Un article publié dans ZeroHedge devrait ramener un peu de raison dans la course obscène à l’échalote au sujet de l'”efficacité des vaccins“, menée par les grandes sociétés pharmaceutiques, Pfizer, Moderna, AstraZeneca, à grand coups de communiqués de presse enfantins : “Je t’explose avec mon 90 % ! Moi je t’emmerde c’est 94,5 % ! Je te nique moi c’est 99 % !” etc.
Voici une synthèse :
-les résultats des essais cliniques sont synthétisés quand un certains nombre de “cas positifs” est atteint. Un cas positif est déterminé par un test PCR… Mais il n’y aucune donnée quant au paramétrage de ces fameux tests PCR (nombre de CT) !
Nous savons tous que c’est un problème majeur… Un CT trop important, et vous avez des positifs en permanence. Un CT trop faible, et il n’y a pas de virus, nulle part…
-il n’y a aucune information sur le fait (pourtant très important) qu’un “cas positif ” subit ou pas… des symptômes, et si oui lesquels ! On rappellera que des millions de personnes ont été testées “positives” par des tests PCR… mais ne présentaient AUCUN symptôme, et n’étaient ABSOLUMENT PAS CONTAGIEUSES.
-l’étude Pfizer compte 43 538 participants et a été analysée après… 164 “cas positifs“… 0,7 % eurent un PCR positif dans le groupe contrôle et 0,1 % dans le groupe vacciné.
-il n’y aucune preuve qu’un vaccin ait empêché une hospitalisation or un décès.
-Moderna affirme que 11 cas dans son groupe contrôle étaient “sévères“… mais ne donne aucune définition de “sévère“… Nez qui coule ou réanimation ?
-il n’y a aucune information sur la durée de la protection offerte par ces vaccins.
-il n’y a aucune information au sujet de la sécurité de ces vaccins. Aux USA, le CDC semble avoir une politique de 2 poids 2 mesures lorsqu’il s’agit d’attribuer des décès au Covid, et attribuer des effets secondaires aux vaccins contre le Covid.
La conclusion de tout cela devrait être limpide, même pour les débiles mentaux : les gens qui vont se faire vacciner le mois prochain et en 2021… seront des bêta testeurs.
Ni plus ni moins.
Des millions de bêta testeurs qui permettront -eux- d’engranger des données sérieuses, et qui permettront ensuite de mener des analyses sérieuses, de fond, et sur la durée nécessaire.
Mais pour l’instant, il n’y a pas grand chose. Nous en sommes au stade des communiqués de presse hystériques destinés à forcer la main des régulateurs (pas utile tant ils sont tous covidéments), mais surtout à faire monter leur cours de bourse des sociétés concernées.
MISE A JOUR
Une fois de plus, je vais louer ma perspicacité et mon sens critique 😉 … Alors que le mardi 24 novembre, j’écrivais : “Vaccin et numérologie : AstraZeneca annonce “70 % d’efficacité… en moyenne” dans lequel je parlais de “patascience” et de résultats “loufoques” avec des “protocoles différents“… 48 heures plus tard… la société britannique commençait à ouvrir les parachutes.
Le laboratoire AstraZeneca sème le doute sur son vaccin contre le Covid-19 (Le Monde)
Tu l’as dit bouffi. Difficile d’être plus clair.
Nous sommes bel et bien dans une course de petits chevaux pour enfants ou déficients mentaux, une comédie burlesque à base de communiqués de presse neuneu, d’échantillons statistiquement insignifiants, de données parcellaires et dissimulées, et de gens qui fantasment sur des montagnes de pognon.
Bref, nous sommes loin, très loin de la science : celle qui est humble, celle qui dit souvent “je ne sais pas (encore) mais je cherche”, celle qui prend le temps de bien faire les choses, celle qui ne fait pas de politique, celle qui assume sans fard la balance risques/bénéfices, etc.
Et celles et ceux qui s’injecteront en 2021 tous ces vaccins contre le couillonavirus seront, répétons-le encore et toujours : des bêta testeurs.
Et ils seront également des victimes de la mode et de la covidémence car il n’y a aucun intérêt à se faire vacciner contre un virus bénin pour l’écrasante majorité de la population, qui ne s’attaque qu’à des cibles très précises (les vieux malades) et qui est… traitable (voir les protocoles à bases d’HCQ et d’antibios, etc.).
N’oubliez pas cette évidence : la balance risques/bénéfices.
Si cette saloperie de virus décimait la population alors bien entendu il pourrait être rationnel de prendre un vaccin non testé et expérimental.
Mais ce n’est pas le cas avec le couillonavirus (sauf pour quelques groupes à risques)… ergo…
Chacun doit en avoir conscience et faire un choix individuel et souverain.
Deuxième conclusion : il faudra être impitoyable face à toutes les tentatives visant à imposer ces vaccins, contre la volonté de chacun.
PS : je signale l’excellent article du docteur Maudrux sur les vaccins ARN.
Lien : https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/2020/11/26/vaccin-covid-entre-realite-et-fiction/
MISE A JOUR 2
Le bidonnage d’AstraZeneca est même pire… Car dans le groupe de 2 700 personnes qui a conduit le labo à calculer soit disant 90 % d'”efficacité“… ils étaient tous âgés de moins de 55 ans !!!
C’est donc bel et bien une pantalonnade.
2 replies on “Annonces vaccinales : de la com’ sans assez de données”
Les annonces vaccinales, tout comme les attentats, et meme les tabassages n’ont pour but que de detourner l’attention au moment ou on ferme les restaurants, puis les stations de ski. Fermer a tout prix, le plus possible, le plus longtemps possible et contraindre l’activite economique tout en etouffant toute contestation sous un flot de nouvelles mediatiques se superposant les unes aux autres sans laisser le temps au telespectateur hypnotisé de souffler, telle est la strategie de notre gouvernement. Que se cache t il derriere? Un tres probable pic petrolier. Il n’y tout bonnement plus assez d’energie pour fonctionner.
Vivement qu’un homme, une femme d’envergure (ou pas d’ailleurs) puisse, sur les ondes, faisceaux, fibres, appeler à la révolte. Quelqu’un de bon sens, aimé ou a minima respecté, qui osera déclarer que l’heure de la révolte a sonné. Je suis persuadé (naïvement ?) que certains rongent leur frein, hésitent.
Toute révolution a besoin d’une figure de proue.
Oui, ça sonne creux, désolé.