Les Allemands ont une qualité : ils sont carré.
Quand ils font des stats, ils les présentent clairement. Un modèle du genre. Et ils traduisent même tout… en anglais. Trop sympa. 😉
La comparaison avec notre Insee national… n’est pas flatteuse…
Mais passons.
J’ai écrit à plusieurs reprises sur le cas allemand qui accable la France, concernant les covidécès.
Aujourd’hui, posons l’hypothèse que ce sont les nazis qui mentent, et qu’ils auraient -les salopards- considérablement minimisé leur nombre de covimorts. Juste pour ennuyer les Français (ils crèvent de jalousie, c’est bien connu).
Rappel des données de base. Quand la France souffre 505 morts couillonavirés par million d’habitants, l’Allemagne affiche un stupéfiant 117… Soit une différence d’un facteur 4 !
Ce chiffre est absurde.
-soit la France ment et surestime ses chiffres.
-Soit l’Allemagne ment et minimise son bilan.
-Soit la France fait quelque chose de moins bon au niveau sanitaire et qui tue davantage (comprendre messieurs Véran, Salomon… tout ça, bougez pas on arrive).
Nous sommes d’accord ?
Donc vérifions les chiffres de mortalité toutes causes cofondues en Allemagne.
Tout est là : lien : https://www.destatis.de/EN/Press/2020/10/PE20_399_12621.html
(d’autres données très complètes là aussi).
De janvier à août 2020 au total, 635 071 Allemands sont morts.
C’est 4 904 de plus que la moyenne de janvier à août 2016-2019, soit une hausse pathétique… de 1 % !
Et leur bilan officiel des covimorts à fin août était de 9 259.
Première constatation : ça tient la route (le lien entre nombre de covidécès et la surmortalité toutes causes confondues). Ce n’est pas délirant.
Mais si on creuse, on s’aperçoit que ce + 4 904 sur 8 mois… vient en grande partie du mois d’août… “Exceptionnellement chaud“, notent les Allemands.
En clair, l’effet canicule qui est visible également dans les chiffres français (voir plus bas).
Alors que la majorité des covidécès ont eu lieu bien entendu au printemps…
Reformulons : il n’y a donc absolument pas de surmortalité virale en 2020 en Allemagne.
Et certainement pas d’anomalie du type “pandémie horrible et terrifiante c’est la fin du monde”.
On peut donc considérer que le bilan allemand du couillonavirus… reflète non pas une volonté de grossir les choses (contrairement à la France), mais le fait que le virus a simplement tué des gens… qui seraient morts de toute façon durant l’année (car très âgés et bourrés de pathologies).
En clair : la nature du virus, la pyramide des âges, le bilan des covidécès et les chiffres de mortalité toute cause confondues… tout indique que les Allemands sont… dans le vrai, le Réel.
Et croyez moi, ça me fait du mal de l’écrire (je n’aime pas les Allemands, “j’en conviens“, comme François Hollande qui lui “n’aime pas les riches“). 😉
Non seulement ils ont bien fait les choses (au niveau santé publique), ou alors justement… ils n’ont rien fait… mais en plus ils communiquent de manière carrée.
Ce qui bien entendu met en lumière le cas français, lui totalement différent, en tout cas pour la partie communication et actions sanitaires !
Voici les chiffres français (source Insee) coulés dans le tableau allemand.
J’ai ajouté la différence 2019 en valeurs absolues qui me semble plus pertinente.
CONCLUSION 1
Le petit Olivier est attendu à l’accueil. Avec un change propre. Le Salomon chauve aussi, celui qui remonte obstinément le cours de sa propre bêtise (en espérant quoi ? Tirer un coup ? Ou devenir enfin intelligent ?).
CONCLUSION 2
Il y a bel et bien une exception française, une anomalie si vous préférez. Sans être apocalyptique (il faut toujours rappeler ce fait primordial)… le couillonavirus a davantage tué, en proportion, en France qu’en Allemagne.
C’est visible bien entendu dans les bilans officiels du Covid.
Mais c’est également prouvé dans les chiffres de décès toutes causes (qui ne peuvent pas être bidonnés, eux).
CQFD.
La question est donc brûlante : pourquoi ?
CONCLUSION 3
L’exception française est constante. Ce n’est donc pas un accident, le résultat d'”erreurs” qui auraient été commises au début de la terrible pandémie, dans la panique.
Pire encore… elle se poursuit encore activement aujourd’hui. Ce graphique qui couvre août et septembre le prouve (voir l’article lié ici).
CONCLUSION 4
Tant que la preuve n’aura pas été apportée… je vais considérer pour les besoins de la démonstration que les explications suivantes sont totalement absurdes (mais je reste ouvert d’esprit !) 😉 :
-la souche qui sévit en France depuis 9 mois est différente de la souche en Allemagne (ou inversement….). Et comme nos frontières sont totalement hermétiques… ceci explique cela.
-les Allemands et les Français sont comme l’éléphant et la mouche tsé-tsé sur l’arbre de l’évolution darwinienne. En clair, nous sommes très différents, génétiquement parlant, et donc cela explique la surmortalité tricolore…
-les conditions climatiques entre Paris et 400 km à l’est à vol d’oiseau, c’est-à-dire la frontière entre les deux pays, sont totalement différentes.
-Les Français sont beaucoup, beaucoup, beaucoup plus âgés que les Allemands (ah non zut… c’est l’inverse)
-les Allemands dès le début de la terrible pandémie sont restés confinés, 24h/24 et mettaient des masques en permanence (y compris la nuit, lorsqu’ils dormaient ou honoraient leur conjoint ou joint tout court).
-Nos modes de vie respectifs sont totalement différents : eux ils vivent dans des huttes dans les bois, nus, ils ne se lavent pas, ils n’ont même pas de RER, de banlieues islamotransformées, ils se chauffent au bois uniquement (ou pire encore au charbon), n’ont pas de réseaux 3G, hertzien, 4G, pas de Wifi, et mangent exclusivement des racines et des baies. D’où leur extrême résistance au couillonavirus comparée à celle des Français qui sont tous des tapettes.
-Les Allemands sont tous des nazis aryens racistes, et quand ils voient une saleté de couillonavirus chinois (jaune !) alors ils se mettent à chanter le Götterdämmerung, et marchent au pas de l’oie. En conséquence le virus chie vert-de-gris dans son froc et se barre en courant. Alors qu’avec ces tapettes de Français, le virus se sent chez lui.
Ici une dédicace spéciale à Edith.
Ah… Edith Cresson.
“Les Anglais sont tous des pédés et les Japonais sont des fourmis“.
CONCLUSION 5
J’arrive au bout. 😉
Tout est là devant vos yeux. Et je ne sais plus quoi écrire pour vous convaincre que :
-cette terrible pandémie est instrumentalisée et grossie en permanence, contre les faits, contre la science, contre la simple arithmétique.
-Véran, Macron, Salomon et tous leurs complices doivent être traduits en justice, et rapidement puisqu’ils poursuivent leurs actions néfastes encore aujourd’hui, démontrant ainsi un véritable vice.