Je n’ai pas pour habitude de cibler les malheureux qui tentent de résister contre la covidémence.
Mais des commentaires publiés sur l’ex-blog de Maudrux reflètent hélas une opinion assez répandue, et me donnent l’occasion d’exprimer mes franches brûlures d’estomac et plus largement une saine haine.
Car une chose devrait nous unir : la lutte contre la connerie.
Quel que soit son camp, sa couleur, son goût.
Soit le dialogue foireux entre 2 commentateurs :
-Évitons de faire de la politique pure sur ce blog, ce n’est en rien le lieu de mon point de vue.
-Je suis d’accord avec vous, pas de politique pure.
A ce stade, et avant de gueuler, il convient de rappeler 3 faits :
-notre ennemi -lui- ne fait QUE de la politique… “pure”
-et ce depuis 19 mois, non-stop
-et enfin, (on le sait depuis les Bolchos) : TOUT EST POLITIQUE merde ! Surtout le couillonavirus.
Alors ?
Comment peut-on encore adopter la bouche en cul de poule en septembre 2021, genre bourgeoise de salon pré-ménopausée : “Ah non pas de ça chez nous, nous on ne fait pas de la politique, beurk, c’est trop sale. Prout ! ”
C’est selon moi l’archétype de la pensée neuneu et de la position victimaire version Syndrome de Stockholm canal historique.
Entre les covidéments purs et durs et les Précieuses ridicules “oh ben non n’allons pas trop loin ouh la la“… bordel, nous ne sommes vraiment pas sortis le cul des ronces.
Soit la capitale du Royaume de Siam, Bangkok ou Krung Thep Mahanakhon Amon Rattanakosin pour les intimes, véritable porte d’entrée internationale en Asie du Sud-Est.
Nous venons d’assister à un spectacle à la fois typiquement covidément et typiquement asiatique : celui de la “réouverture” aux touristes internationaux.
Depuis le 3 avril 2020, les frontières du Royaume sont en effet fermées, comme partout ailleurs dans la région.
Eh oui. Le temps file !
Des dizaines de millions de touristes, du jour au lendemain, évanouis. Disparus. Et avec eux, des larges pans de l’économie nationale consciencieusement piétinés, ravagés, détruits.
La Thaïlande fait chier la terre entière avec les vaccins. Campagne massive pour faire comme l’homme blanc, tout en flattant l’Ogre Chinois (avec des commandes massives des merdes vaccinales pékinoises). Check. Sans oublier la vaccination des enfants entre 12 et 18 ans, chantage à la réouverture des écoles en novembre. Check. Sous la pression de l’OMS et des crapules, les traitements alternatifs du type hydroxychloroquine (utilisés en avril 2020) ont été escamotés des guidelines officiels. Check et recheck.
Et puis, les autorités ont commencé à parler de “rouvrir” le pays. Un simple slogan, mais rien de concret. Il s’agit d’occuper les médias et de donner de faux espoirs au cheptel.
D’abord, la date du 1er octobre fut fixée par le généralissime-premier ministre. Au doigt mouillé. Fallait bien choisir une date.
La date fatidique se rapprochant rapidement, le gouverneur de la capitale a réagi en disant en substance : allez vous faire foutre c’est moi qui décide.
Pépère vit mal le court-circuitage gouvernemental. 😉
Ensuite, ce fut le 15 octobre. Pourquoi ? Pourquoi pas.
Ensuite, le 1er novembre. Chiffre rond ?
Et présentement, nous en sommes à “mi novembre“. 😉
Le mi étant plus mou que le premier on imagine…
Mais trois critères ont enfin été déterminés scientifiquement cela va sans dire (source Bangkok Post).
-70 % de la population de la ville doit être vaccinés (double dose). Pourquoi ? Parce que.
-il doit y avoir “moins” de covicas (ah ah ah)
-….et “moins” d’hospitalisations (ah ah ah)
Sans bien entendu fournir aucun chiffre ni objectif. C’est combien “moins” ?
Bref, ça va durer longtemps et rien ne bougera.
La seule possibilité pour les “touristes” étrangers sera de passer par les 2 programmes actuels (le “Phuket sandbox” ou alors la quarantaine fermée dite ASQ) :
-une quarantaine obligatoire et payante
-une vaccination obligatoire
-de multiples tests PCR (payants)
-une montagnes de papier et de règles à la con (pas d’alcool etc.)
On le voit, le suicide forcené du pays, comme partout ailleurs, se poursuit.
C’est fascinant.
J’étais persuadé que les pays comme la Thaïlande ne pouvaient tout simplement pas se payer le luxe de la covidémence (car c’est une maladie d’Occidentaux riches, vieux et dégénérés) et qu’ils finiraient rapidement pas remballer le service trois pièces et arrêteraient de nous emmerder avec cette pseudo “pandémie” et les délires de la propagande chinoise.
Je reconnais avoir eu tort.
Mon analyse de la propagande chinoise était parfaite (si, si), mais j’ai surestimé le principe vital dans ces pays. La pulsion de mort s’applique à l’Occident.
Mais pas uniquement.
Et le problème est peut-être factorisé en Asie par plusieurs faits culturels et sociaux : d’abord, la vie n’est pas bien chère, et ensuite la vie est… un cycle. En clair, si je détruis ton emploi, détruis ta famille, te dépouille de tous tes biens, et finalement te pousse au suicide… bon hein tu ne vas pas nous chier une pendule, car tu es un low class, et qu’en plus tu reviendras. Peut-être. Réincarné en tondeuse à gazon, ou en courtisane, ça dépendra de ton karma. 😉
Je reformule et synthétise : les autorités et élites locales n’en ont STRICTEMENT RIEN A FOUTRE du sort de millions de leurs compatriotes.
MISE-A-JOUR
Comme prévu, ce cirque démentiel autour des dates, est en train d’achever les opérateurs économiques liés au tourisme.
Au moins, ils ont compris : la haute-saison (qui commence en décembre) est déjà détruite (article Bangkok Post).
Enième surprise surprisifiante et bouleversifiante ! Figurez-vous que Macron et ses complices préparent la prolongation du passe sanitaire ! Nooooooon ? Siiiiiiiiiiiiiiiiii !
La saloperie avait été instituée jusqu’au 15 novembre. Date ô combien absurde puisque tombant au milieu des frimas, avec la certitude que le bordel “hospitalier” lié au couillonavirus reprendrait de plus belle.
L’arnaque était ainsi encapsulée dans l’acte de naissance même du passe sanitaire.
Le passe sanitaire, initialement prévu pour durer jusqu’au 15 novembre, pourrait aller au-delà. C’est en tout cas ce que souhaite faire voter le premier ministre Jean Castex, qui va présenter un projet de loi en ce sens le 13 octobre prochain en Conseil des ministres. Le texte, «en cours d’élaboration» selon Matignon, devra ensuite être approuvé par le Parlement. (source Le Figaro)
Le parlement étant une vulgaire chambre d’enregistrement woke et dégénérée… le vote ne fait aucun doute.
Et la manière de faire passer la pilule est extraordinaire de vice. En effet… en même temps, Macron prévoit de relâcher la pression ici ou là. Dans certains “territoires” pour reprendre l’expression officielle.
Cela ne coûtera rien et cela calmera le cheptel. Il est bien évident qu’en plein hiver, en Corrèze, il ne se passe…. rien. Y’a plus grand monde (les jeunes sont tous barrés et les vieux sont déjà crevés).
Dans ces territoires le passe sanitaire sera donc “allégé ” (ah ah ah ah).
C’est tellement obscène et cousu de fil blanc… que ce n’est même plus drôle.
Bref, le passe sanitaire, imposé aux forceps, va continuer, sans plus aucun rapport avec son objectif (soit disant) initial… la vaccination de tous, y compris les animaux domestiques (voire les plantes vertes, on y travaille).
C’est une évidence, depuis le départ. Et attention : pas seulement en France…
La propagande s’appuie sur un seul message totalement aberrant et relevant de la patapensée : “le passe sanitaire permet de limiter la ciculation du virus” (voir le médecin groupie de Macron qui affirme ceci).
Le cheptel, totalement ahuri, violé par 2 ans de covidémence, n’y verra que du feu.
On ajoutera dans le brouet quelques nouveaux variants, histoire de maintenir la peur, véritable ménagerie virale, et zou… ils en boufferont jusque début avril et l’élection présidentielle.