“La grossesse c’est comme un rhume. Ou des hémorroïdes. Ca passe. Alors arrêtez de nous emmerder avec vos histoires de tests cliniques”.
18 février 2021
Pfizer annonce le début d’un test clinique phase 2/3 auprès de femmes enceintes, pour évaluer “the safety, tolerability, and immunogenicity of the Pfizer-BioNTech COVID-19 vaccine“.
Pour cela, 4000 volontaires qui sont entre les semaines 24 et 34 de leur grossesse vont être recrutées. Toutes devront être âgées d’au minimum 18 ans et être en bonne santé. Ces tests seront effectués aux États-Unis, au Canada, en Argentine, au Brésil, au Chili, au Mozambique, en Afrique du Sud, au Royaume-Uni et en Espagne. La moitié des patientes recevra le vaccin, l’autre un placebo. (source Le Matin)
Commentaire
Ah bon ? Mais… pourtant on a injecté des femmes enceintes pendant toute l’année 2021 car c’était “sûr et efficace“.
Il aurait été logique de procéder aux tests… AVANT, non ?
22 septembre 2021
Pfizer déclare qu’il rencontre des difficultés à trouver suffisamment de volontaires… Donc, les résultats sont retardés.
Le recrutement pour ce test clinique est “achevé“.
On cherche alors la définition (on ne sait jamais, les fonctionnaires peuvent être tellement bas de plafond) :
“The study has ended normally, and participants are no longer being examined or treated (that is, the last participant’s last visit has occurred).”
Etrange… L’étude se serait donc terminée normalement… mais en fait pas vraiment. ! 😉
Quel dommage.
On apprendra plus tard que 349 femmes enceintes auraient participé à l’étude…
Le conditionnel est toujours de mise avec Pfizer… Question d’habitude…
On résume : en septembre 2021 Pfizer ne peut toujours pas évaluer son produit sur les femmes enceintes et les bébés en gestation, et les femmes allaitantes.
Malgré cela les injections se poursuivent dans le monde, car c’est “sûr et efficace“.
Février 2023
Long silence radio… On s’inquiète. Où sont les données du test ? Que se passe t-il ? Une journaliste d’investigation fait le siège du géant pharmaceutique américain.
In the fourth quarter of 2021, enrollment was stopped in C4591015 Study […] This study was developed prior to availability or recommendation for COVID-19 vaccination in pregnant women. The environment changed during 2021 and by September 2021, COVID-19 vaccines were recommended by applicable recommending bodies (e.g., ACIP in the U.S.) for pregnant women in all participating/planned countries, and as a result the enrollment rate declined significantly. With the declining enrollment, the study had insufficient sample size […] and continuation of this placebo controlled study could no longer be justified due to global recommendations.
Superbe raisonnement circulaire !
En gros : je dois tester pour obtenir l’autorisation… mais l’autorisation arrive en cours de route (malgré l’absence de test)… donc je n’ai plus besoin de tester. 😉
Prout.
On imagine facilement une explication alternative : les données préliminaires furent tellement mauvaises, que Pfizer a dû discrètement… arrêter et enterrer vite fait bien fait ce test clinique en espérant que les gens oublieraient.
C’est drôle -ou tragique si vous préférez- mais dans ce sens, ça sonne beaucoup mieux ! 😉
Rappelons que dans les tests cliniques phase 3 originaux, menés en 2020 qui déclenchèrent le tsunami des injections… les femmes enceintes ou allaitantes… étaient EXCLUES (des recrutements).
Résumons le résumé : en 2023, deux ans après… nous n’avons donc TOUJOURS AUCUNE DONNEE PROVENANT D’UN QUELCONQUE TEST CLINIQUE relatif au produit ARNm de Pfizer (Moderna itou) chez les femmes enceintes et les foetus et/ou nouveaux-nés ainsi que chez les femmes donnant le sein…
La poisse.
Et malgré ce vide total, béant… les neuneus restent bloqués sur le couplet désormais fameux, un mantra, mieux un véritable cri de ralliement pour tous les débiles mentaux :
Jean-Bernard. Bac +27. Docteur émérite en physique nucléaire, en biochimie culinaire et en sodomie drosophile. Il est ca-té-go-ri-que : “les vaccins ARNm sont sûrs et efficaces. On le sait. Et picestout !”.
Son auteur d’abord : docteur Andrew G.Huff. Il travailla au sein de EcoHealth Alliance (2014/2016, et comme vice-président, à partir de juin 2015)…
Et côtoya ainsi la crapule Peter Daszak, le patron d’EcoHealth et l’homme du projet Defuse (que l’on retrouve en amont, dans le bidouillage des coronavirus, et en aval, puisqu’il osa participer à une -pseudo- enquête de l’OMS à Wuhan !).
Il rencontra également Ralph Baric (Université Caroline du Nord, autre crapule, autre grand manipulateur de virus) et même Shi Zheng Li, la fameuse “batwoman” de l’institut de virologie de Wuhan.
Il est donc un parfait insider.
Son opinion ? Très tranchée.
Le Sars-Cov2 est une création artificielle (ça on avait compris !), fruit des recherches GOF (gains of function)… co-financées par les Etats-Unis (NIH, USAID), et entamées des années auparavant (dès 2012 selon lui), puis en collaboration avec le labo… de Wuhan. Le fameux.
“Baric’s training of WIV employees [le labo de Wuhan] and Zheng Li and his providing the WIV with the necessary advanced biotechnology to execute GOF [gain of function] work independently did contribue ot the creation of Sars Cov2″.
Premier hiatus… Les Chinois sont en réalité très vite devenus… autonomes.
Un peu comme ces crétins de Français qui étaient persuadés que le labo P4 de Wuhan ne pouvait exister que grâce à eux, et à travers eux…
Ils ont rapidement chuté de leur piédestal pédant… l’armée chinoise prenant bien entendu le contrôle du labo P4… et foutant gentiment dehors les gentils Français…
Parfaits idiots utiles.
On se souviendra longtemps de l’inauguration du labo en février 2017… Avec les tronches ahuries de Bernard Cazeneuve (gnéééééé ! vous vous souvenez… premier ministre !) et d’Yves Lévy (Monsieur Buzyn à la ville, vous savez la gourde ministre de la Santé qui démissionna en catastrophe en février 2020 alors que le virus chinois allait tous nous tuer… pour se présenter… aux élections municipales à Paris, on en rit encore… eh oui le monde est minuscule).
“Wuhan ? Des virus ? Des Chinois ? Le nouveau labo P4 ? Gnéé ! C’est le rayonnement de la Fraônce. Prout !”
Huff affirme aussi : le virus a fuité du labo de Wuhan dès le mois d’août. La Chine allant ensuite jusqu’à répandre une souche… au fameux marché humide de Wuhan en décembre… pour appuyer son conte de fées du pangolin et faire diversion (en réalité ce marché est un marché… de fruits de mer… dès le départ tout est farce).
Et toute l’affaire fut finalement étouffée, conjointement, par les Etats-Unis et la Chine.
Circulez, y’a plus rien à voir.
Voilà résumée la thèse de l’auteur.
Il affirme avoir étudié la pollution atmosphérique à Wuhan (particules fines)… conclusion : les crematoriums tournaient à plein régime en décembre 2019.
Donc il y a eu des milliers de morts…
Pour une méga cité de millions d’habitants (onze !), en hiver, avec une population vieillissante, et avec un air très pollué… il n’y a là AUCUNE surprise, et pas besoin… d’un terrible virus…
On ne pointera jamais assez ce hiatus considérable, au coeur de la psyop.
D’un côté des virus trafiqués en labo, des armes bactériologiques, des recherches interdites, l’idée selon laquelle on pourrait tous mourir… de l’autre… une forme de pneumonie achèvant quelques vieillards déjà malades… et des vagues épidémiques et de contaminations totalement ABSURDES (Wuhan et sa région seulement et pas les autres mégalopoles chinoises, rien dans toute l’Asie du Sud-Est, le nord de l’Italie un peu… l’Ile-de-France et l’est mais pas l’ouest etc.).
Nous savons tous que la terrible pandémie fut… virtuelle., en terme de santé publique. Par contre, les gens qui ont été assassinés (Rivotril, refus de soins etc.), eux on peut les compter, réellement.
Bref. Revenons au bouquin.
Pendant plus de 80 pages (!) Huff parle de sa vie. Sa carrière militaire. Son engagement en Irak… Où il a vu des choses difficiles. A côtoyé les services de sécurité, les espions, les agences US “alphabétiques”. Comme pour démontrer qu’il est un bon patriote, un bon Américain. Il dénonce ensuite… les tentatives d’intimidation contre lui et sa famille (visites domicile, espionnage par drone etc.).
Mais ça n’a aucun intérêt. On se fiche de ses états d’âme et de service.
Il détaille également la vie au sein d’Eco Health. Là encore, c’est pénible.
“The next day I had to travel to Rome, and it took me three and a half hours in an Uber to commute from 45th Street and 10th Avenue to JFK International airport”…
On croit lire un mauvais roman de gare, ambiance Malko Linge…
Il se perd dans des détails dérisoires. Collection d’abréviations. Il cherche à se justifier en permanence.
Pour lui la Covidémence, la cause de la terrible pandémie c’est la… corruption.
C’est Fauci + Baric + Daszak = corruption.
Fermez le ban.
Moderna files several patent applications on or about 2013, and the furin cleavage site in found referenced later in Sars Cov2 patent application filed by Moderna in 2016. The probability of the patented man-made sequence appearing in nature, via natural evolution and natural selection is one in the billions and is statistically impossible. This strongly suggest that the infectious agent Sars Cov2 and the Covid mRNA vaccine were co-developed. In my humble opinion it is impossible that they were not co-developed”.
Autre opinion très forte… Mais qui perd de son mordant face au Réel (c’est Biontech, petite société allemande qui a remporté le cocotier, en s’associant avec Pfizer… Moderna n’étant que l’éternel Poulidor… l’idiot utile dans cette affaire de poison ARNm, un scandale niché dans le scandale et enrobé de scandale).
Bref, un livre qui part dans tous les sens. Décousu. Brouillon.
Et qui vous laissera sur votre faim, viralement parlant…
Lequel conclut gentiment que l’hypothèse de la fuite du labo est la plus probable… !
Ce qui faisait de vous depuis 3 ans un dangereux complotiste à tendances fasciste et poutinophile… devient ainsi par la baguette magique du Système… une hypothèse comme les autres… et même probable ! 😉
Le foutage de gueule est bien sûr incandescent… Et on applaudira au passage l’impeccable timing. Les Etats-Unis continuent de provoquer la Chine, et cherchent à la punir pour son soutien envers la Russie.
L’agence US affirme que de “nouveaux renseignements” permettent aujourd’hui d’étayer cette piste… sans bien entendu les révéler (à noter le sénateur US Rand Paul, un vrai résistant, monte déjà au front pour que ces données soient déclassifiées le plus vite possible).
Mais dans le même temps de nombreuses autres agences américaines continuent d’invalider cette thèse et restent fermement ancrées dans le conte pour enfants de la zoonose et du pangolin (même si on n’a JAMAIS retrouvé le fameux animal hôte, oh quel dommage !).
Et la CIA (sans doute la brique la plus importante au sein de l’état profond US) demeure quant à elle… “neutre”. 😉
On croit rêver…
C’est bien pratique.
Bref, cette pseudo révélation… 3 ans après (!!!) est grotesque mais surtout ne coûte rien aux Etats-Unis.
Car, la thèse de la fuite accidentelle… permet au fond de faire diversion.
C’est la faute à pas de chance ma bonne dame ! Promis juré, cela ne se reproduira plus. On licenciera le gardien du labo, on changera la moquette, et on supprimera les RTT et le bonus de fin d’année du directeur… Et toc !
Cette thèse, 3 ans après, donc après la bataille, une fois que le mal fut consommé… est fort utile ; elle éteint les responsabilités.
L’escroquerie est dans le mot “accident“… Non, ce fut une action délibérée et donc planifiée.
On pourrait parfaitement comprendre les réactions des appareils de sécurité américain et chinois au début, fin 2019, début 2020 face à un pathogène -trafiqué en labo- qui aurait fuité accidentellement ou qu’une tierce partie aurait délibérement répandu.
La peur. La terreur même.
MAIS POURQUOI CONTINUER APRES ?
Passés les premiers mois ? Quand les données démontrèrent clairement que ce virus était une blague ? Une foutaise ?
Les gouvernements auraient dû alors tout faire pour discrètement étouffer l’affaire…
Ils ont fait tout LE CONTRAIRE : ils ont réagi de manière totalement disportionnée, sans aucun lien avec le Réel, et la menace posée.
Ils ont braqué tous les PROJECTEURS sur ce virus… au point de créer une FAUSSE PANDEMIE.
Et la responsabilité de la Chine est considérable puisque c’est elle qui dès le début a mis en scène ce virus.
Les gogos occidentaux ne faisant que suivre après.
C’est là où la thèse Andrew G.Huff nous laisse sur notre faim.
Oui, les USA mouillés, oui la corruption, oui les manips à l’institut de virologie de Wuhan, oui Big Pharma à la recherche de dividendes juteux, oui les crapules Fauci, Baric, Daszak, “Batwoman”, oui les délires “Build Back Better” de Davos et compagnie, oui les délires de psychopathes comme Bill Gates… mais L’ESSENTIEL MANQUE.
Il y a eu planification.
Il y a eu des alliances contrenature (des factions américaines avec Pékin, pour éliminer Trump).
Mais il y a eu surtout des traîtres.
Au final, il y a bien eu un ou des attaquants. Et des victimes.
Il n’y a JAMAIS EU de SYMETRIE, contrairement à ce que suggère le mot (piègé) de “pandémie“.
Il y a eu des GAGNANTS et des PERDANTS.
C’est la question essentielle, posée sur ce blog depuis 2020 : à qui profite le crime ?
Trois ans après, et en terme géopolitique (le seul qui présente un quelconque intérêt, les milliards de Pfizer demeurant accessoires), si on fait le bilan, la feuille de score n’a pas évolué d’un iota : gagnant Chine, perdant Occident.
ECHO BIS
La farce est désormais consommée… Puisque c’est au tour… du FBI de déclarer que tout bien considéré, au bout de 3 ans d’intenses masturbations intellectuelles… il se pourrait… que éventuellement… sans doute… probablement… le virus se soit échappé -accidentellement- du labo.
Pas de bol !
“The FBI has for quite some time now assessed that the origins of the pandemic are most likely a potential lab incident in Wuhan,” Wray told Fox News on Tuesday.
On se gausse car le FBI n’a plus aucune crédibilité… C’est devenu une officine woke, politisée, comme une réunion des Alcooliques Anonymes mais de gauchistes, obsédé par la chasse à la dangereuse extrême-droite homophobe et islamophobe (qui fait des ravages aux USA, comme chacun le sait), et qui à ses heures perdues ment, fait de faux témoignages, monte des dossiers bidons… contre un président en exercice et ses alliés et envoie des agents pour participer à de fausses “insurrections” (le 6 janvier…).
Voilà ce qu’est devenu le FBI.
Christopher Wray est bien entendu en mission commandée. Il s’agit de mettre la pression (? comme d’hab’, les Américains ont tout faux) sur la Chine.
Ce qui leur reviendra dans la gueule, façon boomerang.
