Belgique ? Ce non-pays est la risée de la planète avec 1 425 covimorts par million d’habitants (source).
Record du monde ! 😉
Quand la France est à 801. Et l’Allemagne à 197.
Je sais. Vous n’y croyez pas. Et c’est bien normal.
J’ai déjà beaucoup écrit sur cette bonne tranche de sida mental et de débilité profonde. Les belges s’enorgueillissent de compter en covimorts même… les simples suspicions (ils ajoutent également les chiens écrasés et les chats crevés)… On appelle ça “une méthode comptage très large“.
Et le pire : ces cinglés en sont fiers !
Inutile de tirer sur une ambulance en flamme.
Etre aussi con, à ce stade il n’y a plus de traitement, plus de vaccin, rien.
Kairo publie le témoignage d’un soignant qui travaille en unité de soins intensifs depuis 20 ans à Bruxelles.
Intéressant car mesuré. Précis. Le petit bout de la lorgnette, mais ça fait du bien, ça remet l’esprit au niveau des yeux ; sur Terre.
Quand le gouvernement belge joue la même partition qu’en France (fausse panique, bidonnage éhontés des chiffres, confinement, grosses caisses médiatiques, on va tous mourir)… il est intéressant le voir le calme et le professionnalisme affichés par ce “personnel de santé”.
En gros… il ne se passe rien d’exceptionnel en Belgique, comme en France et comme partout ailleurs. Le “calme” qui règne dans son hosto fait un contraste… étrange avec le “drame” mis en scène par les autorités.
Des gens à risques, toujours les mêmes (âge, obésité, hypertension), sont affectés par le couillonavirus. Et certains en meurent.
On note également un passage intéressant avec l’affaire, ou plutôt le scandale Sophie Wilmès.
Cette covidémente totalement hystérique fut… premier ministre d’octobre 2019 à octobre 2020, puis ensuite vice premier ministre et ministre des Affaires étrangères.
Et madame n’a rien trouvé de mieux que de succomber au couillonavirus, et de se faire hospitaliser… devant les caméras bien entendu.
De la com’. Rien d’autre. Pour faire parler d’elle.
Visualisez une sorte de Ségolène Royal, gourde comme la lune, égocentrique, pleine… de vide, grotesque et boursouflée.
Elle a été reçue directement à l’USI par plusieurs membres de la direction de l’hôpital, dont El Haddad(1), avec champagne et verres pour tout le monde. Elle n’avait pas du tout besoin d’oxygène à son arrivée et est restée environ une semaine à l’USI. Elle a donc occupé un lit d’USI en séjour préventif là ou une simple chambre privée aurait suffi, si son état justifiait une hospitalisation ».
One reply on “Témoignage : soignant en unité de soins intensifs à Bruxelles”
De la comédie ! Tout cela pour faire croire au bon peuple que la pandémie existe !