Vous avez vu la danse du scalpe qui se prépare en Grande-Bretagne… D’un côté, le “freedom day” fixé au 21 juin, c’est à dire la réouverture…
De l’autre le terrible variant indien qui progresse très fortement. Ce variant, rebaptisé Delta, ayant permis l’impression d’images génocidaires (pysop en Inde en avril) dans les cerveaux du cheptel.
Un véritable conditionnement.
Les autorités britanniques (Public Health England) viennent de déclarer qu’il est “64 % plus contagieux” que le variant anglais, dit la Pédale du Kent.
Oh la la. Liliane fais les valises ! On se barre en… Chine.
Le Monde s’empresse de reprendre l’info, suintant comme toujours.
Sauf que comme d’habitude, ces chiffres sont totalement bidonnés.
C’est de la patascience comme le demi million de morts de Ferguson-Nosferatu ou les 400 000 covidécès de l’adolescent attardé de l’Elysée, comme les masques, le confinement, le couvre-feu, le paracétamol etc.
Les mathématiciens de bac à sable qui ont pondu l’étude servant de point d’appui aux autorités britanniques… avouent eux-mêmes la supercherie.
We did not have information on household size, which is likely to have an effect on the estimates of transmissibility. For example, some controls (sporadic cases) will have lived alone and have no chance of onward transmission within their residence and therefore becoming a household cluster.
Alors que c’est l’objet même de l’étude ! Son titre : “Increased household transmission of COVID-19 cases associated with SARS-CoV-2 Variant of Concern B.1.617.2: a national case-control study”.
La blague.
However, we were unable to identify and exclude these cases in the analysis. Further studies of household transmission that includes denominators of all individuals in the household and their vaccination status are needed to provide improved estimates of household transmission and allow for the calculation of household secondary attack rates.
Ils sont donc incapables de savoir au fond… comment sont composés ces fameux foyers, leur taille !
Il est bien évident que si le couillonavirus débarque dans une famille pakistanaise de 25 membres, vivant ensemble… il y aura davantage de contaminations que dans un foyer composé… d’un seul bobo anglais vivant seul, avec son chien et son chat. 😉
Et la conclusion de ces clowns est… qu’il faudrait davantage d’études pour élucider ce mystère !
Mais en attendant, l’autre conclusion -la bonne- est définitive : le variant indien est 64 % plus contagieux que le variant anglais.
Et piscestout. Fermez le ban.
Le site Lockdown Sceptics démonte l’étude à coup de crics (plus de détails ici).
Bref, un vrai paquet de merde. Mais qui sera bien entendu utilisé par les médias et le gouvernement britannique pour repousser la réouverture, et entretenir la panique au sein de la population, etc.
One reply on “Variant indien “64 % plus contagieux” ? Etude bidonnée”
C’est quand même bizarre, toutes ces contaminations (s’il faut les en croire), alors qu’on ne voit pas de gens malades…
Et qui a dit que les coronavirus étaient aussi actifs à la belle saison, et même en période de canicule, qu’en automne et en hiver ???
Les maladies respiratoires épargnent la population lorsque viennent les beaux jours, mais là, depuis + d’un an, nous avons un “virus” qui s’accroche, 12 mois sur 12..
Rien que pour ça, les gens devraient douter