Quand ça veut pas, ça veut pas.
L’Insee a mis à jour les données relatives aux naissances (en métropole) pour le premier semestre 2024.
Après la chute de presque 7 % en 2023 (par rapport à l’année 2022), on aurait pu espérer une stabilisation, voire même une hausse…
Un p’tit rattrapage ? Des braguettes vaillantes ? Des culottes de compétition ?
Mais voilà, on baisse encore.
-1,93 % (par rapport au premier semestre 2023).
On notera que la sérieuse anomalie 2021 et 2023, imputable aux poisons sûrs et efficaces (et sans aucun lien avec une réduction du nombre des femmes en âge de procréer)… demeure soigneusement étouffée… sous des oripeaux statistiques connus : la natalité descend à la cave ma bonne dame, tout le monde le sait !
C’est un fait que l’on observe en effet dans de nombreux pays, et depuis longtemps déjà.
Sauf que… c’est l’amplitude de cette baisse qu’il faut analyser.
Voici mon graphique aux petits oignons, repeint de frais pour l’occasion.
Il s’agit du pourcentage d’évolution d’une période sur l’autre, ici donc le premier semestre 2024, par rapport au premier semestre 2023 etc., le tout sur 20 ans afin d’ouvrir la focale.
Les petits gris de l’Insee et tous les gogos peuvent raconter ce qu’ils veulent… il s’est bien passé quelque chose en 2021 et 2023. Et non, ce n’est pas la faute de Poutine, du réchauffementklimatik ou de la sale gueule de Sardine Ruisseau (quoique…).
Rappelons en outre que l’invasion migratoire cache -forcément- la forêt des chiffres et de l’anomalie.
Il suffit de se promener en banlieue parisienne pour voir de plus en plus de femmes voilées avec des volées de bambins…
Eh bien malgré cet apport de… euh… sang frais (et non pollué par l’ARNm)… le nombre total de naissances baisse AUSSI en région Ile-de-France (-1,27 % par rapport au premier semestre 2023).
Zut alors !
Mais alors qui va payer vos retraites ? Hein ?
Non, je plaisante… vous n’en aurez pas ! 😉
Mais si… rassurez-vous : des millions d’Africains continueront de débarquer.
Et ils occuperont tous des emplois de fonctionnaires avec des émoluments mahousses et des cotisations sociales proportionnelles… payés par toujours plus de dette publique (que vous paierez, d’une manière ou d’une autre).
Ca s’appelle le cercle vicieux à la française.
Et ça fait quarante ans que les veaux applaudissent des deux mains et veautent pour.
