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Humour

“Chérie, j’ai enfilé le masque par-dessus mon hot-dog”

… Et c’est le drame.

Convient également aux amateurs -très avertis- de “pegging”

A comparer avec le masque ambiance médiévale, baptisé “Olivier Véran Le Pestifoireux” (copyright).

“Le petit Olivier est attendu à l’accueil. Avec une culotte propre”.

Y’a pas à dire… Les Américains sont vraiment trop forts.

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Humour

Exclusif : Etude randomisée en triple sourd : la différence entre debout et assis

“La science ? J’en mange chaque matin au petit-déjeûner. Alors fermez-là.”

Le problème est le suivant : vous vivez à Paris ou dans une autre grande ville française.

Le préfet, le maire vous imposent de porter le masque, à l’extérieur, dans la rue, en marchant.

Mais, si vous êtes assis seul à la terrasse d’un café pour siroter une grenadine, ou alors pour boulotter un croque-madame avec un pote tout en matant les jambes des femmes (“j’ai dit les jambes“)… pas besoin de masque.

Comment expliquer une telle différence ?

Mon étude révèle l’incroyable mécanisme à l’oeuvre.

Il s’agit d’une étude scientifique très poussée et validée par les plus grands experts en méthodologie (double aveugle, triple sourd, quadruple malentendant, etc.).

Le Lancet est le sur coup. Et même Maison et Jardin.

Voici le résultat, sous la forme d’un schéma, afin de faciliter la compréhension par les esprits simples.

La démonstration est donc faite : le couillonavirus passe au-dessus de la tête de ceux qui sont assis. Et donc les épargne.

Qu’il est con ce couillonavirus !

Conclusion : pour vivre sans masque et sans risque de choper la chtouille le Covid, restez assis comme des gros cochons en terrasse, à bouffer des saloperies et à mater des culs.

“Tous les cosmonautes sont formels : les couilles ne pendent pas en apesanteur. Elles flottent.” Le professeur Choron est membre de notre comité scientifique. Le Lancet peut aller se rhabiller chez Prisu.
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Chiffres Pays

Nouveaux cas : comparaison France, Espagne versus Suède, Allemagne

Base de données ici.

Indicateur utilisé : “New confirmed cases of COVID-19 (7-day smoothed) per 1,000,000 people”

Traduction : nombre de nouveaux cas par million, moyenne mobile 7 jours.

Pourquoi cet indicateur ? Le par million d’habitants permet de comparer des pays différents. Et la moyenne mobile 7 jours permet de lisser les “aberrations” de reporting au jour le jour, afin de mieux visualiser les tendances.

France, Espagne, Suède, Allemagne.

Du 01/06 au 07/09. Trois mois donc couvrant la fameuse “seconde vague”

Tout est clair ?

Rappel très important :

La France et l’Espagne sont totalement covidémentes : masques, restrictions, hélicos de la police en chasse sur les plages, campagnes de terreur quotidiennes dans les médias autour des “nouveaux cas”, sans oublier la gueule de Véran, et celles des indépendantistes catalans et autres socialistes de Madrid, etc.

La Suède est… bêtement normale. Il n’y a rien là-bas, ni confinement, ni restrictions, ni masque. Juste quelques vieux qui ont le bon goût de mourir à 90 ans avec le Covid. Et des femmes blondes qui courent avec des blés dans les cheveux. Et… Greta Thunberg, beaucoup moins sympa, mais… je m’emporte là ! 😉

-Et l’Allemagne ? Warum ? L’Allemagne est au milieu… Ailleurs. Le Reich se tait, n’en pense pas moins, mais joue la covidémence en public et laisse les petits enfants (France, Espagne etc.) s’éclater la gueule contre un mur. En clair, ce sont des planqués sournois et manipulateurs (si vous visualisez Angela, alors tout devient parfaitement clair).

Voici donc le graphique tant attendu.

Conclusion ?

Non rien.

😉

Allez, je vous donne un indice : “Houston, we have a problem“.

Inutile de montrer ce graphe au petit Olivier. Il risquerait d’y laisser ses 3 neurones encore interconnectés.

Par contre, vos amis, vos relations de travail… Certains se croiront malins et invoqueront le fait que les Suédois… ne sont pas vraiment des gens comme nous, hein.

Ils mangent des trucs bizarres, boivent du Julmust, font pipi dans la neige, et gambadent nus dans les prairies (quand ils ne se font pas violer par des Somaliens, mais… attention, pas d’amalgames, cela ne nous regarde pas).

Bref. Ils essaieront, mais vous parviendrez facilement à les remettre dans le droit chemin. Celui de la Vérité.

Non il n’y a qu’une seule chose très différente entre France/Espagne et Suède/Allemagne… Ce sont les “politiques de santé publique” en clair, la covidémence imposée aux Espagnols et aux Français par leur gouvernement dégénéré respectif : folie des tests PCR (qui rapportent de l’argent en Espagne), restrictions, masques en extérieur, etc.

Les plus malins tenteront le : “c’est parce que la Suède fait beaucoup moins de tests, donc ils trouvent moins de positifs et toc“. Sous-entendu, le délire des tests en France et en Espagne, c’est bien.

Sauf que non : car dans ce cas, la Suède… devrait être submergée de malades… qui seraient découverts pas par des tests, mais une fois à l’article de la mort à l’hôpital…

On retombe ici dans la démonstration -par l’absurde- que les orgies de tests en Espagne et France NE SERVENT A RIEN car dans leur majorité ils détectent des faux positifs (lire ici) : c’est-à-dire des gens jeunes, sans risque, sans symptomes, ni malades, ni contagieux et encore moins morts.

Mais que l’on terrorise et que l’on pousse à se faire tester.

Pour obtenir des bilans quotidiens en hausse et justifier toutes les politiques coercitives.

Bref : échec et mat.

Je n’ai eu de cesse de le répéter : les Suédois sont emmerdants (ici et ).

Et alors l’Allemagne me direz-vous ? Que viennent faire les Teutons dans cette galère ?

Eh bien, il vous suffit de lire mon article “Covidécès : le cas allemand qui accable la France“, et tout s’éclairera.

Conclusion de la conclusion : dans la covidémence il y a une gradation. Et il est évident que la France et l’Espagne sont sur le podium… (surtout quand on apprend que l’Espagne a lié primes financières avec le nombre de tests et de cas positifs, lire mon article ici !).