Depuis des mois, on a des données “terrain” qui démontrent que le couillonavirus a une affection particulière pour les “gens de couleur“.
Aïe. Le mot est lâché. Les flics de Fessebouc sont prévenus. La brigade des moeurs de Touiteur itou. On attend encore la Licra, la Dilcrah et le SGEG au banquet.
Et ceci dans plusieurs pays occidentaux.
En premier lieu, dans les pays où les statistiques ethniques sont autorisées : Etats-Unis et Grande-Bretagne (jetez un oeil aux stats anglaises, on imagine la même chose en France… le gag).
Voici un exemple de ces débats dans la presse britannique :
UK scientists will get £4 million to find out why black and Asian people are more likely to die from coronavirus
Evidence suggests BAME people are nearly twice as likely to die than whites (source DailyMail ou encore ici sur la BBC)
(Rappel pour les malcomprenants : au UK, “Asian” désigne les Pakistanais, Indiens, Bangladais et pas l’Extrême-Orient “asiatique” comme chez nous, avec les Chinois, Vietnamiens, Coréens, Japonais etc.)
Mais même en France, via des réflexions indirectes. Exemple le IHU à Marseille, où le professeur Raoult évoquait la forte représentation des… Comoriens parmi les malades du Covid dans son hosto, ou des témoignages d’autres médecins (lire ici)… Il faut préciser au passage que Marseille est la -véritable- capitale des Comores. 😉
A l’époque du “pic” on a eu également des sous-entendus concernant le département de la Seine Saint-Denis (exemple dans cet article qui pointe la surmortalité).
Très tôt, des recherches couillonavirales ont évoqué le rôle de certains “récepteurs” dans le corps humain, et de leurs variations parmi les différents groupes ethniques.
Dernière étude en date, publiée ici, porte un titre non équivoque : “Racial/Ethnic Variation in Nasal Gene Expression of Transmembrane Serine Protease 2 (TMPRSS2)“.
Le mot “race” va bien entendu donner des sueurs froides à tous les gauchistes racialisés bas de plafond de France et de Navarre… Et c’est tant mieux.
Avec un peu de chance, leur espérance de vie sera un peu réduite sous l’effet du stress (davantage que le couillonavirus, ça c’est une certitude). 😉
Conclusion de l’étude ?
TMPRSS2 expression was significantly higher in Black individuals compared with Asian, Latino, mixed race/ethnicity, and White individuals (all P < .001) based on linear regression (Figure and Table). There were no significant associations between TMPRSS2 expression and sex, age, or asthma.
Attention, il convient de répéter que le couillonavirus met en jeu de très nombreux facteurs.
Ainsi, en observant la situation en Afrique… on devrait s’attendre logiquement à une hécatombe (et d’ailleurs de nombreux experts avaient annoncé une telle catastrophe).
Or, il n’en a absolument rien été (lire mon article ici).
Il est évident que l’extrême jeunesse des Africains les protège, en masse, réduisant à néant (?) l’éventuelle sensibilité à tel ou tel récepteur que le virus pourrait avoir, parmi tel ou tel groupe ethnique.
Sans parler des comorbidités (l’obésité par exemple est plutôt une maladie occidentale…).
En clair : le risque devient palpable si vous êtes :
-diabétique
-obèse
-noir
-vieux
-vivant aux Etats-Unis
Là c’est le Quinté+ dans l’ordre…
En Angleterre, on a également mis en avant les modes de vie des communautés BAME (Black, Asian & Minority Ethnic) (repas pris en commun avec de larges groupes par exemple, ou encore fréquentation des mosquées, etc.) ou même le fait social (les BAME occupant des emplois manuels, durs, exposés, prenant les transports en commun régulièrement, etc.)
Bref, comme d’habitude de telles données constituent de la nourriture pour l’esprit, et tout honnête homme se doit de demeurer ouvert et aux aguets pour tenter de comprendre le Réel (au lieu de prétendre le travestir selon ses propres goûts ou modes du jour).
Et on ne gâchera pas notre plaisir… La cerise sur la forêt noire c’est bien entendu les réactions des hystériques. Un exemple représentatif : une dingue américaine, social warrior et féministe (je sais la double peine) qui a immédiatement réagi à la publication de cette étude.
“C’est inacceptaaaaaaaaaaaaaable ! La race c’est DANS TA TETE ! C’est comme le genre ! C’est mon choix ! J’ai beau avoir un vagin et un utérus, nooooon, je ne suis pas une femme si je le décide ! Prout !”
Pauvre cocotte…. elle a été triggered, littéralement allumée, et elle se consumme instantanément. C’est magique. 😉
Chez nous, on se souviendra avec émotion du fameux “ah mais non monsieur, je ne suis pas un homme, qu’est-ce qui vous fait dire que je suis un homme ? ” (séquence vidéo culte) proféré par un gland équipé d’un beau collier de barbe, l’air totalement ahuri voire psychotique, devant un Daniel Schneidermann hébété et pensant subitement à ses prochaines vacances sur une île déserte du Pacifique…
Autant d’instants… précieux. 😉
Chaque fois que l’on peut rappeler que la nature est injuste et qu’elle se moque des obsessions pseudo anti-racistes des uns ou des autres… c’est bon à prendre.
Dans le cas présent, on combine covidémence et l’obsession anti-raciste… Deux faces de la même maladie mentale.
Et donc comme au scrabble, ça compte double.