Comme prévu… les mois passent… le temps s’étire et la covidémence pose question.
Des esprits brillants s’arrachent les cheveux : pourquoi, comment ?
Tout le monde comprend les prémices :
-en février, le virus est “nouveau”… Toutes les erreurs, les mauvais calculs sont possibles. Tous les biais imaginables sont de la partie. C’est le bordel.
-9 mois après… ça commence à grincer, voire à coincer.
Certains réfléchissent, conscients que quelque chose cloche…
Jean-Dominique Michel, covirésistant de la première heure, publie ainsi sur son blog le texte d’un anthropologue qui étudie la polémique autour de l’hydroxychloroquine : “réflexions épistémologiques pour une sortie du déni “. Un texte de haute tenue. Pour aller vite : il désigne le “scientisme” comme coupable.
Un autre blog que j’apprécie celui de Franck Boizard, publie un article sur… le Mal : “qu’est la crise du COVID si ce n’est une bouffée délirante, perverse, tyrannique, de fous dangereux ?”
Un Eichmann ou un Macron ont gravi les échelons de la carrière de pervers. Ils n’ont vraiment rien de banal dans la perversité. Ce sont des manipulateurs expérimentés, pas des petits sadiques de bas étage qui se contentent d’exécuter les ordres.
La covidémence s’expliquerait donc par des personnalités psychopathes.
Un troisième covirésistant, le docteur Maudrux, écrit un billet brillant sous la forme d’une pirouette… au sujet de l’incompétence.
Et dieu sait qu’elle est bien partagée chez les médecins, les politiques, les fonctionnaires, etc. !
D’autres encore ont une analyse strictement économique : les fameux conflits d’intérêts, l’éternel manque de moyens dans l’hôpital public, la suppression des lits de réanimation, etc.
Je pense qu’ils font tous fausse route. Du moins qu’ils s’arrêtent tous à la deuxième station service, au lieu de poursuivre sur l’autoroute de la vérité.
Le biais ici est évidemment l’échelle.
On observe micro. Et on se perd ensuite dans des détails.
Par exemple : on observe Olivier Véran, on voit ses limitations intellectuelles, son caractère, ses conflits d’intérêts, donc on peut expliquer ses actions.
On voit tel ou tel labo qui bosse sur un vaccin, et qui donc a intérêt à flinguer toute idée de traitement, etc.
On voit Macron… qui est un psychopathe patenté. Donc on a trouvé l’explication à son comportement (“je vous confine, vous déconfine, vous reconfine”).
Mais la vue d’ensemble nous échappe.
Tout cela (scientisme, conflits d’intérêts, conflits de personnes, intérêts financiers, psychopathie, perversité etc.) ce sont des moyens.
Ce ne sont que des outils mis en oeuvre.
La covidémence est parfaitement… rationnelle pour ceux qui l’ont conçue. Aucune folie chez eux.
C’est pourquoi je reconnais que le néologisme que j’ai choisi pour mon blog est limitatif : car il décrit de fait un moyen (un état qui est la résultantes de moyens).
Démonstration :
-nouveau virus
-pandémie mondiale
-morts
-peur
-les électeurs américains voteront alors par correspondance
-ce qui permet de truquer les résultats des élections US sur une large échelle, et de remporter une élection stratégique qui était certainement perdue.
Les résultats extraordinaires de Trump mardi 3 novembre (après 4 années de guerre contre lui d’une violence inouïe ! ) permettent de comprendre, rétrospectivement, ce fait : en janvier dernier, le président US était assuré d’être réélu, et avec une large avance.
Conclusion rationnelle : il fallait tricher. CQFD.
Et tricher sur une large échelle, tant Trump représente une menace ontologique (vous l’aurez compris, aussi bien pour les Démocrates, que Pékin, que les GAFA, que les Globalistes etc.).
Et donc le virus est apparu. Miraculeusement.
Et puis il est devenu une “terrible pandémie“. Miraculeusement.
Les gens ont eu peur. Et puis, il a fallu confiner. Et puis on a dit qu’il n’y avait pas de traitement. On a donc fait la guerre contre l’HCQ. Et puis on a relâché un peu la pression. Et puis “la deuxième vague” est arrivée. Pas assez de lits. La peur de nouveau, etc.
Chaque élement, chaque outil, chaque moyen (Véran est un simple moyen en France, comme le sont Salomon et Macron) s’articule parfaitement dans une stupéfiante scénographie mondiale.
Conduisant au 3 novembre 2020.
Pour boucler sur l’hydroxychloroquine : le scientisme bas de plafond de nombreux responsables n’est répétons-le qu’un moyen.
Il fallait et il faut toujours lutter contre l’HCQ car si on peut traiter facilement les malades du Covid… alors de facto il n’y a plus de “terrible pandémie” !
Et tout le décor s’écroule.
En clair : on se perd en cherchant à expliquer les moyens, à leur trouver du sens… et on oublie la fin, qui est d’une simplicité enfantine et d’une logique imparable !
Au-delà de l’enjeu considérable du 3 novembre, on peut poursuivre la réflexion. Trump était bien entendu une cible majeure. Mais pas la seule.
Le coronacircus sert les intérêts de la Chine qui pousse ses avantages (lire ma série A qui profite le crime ?).
Les mois passent, la covidémence se poursuit… Et elle se poursuivra même si Biden parvient à s’imposer.
L’un des gros objectifs aura été atteint. Mais la Chine en a d’autres.
Chaque mois supplémentaire détruit un peu plus toutes les explications focalisées sur les moyens… et renforce l’explication globale, que l’on qualifiera à défaut de meilleur terme de “conspiration“.
Quand Raoult dit “vous êtes tous fous. Vous êtes devenus tous cinglés“… Il bloque. Il se heurte à un mur. Alors il psychologise l’obstacle.
C’est valable pendant quelques mois… Mais après ? Ca ne fonctionne plus. L’hystérie collective (bien réelle, créée et exploitée en tant que moyen) ne peut pas durer éternellement.
Didier Raoult, J-D Michel, Maudrux etc. (et de nombreux autres) sont très intelligents. Sauront-ils franchir la ligne ? Et quand ?
MISE A JOUR
Il est fascinant de voir que la première annonce concrète de Biden, qui se présente comme “president-elect”, est de créer une “cellule de crise Covid” !
Cette future cellule de crise, composée de scientifiques et d’experts, serait chargée de bâtir un «plan qui entrera en vigueur dès le 20 janvier 2021», jour de son investiture (Le Figaro)