La covidémence c’est d’abord et avant tout une… conspiration.
Nous sommes tous d’accord.
Mais c’est aussi, par-dessus ou par-dessous, la preuve désespérante, répétée, de la profonde bêtise, crasse et pour tout dire effrayante de la majorité des gens ; le cheptel.
Le Royaume-Uni est en pleine crise de covidémence, le gouvernement fait n’importe quoi, Boris Johnson se révèle un abruti apeuré et inconstant… Ils annoncent de nouvelles mesures (encore) contre le couillonavirus qui n’existe plus, en particulier des confinements locaux.
Conséquence ? Ni une ni deux… des masses de crétins se précipitent au supermarché du coin… pour acheter… du papier-toilette !
Pas de la nourriture, des armes, des clopes, ou du pinard, bref des choses importantes… non !
Du papier-toilette.
Pour se torcher le cul.
Où l’on revoit les mêmes images qu’en mars dernier, dans plusieurs pays (aussi bien en Asie qu’en Occident, faites une recherche avec “panic buying virus”). C’est ahurissant.
C’est un cauchemar en boucle. C’est le film Groundhog Day mais sans Bill Murray.
Le DailyMail publie un article avec de nombreuses photos qui vous donneront envie de pleurer. Et d’ouvrir plusieurs bouteilles de rouge…
Dans ces cas de désespoir intense, il ne reste plus que William Butler Yeats.
Things fall apart; the centre cannot hold;
Mere anarchy is loosed upon the world,
The blood-dimmed tide is loosed, and everywhere
The ceremony of innocence is drowned;The best lack all conviction, while the worst
Are full of passionate intensity.