Nous connaissons la lame du rasoir ARNm : les muscles cardiaques endommagés, les menstruations délabrées, les “syndrome de la mort subite des adultes“, les turbo cancers, les décès “soudains“, les décès “inexpliqués” et “les médecins stupéfaits” qui ponctuent la presse… Et que l’on constate bien entendu dans les chiffres…
Ca fait deux ans que ça dure… et cela continue… C’est du réchauffé.
Mais, miracle de la technologie et de l’ingéniosité l’hubris humain… il pourrait y avoir une deuxième lame sur le rasoir Pfizer/Moderna : la baisse de la natalité !
Vous pouvez déjà imaginer le slogan publicitaire dans la bouche de Jack, pardon Jacques, Séguéla :
La première lame vous coupe les couilles, la seconde vous tue.
Et comme notre monde est inclusif, le plus-produit se décline également au féminin !
La première lame vous coupe les ovaires, la seconde vous tue. 😉
Dès la mi-2022, on détecta les premiers signaux d’alerte.
En Suède par exemple. Un odieux substacker complotiste obsédé par les chats et se dissimulant derrière un pseudo ridicule (El Gato Malo) fit un superbe boulot (avec des mises à jour en juillet, novembre 2022).
Pourquoi la Suède ? Parce qu’ils sont bien organisés, propres sur eux, polis, et surtout tellement woke et neuneus qu’ils sont incapables de violer leurs lois, voire même de mentir.
Je sais, c’est fou. 😉
(plus sérieusement : c’est l’unique raison qui explique… leur refus des confinements en 2020 !)
La natalité commença à baisser en Suède… 9 mois après le début de la “vaccination”. Pile poil(e).
Depuis, les données pour toute l’année 2022 ont bel et bien confirmé le phénomène.
La chute atteint 8 % au niveau national… Et dans certains endroits… c’est bien pire.
Lien : https://www.thelocal.se/20230222/swedens-birth-rate-falls-to-lowest-in-17-years
Idem en Suisse où le professeur K. Beck réalisa une étude remarquable.
Là encore, la droiture de l’Helvétie, les lingots d’or, la fondue au fromage, les banques (ah non, pour les banques c’est cuit) est un gage de sérieux, n’est-ce pas ?
Bilan : chute de 10 % des naissances en 2022 ! Dans certaines villes (Zurich par exemple), c’est du -16 % ! Tarif syndical ? Y’a une réduction pour les familles nombreuses ? Vous prenez les tickets restaurants ?
Lien pour une synthèse : https://twitter.com/GabinJean3/status/1580468403076071424
Dans ces deux pays… la baisse des naissances en 2022 peut donc être qualifiée d'”historique” ! Si, si.
Parlons également de la Finlande, Norvège, Danemark, Singapour… ou encore d’autres pays européens.
Et la France ? Je sais, vous piaffez d’impatience !
Cocorico, 2022 est l’année la plus faible… depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale…
Nombre des naissances (métropole + Dom) : -2,2 % par rapport à 2021. Mais la tendance est mauvaise : ainsi sur janvier et février 2023… la baisse nationale atteint 6% (par rapport à janvier et février 2022).
Mais certaines régions plongent (-12 % pour la Nouvelle-Aquitaine, -11 % pour les Pays-de-la-Loire, -10 % pour la Normandie).
La France serait-elle un peu en retard ?
Peut-être… mais il y a je pense une explication sous-jacente : la Seine-Saint-Denis, gros morceau de la plus grosse maternité de France, à savoir l’Ile-de-France, est alimentée en permanence par l’invasion migratoire…
La population augmente… ce qui lui permet d’afficher… une parfaite stabilité par rapport à janvier-février 2022 en terme de nombre de naissances !
Ce phénomène doit toucher d’autres régions/départements, même si à des degrés plus faibles (citons 2 autres portes d’entrée pour les “migrants” : Mayotte limite la casse à -3 %, et la Guyane est stable).
Je reformule : de nombreuses femmes, disons fraîchement arrivées d’Afrique sub-saharienne ou des pays du Maghreb… accouchent en Ile de France… Et elles, elles n’ont pas reçu leurs “doses” réglementaires de produits ARNm…
Désolé de vous faire de la peine, mais ce ne sont pas des Allemandes, des Espagnoles, des Anglaises toutes triplement dosées qui viennent accoucher en France…
Vous l’aurez compris : c’est le profil “migratoire” de la France qui parviendrait à maquiller/masquer/ralentir la chute de la natalité… au niveau national.
Je sais… C’est dur… Mais la covidémence a prouvé depuis le début qu’elle n’était pas… politiquement correcte. 😉
Revenons aux causes.
Certes, ces baisses de natalité peuvent être multifactorielles.
Après tout les gens furent violés psychologiquement, et à répétition, en 2020 et 2021 (la pseudo pandémie)… Leur libido est donc dans les chaussettes (au lieu d’avoir le slip sur les chaussettes ce qui facilite en théorie les accouplements)…
De plus, les femmes sont “stressées“.
Ah le “stress“…
C’est toujours bien pratique le “stress” chez les femmes, car cela permet de tout expliquer… !
Y compris, au hasard, les cycles menstruels démolis par les “vaccins” ARNm… Pardon, par le “stress“.
Ah… ? Mais dites moi il n’y aurait pas un lien entre menstruations et fertilité ? (ça me rappelle vaguement quelque chose en première année de médecine…).
On peut également invoquer la peur : du Covid, du Méchant Poutine, du Réchoffementklimatik, de l’extrême-drouâte, du terrorisme islamique (ah non pardon, c’est fini ça), de la pauvreté, de l’endettement, du chômage, de l’inflation, de l’horrible CO2 dans l’atmosphère, de la surpopulation, de l’épuisement des ressources, de la fonte des glaciers, de la disparition d’espèces animales, etc.
La peur.
La peur au ventre selon l’expression si bien consacrée.
La peur qui bloque le cerveau, la peur qui transforme les ovaires en raisins secs, la peur qui empêche de bander.
Ah ? Là Pfizer possède pourtant une vraie solution, comprendre qui fonctionne : le viagra ! 😉
N’oublions pas non plus les nombreuses pollutions chimiques, physiques, électro-magnétiques (nourriture, air, eau etc.) ainsi que les pollutions mentales (transgenrisme, délires LGBT++, plume dans les fesses, etc.).
Vous riez, d’accord ! Mais avouez que ça ne facilite guère… la reproduction.
Bref, de quoi faire une bonne omelette avec les oeufs… des femmes. Pardon avec leurs ovules.
Enfin… vous connaissez la petite musique : corrélation n’est pas causalité.
Mais les données s’accumulent… et madame Corrélation serre de plus en plus le garrot autour du cou de madame Causalité…
Autant on peut facilement bidonner de nombreux indicateurs (au hasard : des “cas asymptomatiques“, des “hospitalisations“, des “lits de réanimation occupés“, voire même des “morts du Covid“)… autant il est impossible de créer de VRAIS-FAUX ENFANTS sur l’état-civil ! 😉
Soyons donc patients…
L’avenir se décline en deux chemins, clairement identifiés, cartographiés même.
Le premier : l’effet délétère des “vaccins” sur la natalité fut temporaire et limité (en gros pendant les injections). Tout va donc rentrer dans l’ordre statistique durant l’année 2023 et après.
Ouf, sauvés ! La poussière démographique est opportunément glissée sous le tapis. Affaire classée.
Et puis, il y a le deuxième chemin ; le noir, le désespérant, celui de l’Enfer de Dante. Les dégâts sur la fertilité sont irrémédiables…
Comprendre : permanents.
En clair, la baisse du nombre des naissances va se POURSUIVRE, et même s’accentuer (avec le vieillissement de la population), achevant de démolir nos pyramides des âges déjà si fragilisées en Occident… Et donc précipitant notre disparition…
Après le trou dans la couche d’ozone (qui fut -lui- vite rebouché) il y a aura un énorme “trou démographique”, des générations sacrifiées sur l’autel du fameux :
“Tous vaccinés tous protégés… tous stérilisés (et morts). Prout”.
POST-SCRIPTUM
On peut même imaginer… pire.
La fonction stérilisation opérée par les “vaccins ARNm”… pourrait être transmise aux fillettes nées après les injections… via transcription de l’ARNm… dans l’ADN.
Ce qui aurait l’avantage de noyer le poisson (et les futurs foetus, si vous me pardonnez cette expression).
Cette hypothèse effrayante est discutée ici et là.
POST-SCRIPTUM BIS
Vous le savez : tout est politique. Surtout la démographie qui est un des facteurs “lourds” de la puissance.
Alors concrètement, si l’hypothèse de la deuxième lame se vérifie, ça veut dire quoi ?
Cela signifie simplement… l’anéantissement -en gros- des populations occidentales !
L’Afrique continuera -elle- son boom démographique (quoi que les bien pensants puissent raconter… allez parler de “transition démographique” au Niger… et même dans d’autres pays musulmans elle est INVERSEE !)…
L’Inde tiendra le coup. Et la Chine parviendra à atténuer son déclin démographique grâce à son extrême politisation (il suffira de quelques campagnes maoïstes bien velues, on peut faire confiance à Xi Jinping à ce sujet…).
Géo-politiquement, on voit bien la logique, celle des blocs.
La deuxième lame du rasoir achèverait ainsi (c’est le cas de le dire) le processus de sortie de l’Histoire de l’Occident.
Alors, pourquoi serait-il relativement raisonnable d’envisager une intention, intelligente, consciente, derrière une telle attaque contre la natalité ?
Pour une raison logique : l’arme déployée apparaît intelligente.
Je reformule : vous développez un poison pseudo “vaccin” contre une maladie qui ne concerne en rien la vaste majorité de la population mondiale et qui neutralise TOTALEMENT la reproduction (chez les hommes et chez les femmes, pas de jaloux au nom de l’égalité)…
Ce serait beaucoup trop voyant ! On serait dans le scénario d’un film (comme par exemple le très bon “Children of men” en 2006, tiré d’un bouquin).
Alors que là… le poison agit mais subtilement… lentement… Une baisse annuelle de 10 % de la natalité… peut encore s’expliquer (par plusieurs facteurs), de plus cela s’inscrit dans une baisse historique, une baisse tendancielle…
Encore plus subtilement, l’effet pourrait être retardé/dilué de minimum 20 ans… en refilant le mistigri génétique… à la génération (réduite) née post-injections… !
Le résultat à la fin serait le même (anéantissement d’un groupe humain)… mais diablement camouflé grâce à la durée, au brouillard de la “science“.
Je rappelle que durant la covidémence, la distinction “vaccins ARNm / vaccins non ARNm”… a suivi des lignes géopolitiques quasiment parfaites !
Chine, Inde, Russie, Iran etc. (en gros tous les “ennemis”, pardon, les “concurrents” de l’Occident) ont échappé aux produits Pfizer/Moderna.
A l’inverse, tout le camp occidental (l’Amérique du nord, l’Europe et quelques vassaux) a plongé des deux mains dans le brouet ARNm de la startup foireuse franco-américaine (Moderna), et du couple de Turcs-allemands cinglés (Biontech, ils ont développé le “vaccin” en quelques heures, sur un ordi).
On peut me répondre : ça a simplement suivi les lignes de la paranoïa (les Chinois, les Russes seraient FOUS d’accepter de se faire injecter un “vaccin” fabriqué par les Américains en 12 mois à peine, nous sommes bien d’accord ! 😉 ).
Mais… et c’est pour moi l’argument ultime : la Chine aurait pu parfaitement dupliquer/copier ces produits miraculeux (après tout, le pays était en “guerre” contre le couillonavirus, c’est Xi Jinping qui le dit en premier, en février 2020).
La farce est révélée au grand jour quand elle a enfin annoncé l’autorisation de son premier “vaccin” ARNm contre le Covid… mais après la guerre ! Quand tout était terminé (il y a quelques semaines, lire ici).
Le cas de l’Afrique est un peu à part. Et cette dernière n’a pas réellement de fonction géopolitique dans le monde (c’est un gros merdier, un trou noir, vide et rempli en même temps, avec des populations très jeunes).
On peut lui attribuer malgré tout deux rôles : réserve de ressources naturelles et armée de réserve pour déstabiliser l’Europe via les “migrations” (comprendre : “invasions”).
Bref.
L’un des grands points faibles de l’homme est sa mémoire poisson-rouge.
Dans 20 ans… si l’Occident, ruiné, affaibli, envahi, ravagé par des conflits internes voire externes… disparaît… corps et biens… au sens littéral… qui se souviendra du “Covid” ?
Qui se souviendra des “vaccins ARN messager” de Pfizer et Moderna ?
Et surtout qui se souviendra des ordures et des traîtres comme Olivier Véran-“tous vaccinés, tous protégés” ?