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Médicament

Miracle du bibonnage Covid : ivermectine contre cancer

Nos trois harpies se fendent la poire : Big Pharma a commis une grossière erreur.

Je l’avais prédit (pas difficile). Ca commence.

Le bidonnage, la censure, la folie furieuse du “Covid” furent d’une telle ampleur que… de multiples digues ont explosé.

Les digues de la bêtise, de l’étroitesse d’esprit,  de la peur, et surtout les digues de la corruption de Big Pharma.

Nous sommes nombreux, simples quidams, simples curieux, malades mais aussi médecins… à avoir compris que les choses ne tournaient pas rond et qu’il fallait tout revoir, tout remettre en question.

La guerre insensée livrée contre l’HCQ et l’ivermectine depuis 2020… ont paradoxalement excité la soif de connaissance…

Plus vraiment contre le “Covid” (car cette baudruche s’est définitivement dégonflée) mais contre l’éléphant, le véritable éléphant dans notre monde moderne : le cancer.

Comme disait Dieudonné dans son sketch consacré au cancer, véritable chef d’oeuvre de finesse et d’ironie :

“le mot est lâché, coup de tampon sur la carte de membre”. 😉

On a enfin compris que les traitements dits “conventionnels”, c’est-à-dire les chimiothérapies et les rayonnements ionisants (la chirurgie demeurant à part), sont aberrants (dans la plupart des cas).

Et qu’ils ne correspondent qu’à un dogme, une certitude totalement non-scientifique puisque imposée, répétée depuis des décennies, gravée dans le marbre.

Gravée dans le marbre… et surtout monnayée !

L’heure est au “repositionnement” des anciennes molécules, connues, éprouvées, moins toxiques.

the FLCCC Alliance announced that it has partnered with renowned breast cancer physician and researcher Kathleen Ruddy, MD, to conduct an observational study in five U.S. clinics to track patient responses to various adjunct cancer therapies using repurposed drugs and determine improvements in the five-year survival rate to several types of cancer including breast, prostate, lung, and colorectal. (source)

Comme contre le “Sars Cov2” (un virus quasiment surnaturel, chimère mélangeant accident de laboratoire et terrible arme biologique)… il faut essayer les molécules existantes.

Et en particulier celles qu’on nous a ordonné… de négliger, d’oublier, de moquer, de haïr même.

L’ivermectine

Le docteur Marik, la tête pensante de cette étude menée par la FLCCC, le dit très justement :

“This little fungus that grew in a golf course in Japan is scaring the shit out of them.”

L’ivermectine, surnommée la “wonder drug“, qui vient d’un petit organisme découvert dans un seul échantillon de terre prélevé près d’un terrain de golf au sud-ouest de Tokyo au début des années 70… leur fout une pétoche noire

Avant la covidémence, l’ivermectine était totalement ignorée du grand public mais aussi des professionnels (à part des Africains qui guérissaient grâce à elle d’une horrible maladie parasitaire, l’onchocercose… hélas l’Afrique tout le monde s’en tape… c’est un trou noir en terme de communication)…

Le délire absolu imposé durant la covidémence pourrait être ainsi un signe… Le signe d’une grossière erreur commise par Big Pharma.

Cette molécule étonnante, qui ne coûte rien, qui n’appartient à personne (les brevets sont tombés), semble avoir de très, très nombreuses vertus (le docteur Gérard Maudrux a fait pour les francophones un remarquable travail de présentation sur son blog).

Il convient désormais de toutes les lister, méthodiquement, et de tester.

D’oser faire des tests.

C’est le point fondamental.

Il s’est réellement passé quelque chose durant le “Covid”, quelque chose de très positif.

La barrière mentale est tombée.

Nous allons désormais oser.

POST-SCRIPTUM

La curiosité scientifique et le désespoir face aux ravages des traitements “conventionnels”… n’ont pas attendu la covidémence pour s’exprimer et… remuer dans les brancards.

Mais cela restait confiné à des malades, à leurs expériences personnelles. Et bien entendu, peu de médecins osaient s’aventurer sur un tel continent.

Citons 2 exemples de ces cancéreux qui ont dit “ça suffit”, mais il y a en a de très nombreux autres.

-L’Américain Joe Tippens avec son cancer des poumons carabiné et son protocole axé sur le fenbendazole (autre anti-parasite), huile de CBD (extrait cannabis sans THC, mais d’autres utilisent avec THC), etc. … Blog et un impressionnant groupe Facebook.

-Bien avant (1994/2004), l’Anglaise Jane McLelland (col utérus + poumons avec métastases). Son livre a été traduit en Français. Nombreuses molécules (metformine, dipyridamole, loratadine, doxycycline, chloroquine, et compléments alimentaires ou encore vitamine C en intraveineuse à hautes doses).

Elle fut une véritable Sherlock Holmes du cancer, voulant sauver sa peau, et se documentant et expérimentant.

Dans tous les cas, l’idée de base est que le cancer est une maladie métabolique (l’origine génétique étant beaucoup plus réduite qu’on ne le croit).

Et que la première ligne de défense est notre système immunitaire.

C’est lui qu’il faut soigner, muscler, reconstituer… au lieu de l’affaiblir, de le détruire de manière fanatique, obtue, imbécile avec des poisons (les sinistres chimiothérapies à doses massives qui bien entendu détruisent les cellules cancéreuses -pour un temps limité seulement-… mais aussi tout ce qu’il y a autour… c’est-à-dire le corps des malades !).

POST-SCRIPTUM BIS

Le “repositionnement” c’est sortir du carcan -idiot- de l’AMM (autorisation de mise sur le marché).

Ainsi l’ivermectine est le traitement officiel contre l’onchocercose, mais aussi contre la gale (maladie de peau très contagieuse).

On se souvient d’ailleurs de l’Ehpad en Seine-et-Marne qui avant le début de la terrible pandémie fut traité… à l’ivermectine en raison d’une flambée de gale et qui par miracle échappa… à l’hécatombe couillonavirale… !

Enième “mystère mystérieux” (copyright) et énième “corrélation n’est pas causalité prout” (trademark). 😉

Mais qui sait que l’ivermectine… est également le traitement miracle contre… les poux. Une seule dose suffit.

Mais oui. Les poux qui pourrissent la vie de si nombreux parents, depuis toujours, et qui coûtent un pognon de dingue en lotions et autres produits inefficaces ?

Et vous savez qui avait lâché le morceau ? Le professeur Didier Raoult.

Et vous savez en quelle année ? 2013 (dans un article publié dans Le Point) !

Mais voilà… cet usage n’est pas listé dans l’AMM de l’ivermectine !

Donc… CA N’EXISTE PAS aux yeux du système, de ses gardiens, de ses zélotes, de ses esclaves.

Et si vous affirmez le contraire, alors vous devenez un dangereux complotiste, un médecin déviant, un charlatan, voire un terroriste.

Pourquoi voulez-vous que les fabricants de lotions et autres poudres de perlimpinpin… financent les études et recherches ad hoc ?

Pour promouvoir un traitement réellement efficace mais qui ne rapporterait rien ?

Le pognon et donc la corruption.

Voilà le noeud gordien de… la santé.