Etats-Unis masqués : ça s’en va et ça revient

… “C’est fait de tout petits riens “…

Vous connaissez la chanson…

C’est très vrai aux Etats-Unis.

Mi-avril, le gouvernement fédéral US prolonge pour 15 jours le masque obligatoire dans les avions/aéroports et tous les “transports publics” (trains etc.).

Pourquoi ?

Parce que la terrible pandémie (dont plus personne ne parle) bien entendu. Et à ce titre 15 jours supplémentaires c’est tout à fait primordial, afin de ne pas tous mouuuuuuuuuuuuurir.

Et pourquoi 15 jours ?

Euh… pourquoi pas ?

Mais catastrophe, lundi 18 avril, un juge fédéral annule l’ordre.

Immédiatement les compagnies aériennes annoncent le changement de politique (on voit des vidéos avec des passagers qui hurlent de joie), et même Uber se fend d’un communiqué pour annoncer la fin du masque.

L’humiliation de l’équipe du vieillard Biden est intense, brutale.

Le CDC (Center for Deceit and Corruption ou encore Commie Dictatorship Center), le bras armé administratif qui s’est arrogé des pouvoirs qu’il n’a pas… devient hystérique.

Le CDC annonce en effet qu’il demande à l’administration de faire appel de la décision de justice. Le premier paragraphe de son communiqué explique les tenants et les aboutissants :

To protect CDCs public health authority beyond the ongoing assessment announced last week, CDC has asked DOJ to proceed with an appeal in Health Freedom Defense Fund, Inc., et al., v. Biden, et al.

En clair, non ce n’est pas pour sauver la vie de gazillons de pauvres Américains qui vont tous mourir du Covid s’ils ne portent pas de masques (et malgré leurs nombreuses doses de… euh… “vaccins“)… que le CDC s’accroche au masque comme un noyé à sa bouée.

Non.

C’est pour “protéger” son… “autorité ” !!!!!

CQFD.

Les crapules constructivistes ne pouvaient pas mieux se révéler avec cette simple phrase.

Le masque est le principal levier de la covidémence (les 2 autres sont les covicas et les covimorts, bidonnés bien entendu) :

Après un temps de flottement, souvenez-vous quand les gouvernements nous répétaient tous la bouche en cul de poule que les masques ne servaient à rien (car les stocks étaient vides…)… ces mêmes gouvernements ont très vite compris leur importance… vitale !

Pas pour la santé publique, pas pour “sauver des vies“, mais pour étayer leurs délires.

C’est le masque qui permet d’incarner, littéralement, la terrible pandémie et le terrible virus.

Car le virus est invisible.

Obliger les gens à porter un masque, dans tous les lieux publics et en permanence, est un puissant message réverbéré par chacun à destination de tous : “le danger est là, partout “.

De plus, c’est un outil de soumission. “Mets ton masque”. Comme on dit “brosse-toi les dents” à un enfant. Soumission mais… pour votre bien, forcément…

Voilà pourquoi il est devenu un tel totem, dans le monde entier, depuis 2 ans.

Et voilà pourquoi, les covidéments font tout pour… l’institutionnaliser. En clair : rendre son utilisation… normale… Et surtout… automatique.

Dès que des politiciens pourris voudront faire diversion, pouf, il suffira d’annoncer l’apparition d’un nouveau virus, suivi par “nous étudions les risques, mais il faut être prudents“… et hop les masques seront de nouveau imposés.

Par réflexe conditionné, comme des clébards, alors les gens “comprendront ” que oui, il y a bel et bien un danger.

Car ils le verront. Tout simplement.

C’est un outil extraordinairement efficace et qui s’appuie sur des mécanismes psychologiques très profonds… voilà pourquoi il sera institutionnalisé.

Le masque est bien plus dangereux/efficace/sournois qu’un “état d’urgence” ou même qu’un confinement.

La Résistance doit en faire sa priorité numéro 1.

Il faut brûler ces petits bouts de papier obscènes.

POST-SCRIPTUM

L’administration fédérale, complice, a bien entendu reçu 5/5 l’ordre la suggestion du CDC, et a donc interjeté appel.

De son côté, le mafieux Fauci lui aussi lâche tout, avec ingénuité :

Nous craignons que les tribunaux ne s’impliquent dans des choses qui relèvent sans équivoque d’une décision de santé publique. C’est un problème du CDC.

La justice, l’état de droit, les contre-pouvoirs… tout ça ça l’ennuie, ça le gêne pépère.

Lui, le technicien, l’expert.

On le voit, la covidémence carbure aussi à l’hubris.