Malheur à toi, pays dont le roi est un enfant, et dont les princes mangent dès le matin !
Ecclésiaste 10:16
Emmanuel, l’adolescent perturbé de l’Elysée, secondé par Olivier (autre enfant dérangé) a donc fait son show à la télévision.
Le terrain avait été soigneusement préparé (réunion du pseudo “Conseil de Défense”, grosses caisses dans les médias etc.)
Commençons par le message essentiel, la véritable nouveauté annoncée par Macron :
«Nous en avons jusqu’à l’été 2021 au moins avec ce virus»
Voilà la clé.
Et cela démontre que la covidémence est sérieuse, et surtout qu’il s’agit d’un plan sur le long terme.
Le reste est plutôt téléphoné, et porte la marque de Macron : vous serez entassés dans le métro et le RER le matin pour gagner un salaire qui vous permettra de payer des taxes, et en même temps, vous ne pourrez plus inviter à dîner tonton Michel et tata Françoise, dans votre modeste HLM.
Il ne faut pas bouger, mais en même temps, il faut profiter des vacances de la Toussaint.
La situation est “préoccupante” mais en même temps “nous n’avons pas perdu le contrôle“.
Quant à la “bulle sociale” et la “règle des six“… tout cela a été directement piqué chez les Anglais (voir ici), grands covidéments.
Le “couvre-feu” reprend le lexique “guerrier” déjà utilisée (en premier par Xi Jingping, le dirigeant chinois).
Et on sait déjà… qu’il sera suivi par le “confinement“, c’est-à-dire… la même chose mais en version… diurne.
😉
L’infantilisation du cheptel se poursuit avec les amendes de 135 euros et surtout les fameuses “attestations” (elles reviennent !).
Seul point positif, si j’ose dire : on fout la paix aux bleds à la campagne.
Pour le moment…
Macron aurait pu annoncer un plan Marshall pour les services de réanimation, puisque c’est un indicateur clé utilisé pour déterminer le niveau de la menace couillonavirale… et qui se dégrade fortement selon le gouvernement.
Bien entendu, il n’en fit rien…
Point négatif : nous ne sommes que mi-octobre… L’hiver s’annonce long…
La propagande -mondiale- autour de la “seconde vague“, ainsi que les indices concernant 2021 (à commencer par la déclaration de Macron, mais précédée du 1er avril 2021, date du prolongement du mini état d’urgence sanitaire, et les délais concernant les vaccins) tout cela -hélas- assombrit le futur.