Incroyable mais vrai. Pfizer recule. Pfizer s’écrase comme une merde. Pfizer abandonne le deuxième marché du monde… L’Inde !
Que s’est-il passé ?
Le labo US a t-il eu peur des cachets d’ivermectine que les Indiens distribuent généreusement -et avec succès- contre le couillonavirus ? 😉
Ou du fait que la terrible épidémie fait un bide dans ce pays (113 morts par million quand la France est à 1 318, source Worldometer) ?
Non. C’est beaucoup plus simple : l’Inde étant un pays souverain, pas encore complètement dégénéré, l’Inde a donc réclamé à la société américaine des données concernant les tests sur la population indienne AVANT d’autoriser l’utilisation de sa thérapie génique.
Cela fait sens puisque ce produit est nouveau et qu’il n’y a aucun recul sérieux quant à son utilisation. A part les essais menés par le fabricant sur un échantillon de population ridicule dans le sens où il ne pouvait pas refléter la composition ethnique… du monde entier.
Après tout, les effets pourraient varier en fonction… de l’éthnicité. En tout cas, il est rationnel de SE POSER LA QUESTION lorsqu’on suit une véritable démarche scientifique…
Mais non.
Pour le laboratoire US c’est un crime de lèse-majesté couillonavirale !
Et surtout…. les données réclamées par les Indiens n’existent tout simplement pas.
Pfizer a voulu s’affranchir des règles nationales en disant simplement : “on a fait nos tests aux USA et en Allemagne, on a été autorisés dans ces pays donc ça devait vous suffire. Prout”.
“Fuck it” comme on dit à Los Angeles.
En fait, traduction en Français : “courage fuyons”.
On ne mesure pas la portée de cette information (elle date du 5 février, elle a été très peu reprise… en France, et c’est pour cela que j’ai 3 semaines de retard !!!).
On rappellera enfin que Pfizer est… absent de Chine également !
Les deux pays les plus peuplés du monde vont donc se passer du produit de Pfizer (pour des raisons sans doute différentes, mais peu importe) !
Plus de 2,6 milliards de personnes y échapperont… Aïe.
Et pendant ce temps : les Occidentaux plongent. Se précipitent pour utiliser ce produit, aux effets moyen et long termes inconnus, contre une maladie bénigne…
On peut déjà parler de suicide par la bêtise…
9 replies on “Pfizer quitte l’Inde… comme un voleur”
J’avais vu passé cette info sur un site complotiss d’extremdroate marxiste à tendance raëlien, ça m’avait bien fait rire, mais même en en parlant autour de moi, les seules réponses que j’ai eu sont : “C’est l’Inde, c’est un pays pauvre et sous développé”…
J’argumente : ils construisent leurs centrales nucléaires, ont un programme spatial ambitieux, construisent leurs propres avions de combat, hélicoptères, leurs ingénieurs et docteurs sont très qualifiés, ils mangent beaucoup de currys… Rien n’y a fait, cela doit perturber un peu trop leurs neurones d’appréhender le fait qu’avec Pfizer et Moderna nous sommes simplement des cobayes de phase 3.
C’EST FOUTU 🙂
Bonne journée.
Je constate ce phénomène même chez des gens “éclairés”. Je veux dire par là : bien éduqués, les neurones bien câblés, de la culture, de droite… bref tous les voyants au vert 😉 et pourtant… ils bloquent totalement sur la covidémence, les produits géniques etc.
Ca n’imprime pas, comme disait l’autre.
C’est fascinant. Et assez désespérant, je suis d’accord avec vous.
Voilà pourquoi je suis les chiffres en Israël, comme le lait sur le feu. Car là on saura. On connaîtra la proportion de victimes… et de résistants (sans oublier les élections du 23 mars, qui seront un test aussi).
Vous avez une partie de la réponse, en parlant de la secte de Claude Vorilhon, alias Raël.
Rappelez-vous le suicide des membres du Temple Solaire. Les neuneus qui suivaient les deux gourous aveuglément, jusqu’à se tuer, avalant toutes leurs mises en scènes grand-guignolesques avec des truquages audio-visuels bons pour les ptites nenfants, étaient des gens éduqués, avocats, professions intellectuelles et, et… MÉDECINS. Massivement.
D’ailleurs le gourou charismatique, Luc Jouret, en était un lui-même.
Idem pour le Mandarom, je me souviens d’une membre de la secte, sociologue directrice de labo au CNRS qui avait fait une apparition à la télé en costume de guignol, arborant un dispositif de protection contre les ondes négatives des autres invités – une pyramide multicolore en carton.
Les études ne protègent en rien contre la crédulité la plus ahurissante.
Au contraire! Des études de psychologie sociale montrent même que c’est l’inverse, les gens simples ancrés dans le concret ont bien plus les pieds sur terre et ont bien moins tendance à croire des fantasmagories de charlatans et d’escrocs.
Oui bien d’accord avec vous!
De mémoire il me semble que pour l’histoire du temple solaire, ça n’était pas un suicide, mais un gros coup monté politique, car il fallait les faire taire. A vérifier…
Vous connaissez peut-être le journaliste anglais Peter Hitchens, résistant de la première heure contre la covidémence? Alors, dans son article dans le Mail on Sunday aujourd’hui, il avoue avec peine c’est vrai mais cela ne change rien, qu’il s’est fait vacciné contre le covid afin de pouvoir retrouver une vie “normale.” A quoi bon râler contre les confinements et les mésures sanitaires disproportionnées pendant un an si à la fin vous rentrez dans le rang? Je suis navrée qu’en Angleterre même un journaliste de l’envergure de Hitchens se montre si peu curieux au sujet du dessous des vaccins (argent en jeu, chiffres qui ne veulent rien dire) alors que des traitements bon marché existent.
D’autant que son argument principal (“ma famille vit à l’étranger j’en ai assez de ne pas pouvoir les voir”) ne tient pas. Il dit qu’il a été “forcé”.
Aucun pays -à ce jour- n’exige un vaccin pour franchir une frontière.
De nombreuses frontières sont fermées, mais le sésame est test négatif + isolation contrainte pendant 2 semaines (exemple Thaïlande).
Peut-être a t-il peur (69 ans)…
Une pression psychologique convenablement exercée vient à bout de la plupart des résistances, surtout quand elle est le fait du nombre.
Même si elle n’est pas à prendre totalement pour argent comptant, rappelez-vous l’expérience de Milgram.
Il y aussi cette expérience, où l’on met un cobaye dans une salle avec d’autres prétendus cobayes, en réalité des complices. On lui montre des diapos avec une ligne à comparer à d’autres lignes de différentes longueurs A,B,C,D, et lui doit dire quelle est celle de même longueur.
Au début tout se passe bien, tout le monde est d’accord. Puis rapidement le cobaye est le seul à désigner par exemple A (la bonne réponse), alors que tous les autres disent (faussement) C, manifestement plus courte ou plus longue.
Très vite, le cobaye doute de lui , de sa perception, et attend la réponse des autres (toujours aussi évidemment fausse) pour s’y conformer.
Moralité : c’est très difficile de faire la forte tête longtemps et de soutenir une opinion dissidente contre tout le reste du groupe.
Voir aussi la notion de “falsification publique des préférences” développée par le chercheur Timur Kuran.
Je cite wikipedia :
“Kuran a utilisé [cette notion] pour expliquer pourquoi les grandes révolutions prennent les peuples par surprise, comment les tensions ethniques peuvent se nourrir d’elles-mêmes, pourquoi le système indien des castes est resté une force sociale puissante pendant des millénaires et pourquoi des risques mineurs provoquent parfois l’hystérie collective”
Toute ressemblance avec des événements en cours serait bien entendu fortuite…
Merci Docteur covidemence pour cet humour rafraichissant et correctement documenté. A l’heure où l’Inde subit une campagne de pub sur sa mauvaise prestation au Covid (qu’on relativise facilement quand on a une calculette ou des neurones), dirait-on que Pfizer est rancunier?