Nous nous moquions des crétins anglais faisant des stocks de PQ (lire ici)… Voici l’heure de nous moquer des bons gros veaux français qui… se précipitent et font la queue…. aux aurores… pour se faire tester !
Centre de dépistage pris d’assaut à Nîmes : “Les premiers sont là depuis 5 heures du matin“
La covidémence c’est d’abord et avant tout une… conspiration.
Nous sommes tous d’accord.
Mais c’est aussi, par-dessus ou par-dessous, la preuve désespérante, répétée, de la profonde bêtise, crasse et pour tout dire effrayante de la majorité des gens ; le cheptel.
Le Royaume-Uni est en pleine crise de covidémence, le gouvernement fait n’importe quoi, Boris Johnson se révèle un abruti apeuré et inconstant… Ils annoncent de nouvelles mesures (encore) contre le couillonavirus qui n’existe plus, en particulier des confinements locaux.
Conséquence ? Ni une ni deux… des masses de crétins se précipitent au supermarché du coin… pour acheter… du papier-toilette !
Pas de la nourriture, des armes, des clopes, ou du pinard, bref des choses importantes… non !
Du papier-toilette.
Pour se torcher le cul.
Où l’on revoit les mêmes images qu’en mars dernier, dans plusieurs pays (aussi bien en Asie qu’en Occident, faites une recherche avec “panic buying virus”). C’est ahurissant.
C’est un cauchemar en boucle. C’est le film Groundhog Day mais sans Bill Murray.
Dans ces cas de désespoir intense, il ne reste plus que William Butler Yeats.
Things fall apart; the centre cannot hold;
Mere anarchy is loosed upon the world,
The blood-dimmed tide is loosed, and everywhere
The ceremony of innocence is drowned;
The best lack all conviction, while the worst
Are full of passionate intensity.
Ce n’est pas un cobaye qui s’est payé des “troubles neurologiques graves” lors du test clinique du vaccin d’AstraZeneca (qui implique 18 000 personnes au total dans le monde)… mais deux.
Ce cas avait provoqué la suspension du test (lire ici)… Suspension levée quelques jours après… sauf… sauf aux Etats-Unis. La compagnie ayant bien entendu joué à l’autruche… Avec une non communication, et des faux fuyants.
Il faut dire que l’Oncle Sam possède une très, très longue expérience en matière de saloperies médicales et de scandales… Les Américains sont donc naturellement… suspicieux. 😉
Donc ce n’est pas un seul pauvre cochon d’Inde qui en a pris plein la gueule à cause du “vaccin“… mais deux, révèle le New York Times !
Aïe.
La tuile.
Prout.
Vous vous souvenez de vos cours d’algèbre ?
Deux c’est le début… d’une suite. 😉
“If there are two cases, then this starts to look like a dangerous pattern,” said Mark Slifka, a vaccine expert at Oregon Health and Science University. “If a third case of neurological disease pops up in the vaccine group, then this vaccine may be done.”
Bref, le jeu est désormais simplissime. Il suffit qu’un troisième cas passe à la casserole neurologique… et AstraZeneca pourra se reconvertir dans l’élevage de poules.
Ou l’arboriculture…
C’est ballot.
D’autant que la société anglaise a déjà vendu dans le monde DES CENTAINES DE MILLIONS DE DOSES de son “vaccin” (les guillemets s’imposent désormais, puisque répétons-le…ce “vaccin” n’existe pas. Il y a simplement des projets qui sont testés) (la liste est ici).
Rappelons que la société enregistrait en 2019 un chiffre d’affaires de 24,38 milliards de dollars pour un total de 61 000 employés.
Lire également l’article de RT, en français, sur ce qui commence à lâcher des effluves musqués de bon gros scandale sanitaro-pognonphile.
A propos de la Russie (car RT étant comme chacun le sait… un scandaleux outil de propagande du méchant ours russe)… il y en a un qui mange du popcorn, arrosé de vodka, tout en se fendant la poire.