Alors qu’on fait mumuse avec le couvre-feu, le confinement, les règles à la con, alors qu’on compte les terroristes musulmans et les coups de couteau, un peu, beaucoup, passionnément, alors qu’on bourre les urnes aux Etats-Unis… un truc fondamental nous échappe toujours…
L’origine du couillonavirus, dit SARS-CoV-2.
Au début des esprits couillus, complotistes ont émis des hypothèses burnées conspirationnistes : création artificielle, “insertions génétiques” type HIV, etc.
La chape de plomb de la propagande a très rapidement recouvert toute forme de débat et a fait taire ces esprits très mal tournés.
Dans le Monde d’Après, un scientifique ne cherche pas, n’essaye pas toutes les hypothèses, ne veut pas savoir.
Non. Un scientifique tendance Lancet Canal Historique qui vit dans le Monde d’Après, ça supporte une idéologie. Ca assène sa vérité, et rien d’autre.
Surtout rien d’autre…
Verboten. C’est le pangolin, à la limite la chauve-souris, voire, “et mon cul c’est du poulet“.
Mais pas plus.
Toutefois, des scientifiques, des vrais (il en existe encore) continuent de se triturer les méninges… devant ce qu’il faut bien appeler un incroyable… mystère. Ils creusent.
Près d’un an après que l’on a identifié le coronavirus SARS-CoV-2, les chercheurs n’ont toujours pas déterminé comment il a pu se transmettre à l’espèce humaine. Le virologue Étienne Decroly fait le point sur les différentes hypothèses, dont celle de l’échappement accidentel d’un laboratoire.
Ce chercheur au CNRS donne une longue interview au journal du CNRS, complète et claire.
Cela a le mérite de replacer le débat dans son contexte et de remettre quelques horloges… à la bonne heure…
“Tant qu’on n’aura pas trouvé l’hôte intermédiaire, l’hypothèse d’un échappement accidentel ne pourra être écartée par la communauté scientifique.”
Non ? Vraiment ? Vous voulez dire que personne n’a encore scientifiquement pu infirmer l’hypothèse de l’erreur -accidentelle ou légèrement euh… délibérée- commise dans un laboratoire… chinois du coté de Wuhan ?
Ah ben mince alors. C’est fou.
😉
Il est temps de retourner au bourrage des urnes dans le Wisconsin.
On est vraiment mal barrés…