J’ai souvent écrit au sujet des invraisemblables différences couillonavirales entre l’Occident et l’Asie.
Invraisemblables dans un monde “globalisé“.
Vous connaissez maintenant les lignes de force de cette observation :
-France : 30 000 morts (remplacez par Espagne, Italie, Belgique, Royaume-Uni, Etats-Unis, etc.)
-Thaïlande : 59 morts. Vietnam : 35 morts pour une population de 96 millions. Japon : 1 500 morts pour une population (très âgée) de 126 millions de personnes !
Inutile de continuer.
Et j’ai souvent affirmé que le bidonnage était forcément de notre côté, en écartant toute hypothèse pseudo scientifique (comme par exemple la souche en Asie, et seulement en Asie, serait totalement différente, ou autre comme la nourriture, l’air, l’eau voire mêmes les pratiques culturelles).
Mais comment médicalement expliquer cela ? Il y avait un chaînon manquant.
Je pense qu’on vient de le trouver. Et il paraît évident, rétrospectivement.
L’immunité.
Des scientifiques anglais ont publié une remarquable tribune dans The Telegraph, au titre punch : “Let’s stop the continued self-destruction and test for Covid immunity” (texte disponible pour une large partie sur le blog Lockdown Sceptics).
China, a country of almost a billion and half people, eventually registered less than 5,000 deaths, and South Korea (51 million people) – about 300. The obvious explanation for those negligible mortality rates – highly prevalent pre-existing immunity – was widely ignored. The world chose to believe that the tough lockdown in Wuhan, along with restrictions in other parts of China, somehow eradicated the virus.
Leur conclusion ?
In short, it is extremely likely that most of us are at least partially immune to COVID-19. Let’s accept this fact and try to quantify it. Continued self-destruction is a bad alternative.
Au lieu de dépenser de l’argent pour des vaccins absurdes, des tests PCR imbéciles par dizaines de millions, de détruire avec obstination les économies occidentales, de terroriser les populations… concentrons les recherches et les ressources pour élucider cette mystérieuse immunité (sa ou ses origines), la quantifier, et surtout identifier les groupes réellement à risques.
Ajoutons une autre preuve, éclatante qui a été là encore… très rapidement oubliée, passée sous silence, fort opportunément.
Prenez une parfaite boîte de Petri : un navire de croisière avec 3711 passagers (plutôt âgés) et membres d’équipage, venant des quatre coins de la planète (belle diversité de gènes)… Avec donc une densité humaine élevée (24 400 par km2, plus que Paris).
Balancez le couillonavirus dedans. Et laissez incuber. En fermant toutes les issues. 😉
Vous avez reconnu le fameux Diamond Princess, le “navire de la mort” au début de la covidémence (février). Les Japonais avait mis en quarantaine le navire. Personne ne pouvait sortir… 14 jours d’enfer.
Bilan ?
On a focalisé à l’époque sur les morts : 14 (nombre déjà ridicule). Et le nombre de cas : 700, soit 19 % du total de la population prisonnière de la boîte de Petri…
Ce qui signifie que 81 %… n’ont pas été infectés alors que le virus est réputé très virulent et que l’environnement était idéal pour sa propagation…
Sérieuse dissonance cognitive et épidémiologique…
Ces 81 % ne venaient pas d’une autre planète, ils n’avaient pas mangé des sushis magiques les protégeant, ou prié Allah Le Miséricordieux, ou sorti les amulettes du papier de soie… ils étaient simplement immunisés. CQFD.
Tout s’éclaire.
Le couillonavirus, se heurte à une vaste immunité collective. Et in fine, ne peut tuer que quelques vieillards, fragilisés par des pathologies pré-existantes (et ajoutons quelques cas “pas de bol”, hors clous statistiques).
Si on introduit cette notion d’immunité dans les observations et les analyses du fait couillonaviral de part le monde… alors toutes les pièces du puzzle s’assemblent.
20 % de la population en gros sont susceptibles d’être infectés.
Sur ces 20 %, un nombre infime perdra la vie (les très vieux et très malades, plus quelques cas pas de chance/mystérieux).
Voilà. La comparaison des bilans en Asie devient alors logique, avec l’Occident où tout est fait pour grossir la menace (millions de tests inutiles, politiques de santé publique absurdes et dangereuses comme les confinements, attendre le dernier moment pour prendre en charge les malades, conflits d’intérêts multiples entre fonction publique, les et entreprises pharmaceutiques, etc.).
Et à la fin, inévitablement, on en revient à cette évidence… La justice va devoir passer.
Et chez nous, elle va avoir un gros, un très gros travail…
Chaque jour supplémentaire de covidémence, malgré les évidences scientifiques, épidémiologiques, arithmétiques, va devoir se payer. Cash.