Après l’écrasement confinatoire de Shanghaï et le viol psychique de plus de 20 millions d’habitants, la Chine sombre dans le burlesque.
Une ville de 2,9 millions d’âmes située près de la frontière avec la Corée du Nord ne comprend pas.
Malgré un confinement depuis fin avril… des “covicas” (défense de rire) continuent d’apparaître dans la localité !
“Roger, on a un problème, on a toujours des tests PCR positifs !”
Sapristi !
Mystère et boule de riz !
Que se passe-t-il donc dans ce modeste village (à l’échelle de la Chine) ?
Les fonctionnaires locaux bas de plafond ont trouvé le COUPABLE (car il en faut un pour les échelons supérieurs du PCC, sinon ils seraient envoyés au goulag vite fait bien fait).
Le vent.
Oui le vent.
Vous avez bien lu.
Description scientifique du phénomène :
Le vent souffle de l’autre côté de la frontière, c’est-à-dire en Corée du nord qui patauge dans le couillonavirus (comme chacun sait).
Le vent traverse le fleuve Yalu qui sépare les deux pays, il franchit donc la frontière avec ses petits bras et cet enfoiré ne présente même pas ses papiers à la douane !
Clando en plus.
Il poursuit sa trajectoire délétère et arrive dans la ville chinoise de Dandong, et là, sans sommation, il attaque sauvagement des pauvres innocents dans la rue… et leur refile la chtouille le couillonavirus !
Tout est clair ? 😉
Voilà pourquoi on conseille aux habitants… de fermer leurs fenêtres.
Pour vous fendre la poire, la version anglaise publiée par le Bangkok Post est bien aussi.
Et si vous avez deux minutes, vous pouvez réviser vos classiques à commencer par Paul Verlaine.
Et je m’en vais
Au vent mauvais
Qui m’emporte
Deçà, delà,
Pareil à la
Feuille morte.
(Chanson d’automne).
Et voilà.
Le vent mauvais.
Il suffisait d’y penser.
Allez ! On finit en chanson !
POST-SCRIPTUM
En parlant de Chine et de vent (?), la ville de Pékin annonce… 8 cas pour mardi. Tandis que Shanghaï fait tapis pour voir avec… 15 cas pour la même journée.
23 covicas sur un total de 47 millions d’habitants… c’est très chaud ! Ils sont à deux doigts du génocide viral.
Ils vont de nouveau tous mourir.
Bref, la croisière chinoise n’en finit pas de s’amuser.
Et nous avec.
J’ai une suggestion à faire aux fonctionnaires chinois. Ils devraient commencer à utiliser des… nombres décimaux.
Ils pourraient ainsi annoncer 4,3 cas à Pékin par exemple. Puis 0,7 ou 0,4… Puis le fameux ZERO serait atteint.
Et là, autre idée de génie (c’est banal chez moi) : les nombres négatifs ! Ca aurait de la gueule.
“Aujourd’hui à Shanghaï nous avons dénombré -12 nouveaux cas ! Grâce à l’action décisive du Parti, le virus est vaincu, et continuera à l’être encore plus -vaincu- dans le futur grâce aux nombres négatifs de nouveaux cas quotidiens.”