Le New York Post pointe un fait tout à fait déroutant au sujet du couillonavirus : “Les scientifiques ne parviennent pas à expliquer l’incroyable manque de flambées virales en Afrique.”
L’Afrique. Extrême pauvreté. Des systèmes de santé… aléatoires pour rester poli. Plus de 1,2 milliard d’individus. Et des mégalopoles-shitholes avec des densités humaines très élevées (qu’on songe à Lagos au Nigeria, avec plus de 20 millions d’habitants).
Comme en Inde ou au Brésil, le couillonavirus aurait dû y faire des ravages…
C’est en tout cas ce que pensaient, et ce qu’avaient annoncé de nombreux scientifiques, épidémiologistes et modélisateurs, tous… très blancs. 😉 Ou à peu près.
“I thought we were heading towards a disaster, a complete meltdown,” Professor Shabir Madhi told BBC News.
Résultat plusieurs mois après ?
Rien.
Pas grand chose.
Quelques cas, mais pas de morts. Un peu le souk en Afrique du sud (et encore, lire mon article ici).
Alors… est-ce leur âge moyen (très jeune) qui les protège ? C’est une évidence ! Mais cela ne peut pas être le seul facteur.
Le journal évoque d’autres hypothèses (comme des formes particulières d’immunité)…
Mais il y a une autre piste, hélas totalement ignorée…
De nombreux Africains mangent… de l’hydroxychloroquine comme des smarties… Contre le paludisme, endémique là-bas.
Et de nombreux pays, face à une infection couillonavirale… prescrivent directement l’hydroxychloroquine.
Ah zut. La tuile !
Bon dieu, ça y est… ! On revient à Didier Raoult ! 😉
Appelez-moi le petit Olivier, sur l’intercon ! La ligne rouge !
Quelques titres au hasard :
Djibouti is Treating All COVID Patients with Chloroquine (source)
Senegal to continue treating COVID-19 patients with hydroxychloroquine (source)
Covid-19 treatment: Algeria to continue using Hydroxychloroquine (source)
😉
En dernier recours, faites comme Kurtz… Plongez au Coeur des Ténèbres…