Les mois se suivent… et les fonctionnaires de l’Insee éprouvent des sueurs froides. De plus en plus.
Bientôt, ils seront à court de formules, de synonymes voire de litotes.
Egrenons les mois de l’annus horribilis 2023 à la mode des statisticiens au service de l’état :
- Janvier – Un nombre particulièrement faible de naissances
- Février – Un nombre de naissances toujours faible
- Mars – Un nombre de naissances toujours très faible
- Avril – Un nombre de naissances de nouveau très faible
- Mai – La baisse du nombre de naissances se confirme
Roulement de tambours… voici la mise à jour pour le mois de juin… Et donc un bilan semestriel.
Les mecs ne prennent plus aucun risque :
Des naissances au cours du premier semestre 2023 en baisse de 7 % par rapport à 2022
On voit clairement le changement de style… 😉
Désormais, ils s’en tiennent à l’énoncé des chiffres.
Plus d’adjectif ni d’adverbe (faible, très faible, effondrement, inexplicable, stupéfiant, angoissant etc.)
On sent que les mecs ont les miches sur des pains de TNT…
Alors ? Que peut-on dire ?
La baisse -inexpliquée et importante- de la natalité en France se poursuit… et s’aggrave !
Elle s’installe… dans la durée.
Une chute de 6,75 % donc au premier semestre 2023, par rapport à la même période 2022.
24 164 bébés en moins…
En mai, sur cinq mois donc, nous étions à -6,7 % (et en avril : -6,44 %).
Alors même que la population des femmes en âge de procréer (15/44 ans)… ne baisse pas (voir à ce sujet les calculs de Felicittina).
Voici les détails (et les évolutions en %) par région (région d’enregistrement) :
Bref. Les clowns de l’Insee ne méritent que notre mépris (on n’a pas oublié leur comportement pendant la pseudo terrible pandémie).
Le problème de fond demeure.
Des baisses importantes et “inexpliquées” de la natalité se constatent dans plusieurs pays occidentaux en 2022 et/ou 2023.
Ce n’est pas propre et unique à la France. Facteur aggravant…
Qu’ont-ils en commun ? Ah pardon oui, j’avais oublié : la célébration LGBT++ (même en s’enfilant difficile de procréer) et la russophobie.
Pour le moment, on peut encore invoquer la sécheresse asymptomatique (vaginale, cela va de soi), le réchauffement du climat, des esprits, Poutine, l’inflation, les dilatations anales de Burno Lemaire etc…
Sauf que les mois passent… et que plus personne (de sain d’esprit) ne se fait injecter des produits ARNm…
Alors ?
Cela signifie que les dégâts… provoqués par ces produits (Pfizer/Moderna) en 2021 et début 2022… pourraient être… PERMANENTS…
Aïe…
C’est ça l’autre fait majeur… qui se devine dans cette succession de mois… avec toujours un constat identique : moins de bébés.
Au début, il était possible -logique même- d’invoquer des dégâts temporaires (du style je me fait piquouzer, pouf, soit je crève d’une myocardite 48h après, soit mes spermatozoïdes ou mes ovaires partent en week-end à la Baule…)
Mais… les mois passent.
On fera quoi si… l’on doit compter en années après ?
De plus, ce -6,75 % pèse en réalité… beaucoup plus lourd parmi la population d’hommes et de femmes qui tentent de faire un enfant.
Eh oui, ce ne sont pas forcément les mêmes individus qui essayent, chaque mois et qui n’y parviennent pas…
De plus, le cas de la France est particulier… avec une invasion migratoire continue et très soutenue.
De nombreuses femmes étrangères (Maghreb et Afrique noire) viennent accoucher en France… Et, faut-il le préciser… elles sont vierges de tout empoisonnement ARNm.
Ce qui explique selon moi le -5,4 % “seulement” enregistré en Ile-de-France…
Idem pour Mayotte (totalement submergée par les Comoriennes qui viennent accoucher et qui n’ont jamais vu de près ou de loin un pseudo “vaccin” anti-Covid… ni même d’ailleurs le début de la queue d’un virus Sars-Cov2… ).
Phénomène identique en Guyane. Et pour Martinique/Guadeloupe/La Réunion… rappelons la forte opposition locale aux poisons ARNm… énième hasard hasardifiant…
On peut donc commencer à sentir intuitivement que… la couille dans le potage est assez massive…
Enfin, je remets mon graphique “juge de paix” qui permet aux collégiens, aux énarques, aux fonctionnaires de l’Insee, et plus largement à tous les débiles mentaux (je sais ça fait du monde)… de comprendre que NON, moins 6,75 %… CE N’EST ABSOLUMENT PAS NORMAL (d’autant que cette baisse intervient APRES une baisse en 2022 par rapport à 2021…)
On voit bien que sur les 20 dernières années… l’amplitude est max -3 % à +3 %.