
L’empire américain fascine par sa nature extrémiste, ultra-violente, psychotique ainsi que par son état de pourrissement avancé.
Les conspis et comploplos les plus aiguisés avaient donc une nouvelle fois raison.
Rappel des faits.
6 janvier 2021. Des manifestants pro-Trump envahissent le Capitole à Washington DC.
Crime suprême contre la République. “Insurrection“. “Tentative de coup d’état” et même “assaut contre le Capitole ! ”
Nous étions à deux doigts -à peine- de l’incendie du Reichstag ! 😉
Résultat : 1 600 patriotes américains seront pourchassés les années suivantes par l’état Biden (FBI, DOJ etc.), harcelés, emprisonnés, torturés pour certains (si, si)… Une épouvante.
En réalité, il y eut bien un coup d’état mais… contre Trump.
Explications.
Le 6 janvier 2021, à midi 45, les flics découvrent 2 bombes artisanales (pipebombs), pas de jaloux l’une près du siège du Democratic National Committee, l’autre chez les Républicains (au Republican National Committee).
C’est-à-dire juste avant l’entrée des “factieux” au Capitole (14h).
Parfait club sandwich avec au milieu l’ouverture de la session conjointe (Chambre + Sénat) destinée à certifier les résultats de l’élection présidentielle de novembre 2020… Heure de début ? 13h le même jour !
Les 2 engins ont été placés… la VEILLE au soir (le 5 janvier donc, vers 20h).
(faites le test autour de vous : personne ne se souvient de ces 2 bombes)
La découverte opportune des bombes et la manifestation qui dégénère (truffée de 250 agents provocateurs du FBI habillés en civil), voilà le prétexte miraculeux, la “crise” qui permit à Nancy Pelosi de suspendre les débats, de faire évacuer les lieux (et de reconvoquer une réunion le soir même en modifiant les règles).
On le voit, dès le début, cette “occasion qui fait le larron” apparaissait trop belle, trop parfaite.

Ces 2 évènements (bombes + manifestation que l’on fait dégénérer) ont été parfaitement coordonnés et ont impacté la psyché des députés et des sénateurs, y compris républicains (dont le premier d’entre-eux : le vice-président Mike Pence).
Ils ont pris peur.
Ils ont été physiquement impressionnés (crainte de l’anarchie et du terrorisme anti-américain à cause des bombes visant les 2 partis).
En conséquence, ils se sont couchés. Préservation du système.
Seules deux objections aux résultats (Arizona + Pennsylvanie) sont mises au vote dans la nuit qui suit (alors que d’autres “swing states” étaient fortement contestés, comme la Géorgie par exemple). Vote négatif.
Le 7 janvier au petit matin, l’élection de Biden est certifiée avec 306 grands électeurs contre 232 pour Trump.
Fondu au noir. Générique de fin.
Vraiment ?
Car presque cinq ans après, crac, coup de théâtre !
On apprend que c’est une femme, Shauni Rae Kerkhoff, officier de la police du Capitole qui est suspectée d’avoir déposé les bombes (enquête ici) !
Pardon ?
La même Kerkhoff prit ensuite un malin plaisir à témoigner contre des manifestants (surprise). Avant de rejoindre… la CIA dans le milieu de l’année 2021 (encore une surprise surprenante) ! 😉
Non, vous ne rêvez pas. La totale.
Voici ce qu’écrit Thomas Massie, représentant républicain (intègre et, c’est à noter, opposé à Trump sur certains dossiers) :
America is waking up today to learn that Capitol Police turned CIA orchestrated the pipe bombs on January 6th, and the FBI has covered it up for over fours years. I questioned FBI Dir. Wray, ATF Dir. Dettlebach, and FBI asst Dir. (over DC) D’Antuono under oath. All played dumb. https://t.co/mrqtNy7fP6
— Thomas Massie (@RepThomasMassie) November 8, 2025
Le FBI disposait dès le début d’une vidéo d’excellente qualité de la femme (masquée) plaçant les engins explosifs. Mais l’équipe en charge de cette partie de l’enquête fut rapidement démantelée. Subitement cela n’intéressait plus l’agence fédérale. Autre surprise.
Le poseur de bombes et l’enquête sabotée par le FBI furent opportunément effacés des médias pendant 2 ans.
Ensuite, le patron du FBI nia avoir en sa possession un quelconque enregistrement. Ensuite, le FBI fut obligé de rendre publique la vidéo… mais après avoir dégradé sa qualité.
Ce point est important : car sur la version originale, on voit le terroriste affecté d’une démarche particulière. La femme policière était une athlète à l’université (avant d’intégrer la police du Capitole). Elle fut opérée d’une fracture du tibia… la faisant légèrement claudiquer par la suite.
Et qui était l’un des dirigeants de la police du Capitole ? Nancy Pelosi en tant que présidente de la Chambre des représentants…
Et qui a refusé systématiquement l’envoi de la garde nationale PLUSIEURS JOURS AVANT la manif pour protéger l’enceinte du bâtiment ? Nancy Pelosi.
Bref, tout devient clair.
Le 6 janvier 2021 fut une opération false flag basée d’abord sur les 2 bombes (résultat garanti) plus la manif des “factieux” que l’on a fait dégénérer en “émeutes” (résultat probable mais non garanti)… le tout destiné à perturber/empêcher les débats et toute contestation des résultats de l’élection de novembre 2020, et à bloquer tout recours devant la Cour suprême.
Donc : un coup d’état.
Ou si vous préférez, le parachèvement du coup d’état qui débuta en réalité avant, bien avant novembre 2020 (covidémence, votes par la poste, émeutes BLM, faux impeachment contre Trump, faux dossier russe, campagne médiatique permanente, etc.).
On peut dater très précisément le début : le 9 novembre 2016, soit le lendemain de l’élection surprise de Trump !
Les élections de novembre 2020 furent ainsi volées.
Biden, caché dans sa cave à cause du grâce au “Covid”, et n’ayant jamais fait campagne durant cette période, ne fut jamais “élu”.
POST-SCRIPTUM
Le scandale est tellement massif, la conspiration si folle que l’administration Trump 2 est manifestement incapable de bouger.
Ces découvertes sont le fait de médias indépendants. Le FBI est toujours aux fraises (et totalement noyauté par les ennemis de Trump). Et Pam Bondi au DOJ (justice) est frigide, pardon congelée.
Le seul élément d’une forme de “passage à la caisse” (en plus de la grâce présidentielle accordée à tous les “insurgés“) ? Nancy Pelosi annonçant cette semaine son départ à la retraite (elle ne se représentera pas).
Coïncidence ?
Trump est victime de sa propre raison d’état si j’ose dire (car maintenant l’état c’est lui).
A l’instar de l’affaire Epstein, de la tentative d’assassinat contre lui (en juillet 2024), ou encore de l’assassinat de Charlie Kirk (sans parler bien sûr de l’assassinat des 2 frères Kennedy en 1963 et 1968)… il ne peut pas exposer l’étendue de la corruption du système américain car cela affaiblirait le pays (en interne et sur la scène internationale).
Je boucle ainsi avec le début de mon article : il est impossible de révéler… la nature violente, psychotique et vicieuse des Etats-Unis (et cela n’a pas commencé avec JFK en 1963, mais bien avant… seconde guerre mondiale, Pearl Harbor, bombardement atomique au Japon, 1ère guerre mondiale, création de la FED, guerre civile, extermination des Indiens, etc.).
Le Rêve américain doit se poursuivre.
Coûte que coûte.
Il n’y aura pas de grands procès. L’état ne peut pas affaiblir l’état.
Trump se vengera sans doute en éliminant certaines personnes (y compris physiquement, des “accidents” et autres “suicides“).
Dans ce cadre, on peut légitimement se poser la question de la durée de survie de Shauni Rae Kerkhoff, si son rôle est confirmé.
Mais Obama n’ira pas en prison (malgré son rôle évident de chef de bande). Ni Biden (il est déjà mort de toutes les façons), ni Pelosi etc.
Le système doit se survivre à lui-même.
The show must go on.

