La CGT et d’autres syndicats ont déposé un préavis… de grève pour le 17 septembre.
Eh oui ! Les précédentes grèves, les vacances et les congés couillonaviraux sont terminés ! Zut. Donc faut bien compenser.
Ce qui frappe ce n’est pas le principe de cette grève, c’est une tradition depuis 1947 (en septembre… et tous les autres mois de l’année, sauf juillet et août) mais son objet.
Enfin, son excuse si vous préférez.
Face à l’épidémie du coronavirus, elles exigent notamment une réduction du temps de travail «sans perte de salaire», ainsi que la gratuité des masques pour les collégiens, les lycéens et les étudiants.
Déclaration -choc- du ministre de la santé, Stephen Donnelly.
Comme d’habitude, ce genre de déclaration hystérique vient après une “très forte hausse” des nouveaux cas détectés (+164 en 24h dans tout le pays…).
Prenons un peu recul et observons les graphiques (sur le site officiel du gouvernement, très bien fait par ailleurs).
Voilà. 😉
Comme dans de très nombreux autres pays, nous voyons les mêmes profils, les mêmes courbes en cloche.
Et surtout, surtout…. la même covidémence à l’oeuvre.
Simplement évoquer la possibilité d’un confinement national pour… ça… est soit la preuve d’une insondable bêtise, ou alors une marque de complicité.
Car enfin, rappelons une évidence : nous sommes fin août 2020. Plus en mars 2020, lorsque les autorités pouvaient encore dire “nous ne savons pas“, “pas assez de données“, “c’est la panique“, “principe de précaution“, “le virus est dangereux“, etc.
Ou encore pouvaient… se tromper. C’est-à-dire commettre une erreur de bonne foi.
Alors ministre Stephen Donnely ? Con comme une enclume ou criminel ?
L’histoire jugera.
Et la justice des hommes le jugera peut-être aussi…
On le savait déjà : le couillonavirus n’affecte pas les enfants. Et les tue encore moins…
Dès que les premiers bilans par tranche d’âge sont sortis de Chine, on le savait. La même réalité virale s’est ensuite imposée partout. Constituant au fil des données, une évidence indépassable.
Ca n’a pas empêché bien entendu les covidéments de chercher à terroriser le cheptel. Souvenez-vous du délire autour la maladie de Kawasaki, des enfants et du virus (lire ici).
Du flan. Fake. Quelques cas montés en épingle à New-York et Paris par des pétochards et des vicelards. Une énième manipulation, relayée avec zèle comme d’habitude par les médias.
Certains pays (ou état) n’ont d’ailleurs pas peur du ridicule. Comme la Californie qui affiche fièrement “1” décès dans la colonne des enfants de 5 à 17 ans. Oui : un mort (sur un total de 10 800 !). Si, si, lisez ici.
Bref, il a fallu une grande enquête financée par le gouvernement anglais pour que enfin :
Healthy children do not die of coronavirus and only those who were seriously ill before they caught the disease are at risk, a major government-funded study has confirmed. No healthy child has died of the virus yet in the UK, researchers said.
Six children under the age of 15 have died of coronavirus in England and Wales since the start of the pandemic, along with nine 15 to 19-year-olds. This compares with 52,082 victims in all other age groups up to August 14, according to the Office for National Statistics.
Mais ces 6 enfants comptés en covidécès sont morts, dans les faits, de cancer ou infirmité motrice cérébrale.
Voilà. Je vous rappelle au passage que la même entourloupe… s’applique aux adultes. On a compté en covidécès des vieillards bourrés de pathologies qui sont morts de tout sauf du couillonavirus.
Les bilans sont bidonnés, c’est avéré au UK, USA, Belgique (et dans les faits dans tous les pays occidentaux, sauf peut-être en Allemagne).
Peut-on donc considérer le sujet (des enfants) comme clos, définitivement ?
Peut-on passer enfin à de vrais sujets (comme le rôle de la Chine, les politiques criminelles de confinement appliquées en Europe et en Amérique, les faux vaccins, la répression masquée dans les rues, les écoles et les entreprises, etc ?)