
Punjab’s provincial government is turning to coercive measures to increase participation in its Covid-19 vaccination program, after unveiling plans to disable the SIM cards of people who decline to get jabbed.
The extreme decision was made during a meeting of high-ranking civil and military officials chaired by Punjab Health Minister Yasmin Rashid. (source RT)
C’est intéressant… Innovant. Pas de vaccin ? Zou, on désactive la carte SIM du covicriminel qui se retrouve ainsi coupé du monde. 😉
Rappel : le Pakistan, c’est le deuxième pays musulman le plus peuplé au monde (derrière l’Indonésie) avec 216,6 millions d’habitants. Et le Pendjab est sa province la plus peuplée (110 millions).
Coviscore = 96 covimorts par million d’habitants… contre 1 688 en France. 😉 (source Worldometer).
Si le couillonavirus est modeste chez nous… il est donc ridicule au Pakistan.
De telles réactions sidérantes façon Culte de Cargo sont communes dans les pays arriérés. De l’irrationnel neuneu et classique (les masques vont me protéger, le doliprane c’est bien, 1m45 de distanciation sociale) on verse ici dans le mystique médiéval. Un peu comme l’exorciste Delfraissy qui affirme que le couillonavirus est “diabolique” et très “intelligent “.
Le Pakistan c’est ce pays où des fanatiques brûlent régulièrement des drapeaux étrangers. Par pure haine. On a vu cela contre la France il y a quelques semaines.
Au fond : tout insulte les Pakistanais, sous le regard vengeur et courroucé de leur dieu. En permanence. Pas étonnant que le couillonavirus tombe sous le coup de leurs délires.
“We are doing all we can to compel people to get vaccinated… The government cannot allow individuals, who do not want to get vaccinated, to risk lives of those who are already vaccinated,” the health minister told Pakistan’s Express Tribune.
C’est l’expression épurée des bêtises racontées par les Occidentaux. Les non-vaccinés risquent la vie… des vaccinés !
Ergo… le vaccin ne sert à rien. 😉
C’est un formidable 360° mental. Une pirouette. Et cela démontre une psychose profonde.
C’est l’équivalent couillonaviral du fameux et orwélien “la guerre c’est la paix“.
Ensuite, l’histoire, la culture viennent s’ajouter comme un vernis : les Occidentaux osent difficilement imposer ou interdire de front. Mais pour les Pakistanais, cela ne pose aucun problème. Allah l’a dit, comme Jacques, et zou, on passe à autre chose.
Ils sont habitués à être traités comme du bétail.
En clair, il y a juste une différence d’intensité. Et de style.
Le fond -lui- est identique.
Dans un cas, ça s’appelle l’Etat, la République et leurs avatars grotesques et enflés (Vérant, Castex, Macron)… dans l’autre c’est Allah.
La même volonté morbide de faire, défaire et refaire l’homme.
Pour son bien. Ou pour le salut de son âme.
Ou simplement par plaisir, pour le faire chier.
(Rayez les mentions inutiles)
Le mot de la fin : les vieux cons “ni dieu ni maître” me semblent être soudainement férocement… modernes.
Et pertinents.
Et nécessaires. 😉