“Oui je n’aime pas les gros, j’en conviens“.
Je paraphrase le conducteur de scooter… Il s’agit de poser le décor et surtout de mettre ses références culturelles au niveau de l’époque…
Dans ma collection de phobies, je suis donc grossophobe. Aïe.
L’obésité est une aberration, une anormalité.
Et de plus, lorsque le couillonavirus s’invite à la garden party, ça tourne souvent en bal tragique à Colombey-les-Deux-Souches.
En clair : en ces temps couillonaviraux, c’est une tare. Le mot est lâché.
Il y a donc encore moins de raison d’être fier d’être obèse, mouvement totalement dégénéré qui nous vient des Etats-Unis.
Les fameuses fiertés.
Fier d’être homo, fier d’être hétéro (celui là, c’est pour rire), fier d’être con, fier d’être obèse, fier d’être moche, fier d’avoir les pieds rentrés ou sales voire les deux, fier d’être fier etc.
Rincez, répétez.
Où je veux en venir ?
Obesity link to UK Covid toll: Britain’s status as the ‘sick man of Europe’ led to shocking number of deaths from coronavirus, experts claim (source DailyMail)
Non ? Sans déconner Sherlock !
Et le prof d’enfoncer le clou :
“A third of our nation are in the obese category.”
“This is much higher than other parts of Europe and does contribute to the high excess [Covid] mortality that we’ve seen in the UK.”
Eh oui. Il y a des personnes à risques.
Ces risques sont identifiés, pour une grande part.
Les obèses en font partie.
Et en France ? 17 % de la population, ce qui représente 8 millions de personnes (source). L’obésité très sévère toucherait plus de 500 000 personnes…
Ah quand même…
Donc au lieu de prendre la pose, de faire chier le monde avec leurs problèmes, réels ou fantasmés, ces personnes à risques doivent se reconnaître comme telles, et se protéger.
One reply on “Je n’aime pas les gros”
Je regarde une video de ce bon Michel Drac que je vous remercie de m avoir fait decouvrir et d un seul coup je pense a votre article de ce jour 😉
Ce commentaire inutile n a pas besoin d etre publie, il ne s adresse qu a vous, sale facho !