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Vaccinocircus

Branquignolade française : même la longueur des aiguilles pose soucis…

“Alors les gueux ! Pour votre piquouze dans les fesses, faut prendre du 2 ou du 3 cm ?”

Alors que Castex faisait le clown jeudi soir à la télévision, avec son complice Véran, et que tous les deux se croyaient très fins, très spirituels… La honte éclabousse chaque jour un peu plus les groles de ces guignols.

Après les frigos pas normés et pas installés (le technicien Darty est à la bourre), les centaines de milliers de doses reçues mais pas reçues, les camions qui sortent de l’usine de Mayence en Allemagne, voici le coup des aiguilles ainsi que de la méthode de vaccination.

Le journal Le Parisien étale la honte :

Vaccin Pfizer : un couac initial dans la façon d’injecter ?
Les premières recommandations aux médecins et infirmiers, émises par le ministère de la Santé, s’avéraient contradictoires. […]

De plus, un autre élément interroge : certains soignants photographiés utilisent des aiguilles de type 25 G (le G étant l’unité de mesure anglo-saxonne Gauge liée au diamètre), oranges, qui sont utilisées en France pour des injections sous-cutanées.

Aux Etats-Unis, le pays modèle de l’adolescent de l’Elysée, les recommandations sont plus précises. Elles détaillent la longueur de l’aiguille en fonction du poids du patient. 😉

POST-SCRIPTUM

Le fameux “compteur” des vaccinations, promis pour mardi, n’existe bien entendu toujours pas.

C’est sûr qu’avoir une page web avec un nombre, “c’est pas facile“.

La réalité, c’est que même le ministère de la Santé n’a pas les données.

Il y a simplement une page… créée par un étudiant (lien ici).

Alors qu’officiellement 1 million de doses auraient été réceptionnées… 45 000 vaccinations auraient été faites (25 000 pour la journée d’hier). 😉

Le conditionnel est de rigueur tant le gouvernement ment, pour tout, et en permanence.

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Chiffres

Décès toutes causes confondues : mise à jour Insee sur novembre

L’Insee a mis à jour ses séries de décès toutes causes confondues, avec les données du mois de novembre.

(on rappelle qu’à chaque mise à jour mensuelle, des révisions sont faites sur les mois précédents mais de faible amplitude).

L’écart continue de se creuser avec 2019.

Il y a une hausse de 8,2 % des décès toutes causes confondues, de janvier à novembre, comparé à la même période en 2019.

Cela représente 46 015 décès en plus.

Le précédent “record” était une hausse de 6,1 % en 2015 (par rapport à 2014) (l’épidémie de grippe avait été forte).

Dans le même temps, il y avait officiellement fin novembre 52 819 covidécès.

J’avais prévu que la surmortalité enregistrée au printemps serait “lissée” jusqu’à la fin de l’année, peu à peu. J’avais tord. Le rebond couillonaviral de l’automne s’est imposé.

Il est encore trop tôt pour creuser les données. Ainsi, il serait absurde d’attribuer au seul Covid ces 46 015 décès supplémentaires.

Enfin il faudra bien un jour étudier les effets de bord et long terme, de toutes les politiques anticouillonavirales, à commencer par le confinement.

Quid des pathologies lourdes, cancers, AVC etc. La mobilisation anti-Covid dans les hôpitaux, la peur des gens, l’hystérie anti-Covid partout… concrètement quels ont été les effets sur les patients affectés de pathologies lourdes (diagnostic, traitement, prise en charge en urgence etc.) ?

Autre source de fâcherie : la politique officielle consistant à… ne pas traiter, à ne surtout pas chercher de traitement, et même à lutter contre toute idée de traitement.

Sur le terrain, des médecins se battent, expérimentent, tentent (HCQ, antibiotiques, etc.) mais rappelons-le contre les dikats des autorités.

Ces dernières continuant de tout faire pour imposer une analyse binaire (fausse) de la situation : vaccin / rien d’autre.

Là encore, il faudra séparer le bon grain de l’ivraie… Combien de personnes fragiles, infectées par le Covid, auraient pu être sauvées ? Par des traitements précoces comme HCQ ou l’ivermectine ?

Enfin, jauger les nombres, les mettre en perspective. Fallait-il détruire le pays face à ce virus ?

En admettant que toute la surmortalité en 2020 soit causée par le Covid… est-ce une menace existentielle pour la société, le pays, le monde ?

Aujourd’hui, tout le débat public est focalisé sur un sujet unique : les vaccins.

Tous les autres sujets ont été escamotés.

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Vaccinocircus Vrac

Moderna et son “système d’exploitation”, ses “logiciels” : vous

Vous êtes l’ordinateur, avec le système d’exploitation de Big Pharma. La thérapie génique est le floppy disk (ou clé USB pour les jeunes) 😉

Certains me diront que c’est anecdotique. Et pourtant… cela préfigure le futur. Le monde d’après.

Moderna est le labo américain (créé par un Français en 2011) qui a développé une thérapie génique contre le couillonavirus, le second étant Pfizer.

Vous avez entendu du principe de ces vaccins “à ARN messager“.

En gros : on vous injecte un “message”, un jeu d’instructions, votre corps va alors suivre ses instructions et fabriquer une certaine protéine (liée au coronavirus), cette dernière sera ensuite donc reconnue par votre système immunitaire, déclenchant ainsi la protection souhaitée.

Mais il faut bien comprendre qu’il s’agit d’un système.

Et d’ailleurs le laboratoire n’hésite pas à le présenter de cette manière.

Sur son site web, il parle bien de “operating system“. Un système d’exploitation, comme un ordinateur.

Plus fort encore, le labo explique qu’après on peut télécharger des “logiciels” ou des “apps” !

Recognizing the broad potential of mRNA science, we set out to create an mRNA technology platform that functions very much like an operating system on a computer. It is designed so that it can plug and play interchangeably with different programs. In our case, the “program” or “app” is our mRNA drug – the unique mRNA sequence that codes for a protein.

Pour résumer : le vaccin contre le couillonavirus… n’est que le début.

Moderna affirme, et revendique le fait qu’après… il suffira d’utiliser son “système d’exploitation” et créer de nombreux autres “programmes” pour modifier… le fonctionnement de votre corps.

Pour résumer : la terrible pandémie est… un gigantesque test (l’opportunité est bien entendu évidente).

Ensuite, les labos pourront affiner et créer de nombreuses “apps”.

En clair, si le test ne fait pas trop de dégâts…. 😉 … alors c’est tout un nouvel espace qui se révèlera… celui de notre reprogrammation (pour filer la métaphore informatique)…

Pour le meilleur ? Ou pour le pire ?