Le directeur général de l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP), Martin Hirsch, a estimé vendredi 23 octobre «possible» que la «deuxième vague» du Covid-19 en France «soit pire que la première», soulignant que la situation était «redoutable pour chacun d’entre nous». (source Le Figaro)
Ce type est un fonctionnaire suintant. Suintant de mauvaise foi.
Il sait très bien que cette “possibilité ” qu’il énonce est totalement farfelue. Pour une raison très simple : le virus a déjà flambé dans le stock de ses victimes préférées : les vieux malades…
Et il faut du temps pour reconstituer le stock… En fait, nous avons désormais un simple flux : quelques vieux meurent chaque jour AVEC le Covid (et non pas DU Covid, dans de nombreux cas).
Deuxièmement, le virus n’est plus le même qu’en mars/avril dernier.
Pendant que le professeur Raoult à Marseille s’évertue à faire des génomes de cette saloperie de virus, que fait Martin Hirsch ? A part le clown dans les salons et les cabinets -surtout les cabinets- de la République ?
Troisièmement, et fort heureusement, on prend en charge un peu mieux les malades, et on les soigne un peu mieux aujourd’hui qu’au printemps dernier (“Prenez du paracétamol. Attendez de cracher vos poumons, et on alors on viendra vous chercher, pour vous achever, euh… pour vous soigner“).
Enfin, Hirsch au lieu de se faire mousser dans les médias, comme une cocotte qui raye le trottoir de la Rue Saint-Denis, devrait nous parler de l’Allemagne.
Hein Martin ? Comment tu expliques ce qui se passe ici, et ce qui se passe à 400 km à vol d’oiseau à l’est de Paris ?
Tu as des commentaires intelligents à faire au sujet du graphique ? Sur le facteur 4 entre le nombre de morts en France et outre-Rhin ? Tu veux faire un stage d’étude à Berlin ? Echanger des tuyaux avec mamie Merkel ? Prendre des leçons ? Des notes ? En clair, tenter d’améliorer la merde que vous faites à l’HP-AP ?
Bref, ce que raconte cette girouette politique qui bouffe à tous les rateliers, est non seulement malhonnête mais obscène.
Lui aussi sera traduit en justice, le moment venu.
On ne peut pas obstinément et en permanence terroriser les gens de cette manière, impunément.
Enième miracle. En janvier, la Chine, meurtrie, avait confiné durement des dizaines de millions d’habitants dans des grands centres urbains comme Wuhan pour contenir l’apocalypse virale…
On se souvient des images de fin du monde : rues vides, cadavres sur le trottoir, stades convertis en centres de triage, soldats en combinaison spatiale, véhicules aspergeant les rues avec des produits désinfectants une fois la nuit tombée, portes d’appartement littéralement soudées, routes murées à l’entrée de villages, etc.
Neuf mois après… pfuit. Quelle terrible pandémie ? De quoi parlez-vous ?
Libérée du Covid, l’économie chinoise rebondit. La deuxième économie mondiale a enregistré une croissance de 4,9% au troisième trimestre, selon les statistiques officielles dévoilées lundi à Pékin. (Le Figaro).
Et encore plus fort :
Ce rythme devrait permettre au géant asiatique d’échapper à une récession sur l’année 2020, effaçant la contraction brutale de l’économie du premier trimestre de moins 6,8%,
Alors que dans le même temps… la planète entière s’enfonce dans le marasme, l’Europe se reconfine à l’orée de l’hiver…. On est au fond du trou. Et nous sommes aux prises avec des dirigeants plus covidéments les uns que les autres, criminels pour certains et qui le sont de façon obsessionnelle, fanatique même.
Alors bien entendu, vous pouvez penser -à raison- que la Chine bidonne ses chiffres. C’est en effet un sport national.
Mais, il n’en reste pas moins que la Chine a les moyens (intéreurs) de relancer son économie… C’est la fameuse réorientation de l’export vers l’intérieur (la consommation) dont je parlais dans mon article.
Et comme par hasard, cela figure à l’ordre du jour de la réunion du Comité central du PCC (le 26 octobre), pour la définition du 14ème plan quinquennal : l’auto-suffisance.
La planète s’épuise, l’Occident se fane, se suicide. La Chine -première victime du couillonavirus et qui a donné le “La” au monde- va miraculeusement bien. Enfin, mieux.
Le Covid n’existe plus et ses citoyens sont au boulot.
Car dans le Grand Jeu mondial, la puissance est aussi relative. La Chine a souffert bien entendu… Mais bien moins que ses rivaux.
Et elle a pu avancer de nombreux pions sur l’échiquier grâce au couillonavirus.