Sanofi a indiqué mardi stopper le développement de son vaccin à ARN messager. Le laboratoire n’ira donc pas en phase 3 d’essais, la dernière étape avant la commercialisation. Celui-ci juge que son traitement contre le Covid-19 arriverait trop tard sur le marché. (source Europe 1)
Sanofi, la loose française. Une forme d’art de vivre ?
Mais un truc nous chiffonne : d’un côté Pfizer et Moderna ont développé leur produit ARN messager… en un week-end (ah ? vous ne saviez pas ? Faut vous mettre à jour du mythe mes chéri(e)s)… de l’autre une grosse société fraônçaise comme Sanofi qui réalise 36 myards d’euros de chiffre d’affaires… après des mois de travail… jette l’éponge.
Ben alors les gars ? Que se passe t-il ? Y’a un soucis ? Une couille dans le potage couillonaviral ?
D’autant que l’argument “on arrive trop tard ” ne tient pas la route… puisque les états passent des commandes pour 2022, 2023 et même 2024 (si, si, le Canada par exemple) !
Ces crétins devraient en outre savoir que le couillonavirus c’est un truc hyper moderne… et qui va le rester longtemps. 😉
De plus, on nous bourre le mou depuis 1 an et demi comme quoi la technologie ARN messager c’est le futuuuuuuuuuuuuur, c’est la fooooooooooolie, c’est la révolutioooooooooooon !
C’est bien simple : l’ARNm est à la médecine ce que le moteur à explosion, la 5G, le vin rouge, la cocaïne, les BMC, Marguerite Duras, les films sur les alunissages, Dirty Harry et les bombes H sont à la civilisation occidentale !
Je schématise, mais vous saisissez le tableau.
Développer un “vaccin” ARNm contre le Covid ouvrirait même la porte de notre “système d’exploitation” comme le disent les neuneus de Moderna, l’air ahuri après avoir consommé trop de drogues de médicaments !
Alors les gars ?
Autre argument : Pfizer a fixé un prix tellement élevé pour son produit, qu’il serait facile de lui casser les reins en appliquant le prix chinois (n’y voyez aucun mauvais jeu de mot, par rapport au couillonavirus).
Bref, il serait facile de niquer Pfizer.
Pourquoi ça coince ? Pourquoi vous coincez ?
C’est une putain de poule aux oeufs d’or, version planétaire, voire même intergalactique. Un tsunami biblique de pognon !
C’est la version 2.0 du Saint Graal ! Guérit tout ! Le cancer, les virus, les hémorroïdes et même la connerie humaine ! Fait revenir l’être aimé en 24 heures et donne les bons numéros au loto (sans oublier le Quinté+) !
Alors les gars ? Et le prestige de la Fraônce, hein ? Merde quand même !
Bref… C’est très mal de tirer sur une ambulance. Certes. Il est si facile de se foutre de la gueule de Sanofi tant leur décision… ne tient pas debout. Il y a bien entendu d’autres raisons, cachées, derrière.
Le couillonavirus n’est que politique.
La désertion en rase campagne virale de Sanofi qui s’écrase comme un étron bien chiasseux… est politique.
Et si l’unique raison est la trouille… alors cette peur… est également politique.
Monsieur Sanofi, tu as peur ? Si oui, de quoi ? 😉
Plus que jamais, sur le front des produits géniques couillonavirants, pseudo vaccins, c’est The Winner Takes It All : Pfizer, toujours Pfizer…(Moderna n’étant qu’un Poulidor de façade)…
Ce simple fait -aberrant- devrait nous interroger…
17 replies on “Course à l’ARN : vaccinobide pour Sanofi”
Sanofi ne peut pas lutter contre Pfizer parce que derrière Pfizer, c’est Vanguard et BlackRock.
Ce n’est pas plus compliqué que cela.
Ca dépasse la seule logique économique, c’est tout simplement parce que les deux premiers possèdent des ramifications supra médicales.
Un rapide tour d’horizon :
Vanguard Group détient des parts chez Michelin, Pernod Ricard, Monsanto, ExxonMobil etc…
Il est le premier actionnaire de Goldman Sachs, d’Apple, BlackRock, également détenteur de parts chez Amazon et d’American Express.
Goldman Sachs, déjà, ca parle mais le BlackRock de Larry Fink, le pote à Macron, c’est encore plus fort :
Rothschild, Élisabeth II du Royaume-Uni, Al Gore, Feu Maurice Strong, Warren Buffett, George Soros et le mexicain Carlos Slim sont ses actionnaires les plus prestigieux.
Strong, l’exilé en Chine sur sa fin de vie, surtout pour échapper à la justice, avait bossé pour l’ONU et le GIEC était issu de la fondation Rockfeller.
Sanofi ne peut pas faire le poids en terme de lobbying, ils se sont couchés moyennant compensationd, très certainement, que nous connaitrons plus tard, ou pas.
*Fait revenir l’être aimé en 24 heures et donne les bons numéros au loto (sans oublier le Quinté+) !*
Dommage que les motos russes sont rares dans notre pays. Ce serait le test ultime qu’il les fasse démarrer, ce produit ! 🤓
J’attendais une amorce d’explication. J’en vois plusieurs: la première pourrait être un éclair de lucidité avec l’idée que d’ici un an l’épidémie sera complètement oubliée (on a déjà eu ce type de scénario dans le passé). La deuxième pourrait être la prise de conscience du fait que les vaccins ARNm ne sont pas miraculeux et peuvent avoir des effets désastreux (type surproduction de la protéine mise en fabrication par l’ARNm). Et n’oublions pas que pour un fabricant de médicaments, il est bien plus juteux de cibler ce qui se renouvelle tous les jours (diabète, tension, cholestérol…) que ce qui se renouvelle tous les 6 mois et qui peut bien plus engager la responsabilité qu’un médicament anodin.
Peut être que finalement Sanofi attends les résultats de la phase 3 des autres vaccins sur les cobayes que nous sommes (enfin pas sur moi).
Toujours pas relancé par ma mutuelle. Ont-ils peur que l’aiguille se torde dans le deltoïde ?
Je partage le même avis que Mark : on est plus sur un terrain scientifique, médical ou politique, mais sur un calcul d’optimisation de captation de la richesse fait par un Vanguard.
Je ne vois plus le monde en terme de blocs : on est désormais dans un bloc unique, pyramidal, régulé, dont la fin est de permettre la conservation du pouvoir, voire son accroissement par un nombre limité de riches familles.
Je ne l’ai pas vu de mes propres yeux, mais ça me semble l’explication la plus en adéquation avec l’évolution actuelle du monde.
J’ai toujours combattu cette explication pognon pour deux raisons.
La première : Elle est trop facile. Oui c’est sûr Pfizer se fait et va se faire des cojones en or massif, en fourguant des gazillons de produits couillonavirants.
Okay. On enfonce une porte ouverte.
Deuxièmement, plus saillant : les sommes en jeu ?… 40 myards (pour Pfizer) ? Elles sont PATHETIQUES, dans le grand ordre des choses…
Le mec qui est vraiment “connecté”, en clair le vrai patron, le mec qui est derrière et tire les ficelles, il prend le thé avec la FED, roule une pelle à la gourde à la BCE.. et zou… ce ne sont pas 40 myards qu’il peut taper instantanément mais DES CENTAINES.
Bref. Ces sommes n’ont aucun rapport avec la taille de l’événement (planétaire) : la covidémence.
Ergo : cela n’est pas l’explication.
C’est simplement un “effet collatéral” (évident) pour des sociétés, leurs cadres dirigeants, et leurs actionnaires.
Mais il faut bien insister : même 40 myards sur un an pour Pfizer, c’est RIDICULE à l’échelle du monde.
Quelques mecs en Israël on piqué jusqu’à 10 milliards d’euros, sur l’Europe, avec l’arnaque “taxe carbone”…
La corruption légale et illégale par an dans le monde… ce sont des sommes vertigineuses.
Les délires des banques centrales depuis des années… ce sont des sommes encore plus vertigineuses.
Donc pardonnez moi mais les dividendes de Pfizer ne pèsent pas bien lourd.
On ne pousse pas un délire “monde d’avant / monde d’après” pour 40 milliards. Ceux qui le pensent doivent arrêter la picole.
Je verrais plutôt cela comme un système de fractal qui présente l’avantage de concilier les différents points de vue par rapport aux sommes mises en jeu.
Par exemple le fractal appliqué à une image possède la propriété de présenter le même “motif” quelque soit le niveau de zoom que l’on applique à l’image.
Prenons une entité X (une société, une banque, une institution, etc)
Il y a le chefaillon qui pilote un groupe de quelques employés, qui rapporte au chef de section qui lui pilote plusieurs groupes,
lequel rapporte au chef de secteurs qui lui pilote plusieurs sections lequel est piloté par le chef de division qui pilote plusieurs secteurs,
lequel etc
et puis on tombe dans le top 3 de l’entité X qui rapportent aux financiers qui pilotent et financent X,
puis c’est reparti pour un tour pour savoir qui pilote les financiers . A la fin on s’aperçoit qu’il n’y a qu’un petit nombre de personnes à la tête de tout.
Quant au “motif” qui est susceptible de se répéter à tous les échelons dans des temps troublés c’est un ensemble de compromission, d’obéissance, de malhonnêteté, de pouvoir, d’intérêt, de peur.
Exemple les membres du conseil scientifique qui prônent la même chose ont tous des conflits d’intérêts avec les labos. A leur échelle ce n’est pas eux évidemment qui manipulent les grosses sommes mais ce qu’ils reçoivent leur suffit pour jouer leur rôle , et on monte comme cela jusqu’au sommet dans un schéma de fractal.
Ce qui est frappant est que d’un point de vue technique cela suit les modèles multi couches des réseaux qui sont à la base d’internet; chaque couche communique avec celle qui est immédiatement sous elle et avec celle qui est immédiatement au dessus d’elle.
Si on prend par exemple un modèle à n couches, une couche k quelconque communique avec la couche k-1 et avec la couche k+1 et c’est tout.
Ainsi le modèle est étanche, protégé et il est facile de le réparer: il suffit de changer la couche défaillante et de lui donner une double interface: “tu pilotes la couche sous toi, tu rapportes à la couche au-dessus de toi point barre”
Donc quand on parle de 40 milliards oui c’est peu si on regarde vers le sommet, mais c’est énorme si on regarde au plus bas.
désolé le spam m’oblige à tronçonner mon message …
J’aime bien cette analogie avec les fractales ou les réseaux
D’une manière générale, il s’agit d’éviter des discontinuité trop visibles et trop fragiles.
Il n’y aura jamais une disparition totale de la classe moyenne, mais peut-être une optimisation de la pyramide des richesses tout en veillant à conserver la stabilité du système.
L’image de la fractale est bonne dans la logique de redondance qui sécurise le réseau.
En gros et c’est ce qu’il se passe sur le net mondial, la chute de serveurs principaux n’est pas synonyme d’effondrement général de la technostructure.
Les miitaires ricains avaient posé ce prérequis dans l’Arpanet.
Cela étant dit, il semblerait que les organisations humaines, jusqu’ici très hiérarchisées, vont copier l’organisation réticulaire du net, il y aura toujours une verticalité, mais directement du sommet vers la base, l’intermédaire sera réticulaire, transversale, avec des redondances.
Dans la logique de Trustisations économiques que les mondialistes mettent en place, la chute d’un pays, d’une région, d’une ville, d’un quartier, d’un individu, n’aura pas d’impact sur le Trust global.
Le Polonais, le Hongrois, le Philippin sera en capacité de faire le job à la place du Français, de l’Anglais, de l’Allemand ou de l’Italien.
Exemples non exhaustifs.
D’ou déjà et ce, depuis quelques années, des transferts de connaissances, donc de compétences vers les pays à main d’oeuvre moins chère.
En réalité, ce furent les premières pierres de l’édifice de l’organisation réticulaire mondiale imaginées par les architectes de la secte.
Les deux thèses ne sont pas incompatibles.
Vanguard, BlackRock, pour la logistique, si je puis dire, le tout piloté par McKinsey pour la stratégie covidémente, comme en France, en soutien de Macron et du gouvernement.
McKinsey a des compétences transdisciplinaires, BlackRock, par exemple, a les outils d’analyses et les actionnaires alimentent la pompe à fric, la Fed, par exemple, a eu recours à BlackRock lors de la crise de 2008 dite des subprimes.
Je pense que nous vivons, en ce moment même, un coup d’Etat de tout ce “petit” monde, un entrisme qui pèse très lourd sur le plan financier.
Un Hold up organisé, planifié et financé sur l’âme et le corps des peuples, probablement même que ça ira jusqu’à la spoilation de leurs avoirs matériels, si l’on en croit Davos et Schwab.
Effectivement, un écrasement de la classe moyenne possédante afin de clarifier la situation : L’Elite tout en haut possèdera et en bas, les esclaves travailleront pour eux, sans rdechigner et en étant heureux.
Pour cela, il faut changer de monde, changer les repères, dessiner de nouvelles priorités.
D’ou le sécuritaire à 360° dont le risque écologique, sanitaire et terroriste.
La nouvelle religion universelle frappe à nos portes, il faut donc faire un choix : Ouvrir et servir à jamais Pharaon ou reluquer ses prêtres via le Judas, afin de défendre une certaine idée de la dignité humaine.
Peut-être que c’est parce que Sanofi sait qu’il n’a pas le carnet d’adresse pour obtenir, à la Pfizer, l’absolution quoi qu’il se passe.