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Saloperie et sida mental

Après le Canada, l’Oregon s’intéresse à votre cul

On se souvient des fameux “glory holes” du gouvernement canadien (lire mon article ici) ou encore de la question existentielle “sexe et masque“, toujours chez les Canadiens…

Le cul et le couillonavirus… quelque chose qui ne devrait pas exister,  à part dans l’esprit de chacun… mais surtout pas dans l’esprit dérangé de fonctionnaires et de politiciens croyant qu’ils peuvent diriger la vie d’autrui.

L’état américain de l’Oregon vient de franchir cette frontière, avec une campagne de presse ahurissante… mêlant feuille-de-rose (! pour les connoisseurs) et couillonavirus.

Vous n’y croyez pas ? Je sais, c’est normal.

On remarquera l’audace artistique : un cul = une pêche. Ainsi que le dictionnaire intégré : rimming = bouche sur l’anus… 😉

Bande de glands.

Et enfin, le summum dans la communication graphique pour débiles mentaux : le bouton pause.

Sous-entendu… ne plus faire.

Il faut bien comprendre une chose : ces cinglés obsédés sexuels malsains… sont payés pour faire ça ! Payés par ceux qu’ils prétendent contrôler.

ZeroHedge a d’autres exemples d’états américains conduisant de telles campagnes d’informations, plus neuneu et grotesques les unes que les autres.

On citera la ville de Milwaukee (état du Wisconsin):

Masturbation will not spread COVID-19, especially if you wash your hands (and any sex toys) with soap and water for at least 20 seconds before and after sex.

Sans oublier la ville de New-York :

Video dates, sexting, subscription-based fan platforms, sexy ‘Zoom parties’ or chat rooms may be options for you

Et SVP, ne vous arrêtez pas au côté gaudriole de ces conneries… Nous sommes bien au coeur de la covidémence : faire, refaire et défaire l’individu, y compris dans ce qu’il a de plus intime.

Le constructivisme le plus abject.

Plus que jamais, l’Epuration après la Libération, sera nécessaire et salutaire…

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Saloperie et sida mental Vaccinocircus

Vaccin, pas obligatoire mais… obligatoirement requis

Un nouveau nom, une perruque, un peu de mascara, et de rouge pour les lèvres… ils n’y verront que du feu. Non ? Heil !

La covidémence avance… sans masque.

Prenons l’exemple des vaccins.

Pourquoi les rendre “obligatoires” ? Le cheptel se révolterait. Atteinte intolérable à la liberté individuelle. Ce n’est pas assez 2.0. Ce n’est pas assez start-up nation.

L’adolescent perturbé de l’Elsée l’a dit mardi soir à la télévision. Pas d’obligation…

Mais alors comment faire pour baiser le cheptel ? Deux leviers.

PAS OBLIGATOIRE MAIS… INDISPENSABLE

Un certificat de vaccination sera exigé… pour de nombreuses démarches de la vie courante.

PRIVATISATION

Ici, le but du jeu est de filer le bâton merdeux à une société privée.

Ainsi ce n’est pas l’Etat qui exigera le vaccin… Mais une société. C’est plus doux. Plus mou. Exemple une compagnie aérienne.

Eh oui, c’est très craintif une compagnie aérienne. Comme un petit animal perdu. Tu veux voyager ? Pas de problème : mais vaccin d’abord.

Pourquoi ? Ah c’est dans le réglement, c’est pour protéger les autres passagers, blablabla.

MISE EN OEUVRE

Illustration concrète de ce sida mental avec un pisse-copie qui signe l’édito des Echos, révélant l’ordre de marche, en bon petit soldat.

Qui est ce mec ?

Pas grand chose. Il n’a pas une position élevée dans la hiérarchie de la saloperie. Il est directeur de l’information de Radio classique, radio assez confidentielle pour les vieux ayant voté Macron, ceux qu’on appelle donc des “vieux cons“.

C’est un prolo du système, un soumis, un dhimmi pour les musulmans, un collabo pour les historiens.

Il est une catégorie kantienne à part entière : l’idiot utile zélé.

Regardez-le comme il frétille de la queue avec son idée à la con. Il jouit littéralement. Il se sent intelligent, grandi.

Il a trouvé le mécanisme pour baiser le populo. Il est heureux, satisfait. Repu.

C’est terrifiant.

Il n’y a pas d’autre mot.

Après la Libération, l’Epuration devra suivre.

Et là, il sera vraiment question de santé publique.

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Vaccinocircus

Annonces vaccinales : de la com’ sans assez de données

“Faites moi confiance… Les vaccins c’est mon dada… On aura des résultats très précis et béton dans… dix ans”

Un article publié dans ZeroHedge devrait ramener un peu de raison dans la course obscène à l’échalote au sujet de l'”efficacité des vaccins“, menée par les grandes sociétés pharmaceutiques, Pfizer, Moderna, AstraZeneca, à grand coups de communiqués de presse enfantins : “Je t’explose avec mon 90 % ! Moi je t’emmerde c’est 94,5 % ! Je te nique moi c’est 99 % !” etc.

Voici une synthèse :

-les résultats des essais cliniques sont synthétisés quand un certains nombre de “cas positifs” est atteint. Un cas positif est déterminé par un test PCR… Mais il n’y aucune donnée quant au paramétrage de ces fameux tests PCR (nombre de CT) !

Nous savons tous que c’est un problème majeur… Un CT trop important, et vous avez des positifs en permanence. Un CT trop faible, et il n’y a pas de virus, nulle part…

-il n’y a aucune information sur le fait (pourtant très important) qu’un “cas positif ” subit ou pas… des symptômes, et si oui lesquels ! On rappellera que des millions de personnes ont été testées “positives” par des tests PCR… mais ne présentaient AUCUN symptôme, et n’étaient ABSOLUMENT PAS CONTAGIEUSES.

-l’étude Pfizer compte 43 538 participants et a été analysée après… 164 “cas positifs“… 0,7 % eurent un PCR positif dans le groupe contrôle et 0,1 % dans le groupe vacciné.

-il n’y aucune preuve qu’un vaccin ait empêché une hospitalisation or un décès.

-Moderna affirme que 11 cas dans son groupe contrôle étaient “sévères“… mais ne donne aucune définition de “sévère“… Nez qui coule ou réanimation ?

-il n’y a aucune information sur la durée de la protection offerte par ces vaccins.

-il n’y a aucune information au sujet de la sécurité de ces vaccins. Aux USA, le CDC semble avoir une politique de 2 poids 2 mesures lorsqu’il s’agit d’attribuer des décès au Covid, et attribuer des effets secondaires aux vaccins contre le Covid.

La conclusion de tout cela devrait être limpide, même pour les débiles mentaux : les gens qui vont se faire vacciner le mois prochain et en 2021… seront des bêta testeurs.

Ni plus ni moins.

Des millions de bêta testeurs qui permettront -eux- d’engranger des données sérieuses, et qui permettront ensuite de mener des analyses sérieuses, de fond, et sur la durée nécessaire.

Mais pour l’instant, il n’y a pas grand chose. Nous en sommes au stade  des communiqués de presse hystériques destinés à forcer la main des régulateurs (pas utile tant ils sont tous covidéments), mais surtout à faire monter leur cours de bourse des sociétés concernées.

MISE A JOUR

Une fois de plus, je vais louer ma perspicacité et mon sens critique 😉 … Alors que le mardi 24 novembre, j’écrivais : “Vaccin et numérologie : AstraZeneca annonce “70 % d’efficacité… en moyenne” dans lequel je parlais de “patascience” et de résultats “loufoques” avec des “protocoles différents“… 48 heures plus tard… la société britannique commençait à ouvrir les parachutes.

Le laboratoire AstraZeneca sème le doute sur son vaccin contre le Covid-19 (Le Monde)

Tu l’as dit bouffi. Difficile d’être plus clair.

Nous sommes bel et bien dans une course de petits chevaux pour enfants ou déficients mentaux, une comédie burlesque à base de communiqués de presse neuneu, d’échantillons statistiquement insignifiants, de données parcellaires et dissimulées, et de gens qui fantasment sur des montagnes de pognon.

Bref, nous sommes loin, très loin de la science : celle qui est humble, celle qui dit souvent “je ne sais pas (encore) mais je cherche”, celle qui prend le temps de bien faire les choses, celle qui ne fait pas de politique, celle qui assume sans fard la balance risques/bénéfices, etc.

Et celles et ceux qui s’injecteront en 2021 tous ces vaccins contre le couillonavirus seront, répétons-le encore et toujours : des bêta testeurs.

Et ils seront également des victimes de la mode et de la covidémence car il n’y a aucun intérêt à se faire vacciner contre un virus bénin pour l’écrasante majorité de la population, qui ne s’attaque qu’à des cibles très précises (les vieux malades) et qui est… traitable (voir les protocoles à bases d’HCQ et d’antibios, etc.).

N’oubliez pas cette évidence : la balance risques/bénéfices.

Si cette saloperie de virus décimait la population alors bien entendu il pourrait être rationnel de prendre un vaccin non testé et expérimental.

Mais ce n’est pas le cas avec le couillonavirus (sauf pour quelques groupes à risques)… ergo…

Chacun doit en avoir conscience et faire un choix individuel et souverain.

Deuxième conclusion : il faudra être impitoyable face à toutes les tentatives visant à imposer ces vaccins, contre la volonté de chacun.

PS : je signale l’excellent article du docteur Maudrux sur les vaccins ARN.

Lien : https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/2020/11/26/vaccin-covid-entre-realite-et-fiction/

MISE A JOUR 2

Le bidonnage d’AstraZeneca est même pire… Car dans le groupe de 2 700 personnes qui a conduit le labo à calculer soit disant 90 % d'”efficacité“… ils étaient tous âgés de moins de 55 ans !!!

C’est donc bel et bien une pantalonnade.

(source DailyMail)