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Saloperie et sida mental

Les Précieuses ridicules : “pas de politique !”

“Ah ben non ! Moi je ne fais pas de politique. Hi hi hi hi. Prout !”

Je n’ai pas pour habitude de cibler les malheureux qui tentent de résister contre la covidémence.

Mais des commentaires publiés sur l’ex-blog de Maudrux reflètent hélas une opinion assez répandue, et me donnent l’occasion d’exprimer mes franches brûlures d’estomac et plus largement une saine haine.

Car une chose devrait nous unir : la lutte contre la connerie.

Quel que soit son camp, sa couleur, son goût.

Soit le dialogue foireux entre 2 commentateurs :

-Évitons de faire de la politique pure sur ce blog, ce n’est en rien le lieu de mon point de vue.

-Je suis d’accord avec vous, pas de politique pure.

A ce stade, et avant de gueuler, il convient de rappeler 3 faits :

-notre ennemi -lui- ne fait QUE de la politique… “pure

-et ce depuis 19 mois, non-stop

-et enfin, (on le sait depuis les Bolchos) : TOUT EST POLITIQUE merde ! Surtout le couillonavirus.

Alors ?

Comment peut-on encore adopter la bouche en cul de poule en septembre 2021, genre bourgeoise de salon pré-ménopausée : “Ah non pas de ça chez nous, nous on ne fait pas de la politique, beurk, c’est trop sale. Prout !

C’est selon moi l’archétype de la pensée neuneu et de la position victimaire version Syndrome de Stockholm canal historique.

Entre les covidéments purs et durs et les Précieuses ridicules “oh ben non n’allons pas trop loin ouh la la“… bordel, nous ne sommes vraiment pas sortis le cul des ronces.

Les Précieuses ridicules se pincent le nez : “hi hi hi, pas de politique SVP !”

16 replies on “Les Précieuses ridicules : “pas de politique !””

La carence à l’origine de nos maux de ce pays est l’absence d’éducation politique.
Ce manque est aussi entretenu par l’éducation nationale qui mythifie l’histoire et le transforme en un roman simpliste. Les cours d’éducation civique ne sont que de la propagande, à la rigueur une connaissance technicienne.
La philosophie, n’en parlons pas…

Or, il est clair que ces infractions à la constitution, aux droits naturels auraient du faire lever l’ensemble du corp social en un mouvement de protestation encore plus massif. Mais non, il s’agissait de défendre le droit de partir en vacance, le petit confort.

Que des gens soient mes adversaires sur le plan des idées me les rend appréciables et respectables. Or, je ne trouve que des haussements d’épaules en face de moi.

Ne pas comprendre qu’il n’y a aucune raisons valable pour entamer les droits fondamentaux, peste bubonique comprise, me sidère. Malgré ce pognon de dingue, une histoire ultra-violente nous ne comprenons toujours pas.

Nous sommes donc prêt a continuer notre vie d’esclave…

Pareil pour moi.
Je ne comprends pas l’acceptation en masse de mon entourage et, plus largement, du monde entier.
Heureusement, il y a ce blog, parmi une poignée d’autres, qui me sort de mon isolement et m’empêche de sombrer dans la folie.
Je prends ma dose quotidienne d’espoir et de camaraderie.
Merci.

Oui j’ai lu la discussion. En fait je ne serais pas aussi sévère…et drôle. Le sujet est extremement grave et je me remémore le dessin paru dans un journal parisien au moment je crois de l’affaire dreyfus. Diner de famille tout ce qui a de plus classique sur le premier croquis et le merdier total sur le deuxieme avec comme légende: “ils ont parlé de l’affaire Dreyfus”.. 🙂
Il s’agit d’un blog tenu par un docteur relatant des faits scientifiques hyper surveillé par qui “de droit”. la marge de manoeuvre est étroite.Je pense que c’est pour ça qu’il faut éviter les chamailleries “politiques”. Même si personne n’en pense pas moins.

Car bien sûr que c’est politique..

Merci au moins pour le constat. En France il n’y a qu’une seule personne qui a pris précocement le problème sous l’angle résolument politique et peu importe sa personnalité et ses intentions réelles, il en récoltera forcément les dividendes (il suffit de voir l’importance de ses cortèges par rapport aux autres).
N’en déplaise à ce que j’appelle la sainte alliance des mains propres. Depuis les à-quoi-bon-le-NOM-contrôle-tout jusqu’aux Martine Wonner (cet icône de la Macronie repentie et sa voix de maîtresse d’école m’a toujours gonflé) qui crée sans rire un “parti apolitique” comme d’autres faisaient des villes à la campagne.
Et je ne parle pas de tout l’éventail de la gauche putassière, de la punaise borgne Rodriguez à Mélenchon, celle pour qui la politique en dehors de ses plate-bandes ne sera toujours qu’un chien à noyer.
Mais cette fois le chien chétif connaît la musique et il va être dur à rattraper.
Il semblerait aussi Mon Cher, qu’en Australie des foules sans femme (un bon signe) reprennent goût à la politique en chassant le flic dans les rues comme le kangourou.
Black out total dans nos “médias” mais certaines images sur telegram sont saisissantes.

Philippot a un avantage énorme : il est rationnel (ce qui n’est pas forcément une qualité “politique”).

Quand il dit : “si tu veux récupérer tes frontières, la gestion de l’immigration, etc… il faut sortir de l’UE” il est totalement rationnel.

Ce sont tous les autres qui continuent de pérorer, de gueuler comme des cabris sous acide “l’Europe ! l’Europe ! l’Europe” qui sont cinglés et malhonnêtes à la fois.

La clé c’est le Frexit. Et ensuite on redevient maître de notre destin, et à la limite si après les Français veulent un gvt d’extrême gauche, allons-y.

L’UE est l’ennemi principal. Tant qu’on reste sujet de l’UE, d’une mafia bruxelloise déjantée et très privée (entre-soi), la France sera une tapin. Une vieille édentée qui fait le trottoir pour des macs et qui se fait violer à l’occasion.

Dans les cortèges (j’ai fait les manifs de Philippot et GJ/Rodriguez) j’entends des gens qui scandent de la même façon “Liberté! Liberté!”.

Tous sont mes “alliés objectifs” de la révolte contre la folie dystopique en cours, et qu’ils s’appellent Asselineau, Philippot, Rodriguez, Wonner, Dupont-Aignan, x, y, z ou même certains mouvements trotskistes.
Je m’en fous.
Au début de la résistance se trouvaient
– des étrangers (beaucoup de la légion),
– des royalistes,
– des nationalistes de droite
– des gars de l’action française,
– des juifs
– des antisémites
– des gens de gauche (non suiveurs des partis)
– des ‘sans opinion’ qui n’ont pas supporté la capitulation, la défaite, l’occupation..
Quelle parti politique faire avec tout ça ?

Leur point commun: la volonté de combattre et de résister. Ils se sont retrouvés sous une même bannière, celle de la “France libre” incarnée par de Gaulle.
Le combat contre le “Mal” d’alors étant bien plus important que les différences politiques de chacun.

Mais qui a parlé de “parti” ?

La politique ce n’est pas d’abord un “parti”.

Faire de la politique, c’est d’abord avoir une analyse, à proprement parlé, de la situation.

Et ensuite chercher à s’organiser.

La Résistance était par essence hautement “politique”… mais sans aucun parti, ou comme vous le dites justement, avec un trop plein de partis.

Le discours “ne faisons surtout pas de politique” c’est un discours d’adolescents. Mal calibrés. Mal achevés.

Tenter d’analyser le couillonavirus -en rejetant la “politique” car “nous on fait de la science“- c’est neuneu. C’est moitié-moitié. C’est la pensée eunuque.

Et d’ailleurs la démonstration est simple à faire : imaginons que demain, pfuit, le virus disparaît. Fini. Terminé. Zou. On n’en parle plus.

Nous serions toujours dans une sacrée merde : l’implosion de l’Occident !

Et en France, vous auriez toujours le délire UE, la merde Euro, les LGBT, le sida mental, le wokisme, le remplacisme ethnique forcéné, la haine de soi, le révisionnisme historique neuneu etc. La liste est longue.

Le problème on le voit est large. La covidémence n’est qu’un symptôme, et en aucun cas une cause.

Le discours “ne faisons surtout pas de politique” trahit le respect naïf à l’égard des politiciens à la tête de l’état. Ca veut dire au fond “il ne faut pas critiquer l’état, ils travaillent pour le bien commun, ils font de leur mieux”.
Et ça signe, en effet, l’ignorance totale du sujet politique.

Le grand théâtre est politique.
Mais derrière l’écran se cache sa source.
“Politique” est un hermaphrodisme caché :

– La politikê, c’est la « science des affaires de l’État », c’est faire de la politique.
– Le politikos, c’est tout ce qui est relatif “au gouvernement des hommes”, ce sont les sciences dites politiques.

La politique est une pseudo “science” qui vise à gouverner l’appareil d’Etat (Ex République).
La politique est une pseudo “science” qui vise à gouverner les hommes.

Lorsqu’on dit que tout est politique, en réalité il y a deux champs d’application à l’intérieur d’une même forme de gouvernance, par exemple la Démocratie.

A mon sens, il vaudrait mieux se pencher sur le fonctionnement démocratique qui se drape de vertus, alors qu’in fine, il ne diffère de celui de la dictarure que par degré.

Comme dirait l’autre, la différence entre la dictature et la démocratie, c’est la vaseline.

Un citoyen ne se mêlant pas de politique mérite de passer, non pour un citoyen paisible, mais pour un citoyen inutile.

La Guerre du Péloponnèse – Livre de Thucydide de Thucydide

(j’ai le livre)

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