Et un de plus ! Un autre pseudo “vaccin contre le Covid” vient de mordre la poussière. Ou plutôt le sable du désert du Negev.
Il s’agit de BriLife, projet israélien lancé à l’époque par le premier ministre Netanyahu (source Haaretz).
Le partenaire industriel NRx Pharmaceuticals jette l’éponge, après moins d’un an. Et sans doute quelques millions de shekels en plus.
Cette saleté était basée sur un vecteur viral.
240 neuneus servirent de cobayes pour des essais cliniques en novembre 2021…
L’avis de décès n’a pas fait de bruit… Une simple flatulence honteuse. Le 30 mars…
Bref, le cimetière des éléphants pousse les murs. Y’a plus de place (la liste des projets avortés est longue) !
Et plus que jamais, seul survit -encore- Pfizer (le Poulidor Moderna ne servant que d’excuse, de faire-valoir).
Pour combien de temps ?
Est-ce le signe que tout le système covidémentiel est en train de prendre l’eau, dans un Titanic 2 aussi féroce que réjouissant ?
Ou est-ce le déroulé du plan covidémentiel, c’est-à-dire faire semblant de développer des pseudos vaccins (imbittables contre un coronavirus, ça n’a jamais marché)… pour mieux imposer le produit ARNm foireux et dangereux de Pfizer ?
Nous sommes à la croisée des chemins comme on écrivait rue Réaumur à la belle époque.
L’annonce par la Pologne que Pfizer et ses millions de doses commandées par l’UE, c’est terminé, et que la facture ne sera pas payée… est un signe alarmant pour le géant américain.
Il va falloir réagir et vite, car d’autres pays risquent de suivre… en ces temps de disette monétaire.
Eh oui, comme je l’écrivais pour le Sri Lanka (1 mort d’ailleurs depuis dans les manifs)… entre bouffer, se chauffer et… faire joujou avec les godemichés de la covidémence (masques, vaccins, combinaisons PE, etc.)… le choix est plutôt simple…
Comme l’effondrement économique est inéluctable, on voit clairement de quel côté la balance penchera…
Un conseil Bourla : soit tu arrêtes tout, tout de suite, dans un murmure assourdissant… tu en auras bien profité mon salaud… soit poussé par ton hubris tu veux remettre au pot et alors tu risques de te retrouver, toi et tes complices, accrochés par les couilles aux lampadaires de vos consciences…
La covidémence est une psyops à destination des dégénérés occidentaux qui ont une spécificité : ils sont très riches (par rapport à la grande majorité de la population humaine).
La covidémence n’est tout simplement pas compatible avec une crise économique forcenée.
Je répète pour les durs de la feuille : entre bouffer, se chauffer et les histoires de couillonavirus, les masques, les injections répétées de produits aussi vaseux que chers… on connaît d’avance le vainqueur…
Au fond, la covidémence c’est -pour le populo occidental- l’expression de la psychose bien connue : avoir le beurre, l’argent du beurre, et les culs de la crémière et d’Olivier Véran (ah non pardon, désolé, pas ça).
La fête ne commence pas, non.
Elle s’achève.