Je sais. Vous avez déjà oublié…
Le poisson rouge et sa fameuse mémoire ont tendance à muter en mollusque… 😉
Et pourtant, revenons sur ces fameuses perquisitions, menées il y a exactement une semaine chez les collabos de la covidémence (Buzyn, Véran, Salomon etc.)… avec cette interview de Fabrice Di Vizio, l’avocat à l’origine du dépôt des plaintes à la Cour de Justice de la République (au nom d’un collectif de soignants et d’une association de victimes du Covid).
D’un côté, il y a les avocats comme Régis de Castelnau, qui expliquent le timing de ces perquisitions :
La magistrature a d’abord passé les plats à Macron pendant 3 ans… mais avec Darmanin et Dupond-Morretti…le corps des magistrats s’est braqué et maintenant il présente la note.
Et puis Di Vizio qui défend une autre analyse. Il explique également sa démarche concernant les plaintes, suite aux “aveux” de Buzyn.
Et il disserte sur le gouvernement et l’administration. Cette dernière gère des flux… Mais c’est le gouvernement qui doit “décider“.
Di Vizio affirme : “Ce pays n’est pas gouverné. Il est administré“.
Et il lance quelques piques bien saignantes contre… Jérôme Salomon, le DG de la Santé… Mais qui a fait beaucoup… de politique, justement (Salomon avec Véran était le conseiller Santé pour le… candidat Macron, avant l’élection).
La question devient vite philosophique… Mais cela permet de mieux éclairer ce qui se passe, et surtout où la “gestion du risque pénal” pourrait nous conduire : la paralysie de la décision.