent extrapolez ces délires dans d’autres environnements : petites entreprises, grandes entreprises, hopitaux, immeubles de bureaux, usines, magasins, services publics, etc.
… Toute la beauté du principe de précaution qui a profondément corrompu l’esprit de nos contemporains.
Maintenant vous comprenez le bordel insensé qui va nous tomber dessus, même si le couillonavirus n’est plus virulent, ou même s’il a simplement disparu.
La peur, systématiquement et délibérement imposée sur le cheptel depuis le mois de février… va créer un substrat extrêmement fécond et efficace… pour prolonger la covidémence.
Le potentiel disruptif est, disons-le, gigantesque. Le tout dans une économie déjà sérieusement mise à mal, et un cheptel déjà très affaibli psychologiquement.
Car répétons-le (je sais c’est fou) : en hiver, les gens tombent malades.
Et de nombreux symptômes communs à tous ces miasmes hivernaux, recouvrent les symptômes du terrible couillonavirus.
Le plan se déroule comme prévu…
Voilà. Vous pouvez donc à présent voir, littéralement, le futur. Et vous pouvez frimer auprès de vos amis.
Incroyable mais vrai. Le plus gros état des USA, 39,5 millions d’habitants, le plus riche… a lamentablement foiré son système informatique lié au reporting… des résultats des tests pour les maladies infectieuses.
Le bug est tellement énorme que la directrice du Departement of Public Health a immédiatement démissionné (comprendre virée, enfin espérons-le).
300 000 résultats de tests (mais pas tous Covid) n’ont pas été enregistrés dans le système.
Rappelons que la Californie affiche officiellement 500 000 cas de couillonavirus pour 10 300 décès.
Donc, 300 000 tests perdus dans les limbes de la fonction publique californienne… cela pose un vrai problème.
Car… cela impacterait directement, et peut-être dans de grandes proportions… le taux de létalité du couillonavirus (case fatality rate, c’est à dire rapport nombre total de cas sur nombre de morts) !
… EN LE BAISSANT !
C’est balo. Caramba, encore raté.
Une fois de plus, une malencontreuse “erreur” humaine, un malencontreux “bug” informatique, a conduit, objectivement, à l’exagération d’un élément terrorisant lié au couillonavirus.
Notons que toutes ces “erreurs” ne se produisent jamais dans le sens inverse.
C’est à dire des éléments qui provoqueraient une sous-estimation de la menace couillonavirale…