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Saloperie et sida mental

Lits réanimation en “tension” : les signes de l’arnaque s’accumulent

Bienvenue dans le monde -terrible- des lits de réanimation “en tension“.

Suite logique de la “seconde vague“, prochain chapitre du conte pour enfants raconté par le gouvernement.

Le Professeur Bruno Mégarbane, chef du service réanimation à Lariboisière (Paris)… dévoile le pot aux roses :

Moi je connais tous les hivers à Paris, les lits de réanimation sont totalement saturés. Tous les hiver. Nous transférons des patients à Orléans, à Chartres. En temps normal. Bien sûr on n’en parle pas. Mais nous nous en parlons tous les jours. Nous demandons des lits supplémentaires, rien ne nous est accordé.

Lien : https://www.youtube.com/watch?v=gthCKdkUi-Q

Ajoutez à cela, la déclaration de la députée Martine Wonner qui a travaillé en réanimation et qui affirme (à l’Assemblée Nationale) :

C’est du jamais vu, on n’a jamais mis ce type de patients en réanimation.

Saupoudrez ensuite le tout par les informations selon lesquelles… le privé et ses capacités en réanimation sont soigneusement ignorés… (lire mon article ici)… c’était déjà le cas au printemps… et c’est toujours le cas 6 mois après.

Et enfin en guise de dessert, Philippe Juvin, chef des urgences à l’hôpital Pompidou (Paris) qui déclarait le 24 septembre (source France Info) :

C’est quand même assez incroyable que huit mois après la crise, on soit dans un système où on n’a pas augmenté le nombre de lits de réanimation ou d’hospitalisations, on l’a même réduit. Paradoxalement, au mois d’octobre, nous risquons d’avoir moins de moyens hospitaliers à la disposition des malades du Covid qu’au mois de mars”

Incroyable ?

Et pourtant.

La conclusion s’impose : la “pénurie” en réanimation est organisée.

Ou plus précisément : instrumentalisée.

Car elle sert objectivement la covidémence, en faisant clignoter les pseudo indicateurs utilisés par le gouvernement.

Si nous avions 4 fois plus de lits en réanimation, comme l’Allemagne, alors… il n’y aurait tout simplement plus de zone “écarlate” ou autre “niveau d’alerte maximale” dans leur phraséologie délirante.

On y revient toujours : les autorités font tout pour grossir artificiellement la menace couillonavirale.

Et cela fait plus de six mois que cela dure…