Bref, contrairement à ce que pourraient penser le grand public équipé d’une mémoire modèle Némo poisson-rouge… on a su TRES VITE que les produits ARNm étaient dangereux et provoquaient des blessures cardiaques en particulier chez les gens qui n’avaient absolument pas besoin de vaccin contre le couillonavirus : les jeunes…
Enfin on peut noter, avec malice, que les pays occidentaux n’ont pas effectué de telles études… Ils se dissimulent comme des lâches derrière leurs VAERS, c’est-à-dire les systèmes de “pharmacovigilance” pour noyer le poisson.
Il convient de rappeler le contexte. En Thaïlande, la vaccination des enfants est autorisée pour les plus de 5 ans, mais n’est pas obligatoire.
Et elle s’effectue UNIQUEMENT avec le produit de Pfizer (pour les adultes, ils utilisèrent des mélanges, AstraZeneca, dans plusieurs versions -importé, puis fabriqué localement-, le vaccin chinois Sinovac, puis Pfizer pour les rappels, et un tout petit peu de Moderna).
A noter que campagne pédiatrique (5 à 12 ans) n’est pas un succès, (comme dans la plupart des pays). Il y a une réticence pour les enfants très jeunes.
Enfin, signe très important, le Danemark renonce aux injections pour les enfants de moins de 18 ans !
L’information date de fin juin et a été soigneusement étouffée par les médias français (et les autres).
Le Danemark est membre de l’Union Européenne et de l’Otan… pas un obscure royaume perdu en Afrique. On comprend le silence ennuyé de la France, de l’Allemagne, et surtout de la Commission européenne…
Allez, un p’tit Véran pour la route. Afin de ne pas oublier.
Israël est en avance, sur tout, depuis son contrat faustien passé avec Pfizer fin 2020… lui permettant de lancer la campagne massive d’injections ARNm dès le 19 décembre 2020.
Puis, ils furent les premiers à créer l’étoile jaune 2.0, pardon le “badge vert ” (véridique), ce que les Européens sans imagination nommèrent “passe sanitaire“…
Puis la 3ème dose, les injections pédiatriques, la 4ème dose etc.
Et visiblement, ça ne se passe pas très bien (lire ici).
Et ils sont tellement en avance qu’ils ont créé une nouvelle race d’injectés : les “vaccinés sans validité “. 😉
Eh oui, les mois passent et le compteur de doses aussi ! En clair, un Israélien avec ses 3 doses réglementaires… n’est plus considéré comme “vacciné”… car il est en retard ! Il n’a pas reçu sa 4ème dose !
L’arnaque était facile à prévoir, dès le départ, avec la logique -totalement perverse- des “boosters” à administrer tous les X mois !
Israël fut le premier (dès juillet 2021 !), encore une fois, à noter que l'”efficacité ” de chaque injection… baissait au niveau des chaussettes, et de plus en plus rapidement (sous l’effet également de la samba mutante du virus qui pond du variant).
On constate que le système covidémentiel dépense une grande énergie à façonner le langage.
Ainsi, si vous dites à Moshé ayant reçu 3 piqûres: “désolé tu n’es pas vacciné “, il pourrait mal le prendre.
Mais si vous lui dites : “tu es vacciné… sans validité “… ça calmera Moshé, même si administrativement vous le coincez.
Par ailleurs, autre bénéfice… les autorités peuvent, en toute légalité, maquiller les morts du Covid… et les attribuant aux… “non vaccinés ” ! C’est toujours bon à prendre pour motiver par la peur le cheptel et faire monter la mayonnaise de l'”efficacité des vaccins”.
Voici le tableau de bord officiel de la vaccination en Israël au 5 août 2022.
Pour le système israélien, à ce jour et malgré des gazillons de doses injectées, seuls 7,72 % de la population sont “vaccinés” !
La nouvelle race pèse 62,92 %.
Quant aux sous-hommes non-vaccinés, les dangereux terroristes sanitaires d’extrême-drouâte russophiles, ils sont 29,36 %.
Que s’est-il passé ?
La 4ème dose à fait un bide. Le graphique suivant (injections quotidiennes) le démontre. Le 4ème rappel en mauve a bien commencé début 2022, et puis a rapidement fait pschiit.
Alors, ce système est-il tenable ? Que peut-il se passer ?
Si le passe sanitaire est réactivé, alors de nombreux Israéliens se retrouveraient A LA CASE DEPART, c’est-à-dire contraints d’accepter une nouvelle dose… pour continuer à aller au restaurant, se déplacer, vivre normalement.
Ne vous faites aucune illusion… tous les pays seront confrontés à cette problématique, tôt ou tard. Et cela aura des impacts (y compris sur les contrôles aux frontières, les déplacements).
Je prends un exemple très concret : la Thaïlande. Aujourd’hui, un touriste étranger doit être en mesure de présenter sa “preuve de vaccination” (QR code pour les Européens), donc 2 doses selon le standard mondial ou à défaut un test PCR négatif.
Mais… cela ne pourra pas durer éternellement. Soit le pays abandonnera tout le dispositif, soit il sera OBLIGE -comme Israël- d’ajuster la définition, en intégrant les doses de rappels (à ce jour, la Thaïlande fait la promotion de la 3ème dose).
Au-dessus, l’OMS devra également se positionner… et à sa suite toutes les officines nationales complices (CDC, Santé Publique France etc.)
C’est un fait : le consentement pour les 3èmes et 4èmes doses chute.
Le système covidémentiel, s’il veut se maintenir, devra donc faire impérativement deux choses, et au trot :
réactiver la peur (via un énième nouveau variant)
réactiver les outils administratifs (passe sanitaire, passe vaccinal avec les restrictions correspondantes, car les premiers ne peuvent pas subsister sans les seconds)
A défaut, tout le système s’effondrerait… et on serait alors dans la situation du vaccin… annuel contre la grippe (que l’on propose sans grand succès).
Le calendrier est imparable : tout va se jouer durant l’automne/hiver … donc dans une poignée de mois (pour l’hémisphère nord).
Préparez les popcorns et le pinard.
POST-SCRIPTUM
Tout le monde attend le prochain “variant hivernal”. Ici, il faut comprendre un point technique fondamental… Ce variant n’aura même pas besoin d’être davantage pathogène pour atteindre l’effet désiré.
En effet, en combinant :
affaiblissement volontaire des systèmes hospitaliers (fermetures de lits, etc.) provoquant du “mal soin”, voire carrément un manque de soins
hausse naturelle de la mortalité et des besoins de soins (les générations nombreuses du baby boom, dans de nombreux pays occidentaux, qui commencent à partir physiquement en sucette)
saisonnalité (La Palice fait du ski, mais en hiver, les gens sont davantage malades)
hausse artificielle de la mortalité (liée aux produits ARNm qui affaiblissent les systèmes immunitaires et/ou blessent) (un facteur encore diffus, mais dont on voit déjà quelques signaux dans certains pays)
d’éventuels phénomènes type ADE (les réinfections Covid étant à chaque fois plus violentes chez les vaccinés)
… tout cela devrait MECANIQUEMENT provoquer le chaos ou en tout cas une forte dégradation… qui permettra de justifier la relance de la boucle désormais bien connue :
Eh oui, ça fait exactement trois mois que les premiers cas de Covipox furent officiellement signalés à l’OMS (par l’Angleterre, le 7 mai).
Le temps file, n’est-ce pas ?
C’est l’occasion de faire un bilan et d’appliquer une bonne paire de baffe aux zélotes, aux hystériques et aux crétins (ça fait du monde… !)
Car enfin, nous avons bien compris leurs messages qu’il répètent sans cesse, comme des perroquets :
les couvertures
les serviettes
les poignées de porte
le virus est dans l’air, via les gouttelettes
infection asymptomatique
le virus est actif 15 jours sur les surfaces
tout le monde peut être infecté
c’est hyper grave, on va tous mourir, il faut vacciner
… Mais après 3 mois et 25 000 cas recensés dans 70 pays… quelque chose cloche.
Le Réel nous dit… autre chose.
Où sont les employés infectés dans les hôtels ? Dans les blanchisseries ?
Où sont les femmes contaminées qui fréquent les salles de gym (air confiné, sueur, gouttelettes, nombreuses surfaces contaminées) ?
Où sont les gens infectés lors de longues réunions de travail dans des espaces fermés, mal ventilés ?
Où sont les gens covipoxés durant des voyages en avion, en train ?
Dans leurs fantasmes. Dans leurs délires.
Ou alors les homosexuels n’auraient depuis début mai absolument aucun contact en dehors de leur communauté ? Ils vivraient dans l’éther ? Comment des êtres virtuels ? Désincarnés ?
Le Covipox est principalement une MST anale, c’est important de le souligner. Il s’attaque en priorité aux immuno déprimés et/ou à ceux qui pratiquent une sexualité débridée.
Et c’est pourquoi les homosexuels forment la principale clientèle de ce virus. Nombreux ont un corps perturbé voire abîmé (séropositivité, multiple MST, traitement médicamenteux préventif contre le HIV etc.) et ils pratiquent -par définition- la sodomie.
Nous y voilà.
L’époque est politiquement débilitante, woke, et se détourne du vocabulaire réel (exemple “homosexuel ” devenant “homme ayant des relations sexuelles avec des hommes” ou “sodomie” devenant “contact rapproché peau à peau“).
La sodomie est la voie de choix pour certains pathogènes.
CQFD, si j’ose dire.
Le risque HIV est ainsi considérablement plus important via les muqueuses du rectum que le vagin (on le sait depuis perpète, mais il ne faut pas le dire car c’est stigmatisant et stigmatiser c’est mal).
Et à cette pratique, s’ajoutent d’autres risques : chemsex, partouzes.
Alors certes, la presse prend un malin plaisir à monter en épingle quelques cas… pédiatriques (6 enfants aux USA, 5 en Europe nous dit-on). Mais le seul cas véritablement documenté (aux Pays-Bas) était immuno-déprimé et a fait une forme très bénigne…
On voit aussi quelques femmes covipoxées sur TikTok…
Mais en réalité où sont vraiment les femmes ? Car enfin, la moitié de la population mondiale adulte, ça compte quand même ! 😉
Et pourtant il y a des femmes qui dansent, boivent des coups et même font la bise à des hommes gay qui sont covipoxés. Certaines vivent en colocation avec des homosexuels masculins. Ils partagent des repas, font la vaisselle, la lessive, utilisent les mêmes sanitaires, etc.
Où sont-elles ?
Et les femmes qui vivent et ont des relations sexuelles avec des hommes bisexuels ?
Toutes ces femmes qui seraient donc automatiquement infectées par leurs partenaires, car le virus est si contagieux… passeraient ensuite logiquement le virus à leurs propres enfants n’est-ce pas ? Et à leurs copines avec qui elles vont danser le samedi soir ? Et à leurs collègues de travail ?
Non ?
Où sont tous ces gens ? 😉
Et quid du personnel médical ? Ils sont des milliers dans le monde à avoir été en contact avec des covipoxés.
Pas de bol, on ne trouve que 2 cas recensés (un médecin israélien infecté au contact d’un malade et un Français infecté par piqûre d’aiguille après un prélèvement)…
Bref, la dissonnance cognitive augmente chaque jour…
A un moment, le peu de neurones que les hystériques possèdent encore vont tous griller.
Ils devraient commencer à prendre leurs précautions sur les réseaux sociaux, Twitter et compagnie au lieu de répéter en boucle toutes les conneries qu’ils lisent à droite ou à gauche, par wokisme, par imbécilité ou tout simplement par fainéantise intellectuelle.
Et d’abord, travail essentiel à mener : comprendre que le Covipox est DIFFERENT de la “variole du singe” qui vivotte depuis 50 ans en Afrique de l’Ouest… (lire mon article précédent).
POST-SCRIPTUM
Le truc est gros comme… un bouton sur la figure : les 2/3 des homosexuels covipoxés séronégatifs (qui constituent 70 % de l’ensemble des covipoxés)… sont sous traitement PrEP.
Chiffres anglais (74 %) et chiffres français (65 %).
Kezako ? Il s’agit d’un traitement antiviral en prévention… du VIH !
Pardon ?
Je reformule : il y a en Occident des centaines de milliers d’homosexuels qui n’ont pas le VIH mais qui ont ou risquent d’avoir des relations sexuelles… avec des séropositifs (car partouzes, pas de préservatifs, chemsex). Et donc suivent ces traitements !
C’est fou, pensez-vous ? Indubitablement, c’est une forme de démence.
Aucune stigmatisation ici, un simple constat. Clinique.
Après, on peut gloser : désir de mort, tendance suicidaire. Eros et Thanatos. On connaît la musique, les dieux grecs et le freudisme. Le bagage est lourd.
Peu importe, ce n’est pas le sujet.
Le sujet est que la communauté scientifique et médicale… collecte ces données qui devraient les interpeller… et personne ne se dit que, éventuellement, il y aurait un lien de cause à effet.
En d’autres termes, ces antiviraux pourraient interagir avec le virus du Covipox ? Faciliter, paradoxalement, l’infection ?
Ou encore que leur fonctionnement serait perturbé, voire détourné par… allez, prenons un truc au hasard… les produits ARNm présentés comme “vaccins” contre le Covid ?
Vous savez la terrible pandémie qui dure depuis plus de 2 ans… 😉
Non.
Ils tapotent sur l’ordinateur, saisissent les données. Et ensuite… rien.
Et concernant le Covid, c’est pire encore, puisque ils ne posent aucune question aux patients atteints par la “variole du singe”…
Au-dessus, les autorités sanitaires publiques ne réagissent pas non plus.
Circulez, y’a rien à voir.
Et enfin, les politiciens, les médias et les lobbies LGBT++ parachèvent le processus en rajoutant l’hystérie : “y’a pas assez de vaccin ! Il ne faut pas stigmatiser ! On va tous mourir ! Vite déclarons l’état d’urgence sanitaire mondiaaaaaaaale ! “.
En deux ans, le monde a démontré sa clownerie avec le Covid.
Avec la “variole du singe”… la farce est désormais complète.