En se disculpant… Pfizer prouve sa culpabilité

Voici un cas d’école de juridisme-neuneu (copyright bibi).

Le juridisme-neuneu est utilisé et abusé par les grands de ce monde qui pensent ainsi se mettre à l’abri et faire ce que bon leur semble et qui en réalité revient comme un boomerang en révélant les fautes commises.

Résumons :

-un whistleblower révèle que -en gros- Pfizer a complètement chié ses premiers essais cliniques, a fraudé et a violé ainsi une foule de lois fédérales aux Etats-Unis (faites pour protéger la santé des gens, justement, en encadrant très sévèrement ces tests etc.).

-le whistleblower attaque alors Pfizer en justice (sans l’aide du gouvernement qui bien entendu se cache dans les couches-culottes de Joe Bidet)

-Pfizer ne va pas contester ces fraudes, ne va pas tenter de prouver son innocence, mais va utiliser ce fameux juridisme-neuneu, en déclarant que ces lois ne peuvent pas s’appliquer puisque ces tests cliniques ont été réalisés sous un régime d’exception.

Et que donc il convient simplement de rejeter l’affaire.

Pfizer says the regulations don’t apply to its vaccine contract with the U.S. Department of Defense because the agreement was executed under the department’s Other Transaction Authority (OTA), which gives contract holders the ability to skirt many rules and laws that typically apply to contracts. (source ZeroHedge).

Ce qui est absolument véridique ! Pfizer a raison. 😉

Résumons.

-Pfizer a péché, a violé des lois essentielles. Les conséquences sont et seront peut-être considérables en terme de santé publique, etc.

-Mais dans le contrat signé avec le gouvernement américain, il est stipulé que les lois interdisant ce que Pfizer a fait… ne s’appliquent pas, et donc “allez tous vous faire enculer ” (je synthétise comme d’habitude). 😉

Sur le papier, c’est parfait.

Les dirigeants de Pfizer se sentent si intelligents. Si formidables. Si protégés. Ils rient.

Et les troupes d’avocats qui ont écrit ces fameux contrats savourent leurs millions de dollars amassés.

Champagne.

L’hubris.

Sauf que : si Pfizer a… juridiquement raison, il a moralement tort.

Ces crétins ne comprennent pas (l’hubris toujours) que les lois… sont faites pour être défaites. Réécrites.

Et les contrats déchirés, pour servir ensuite de papier-toilette.

Et que dans tous les mouvements violents, au cours de l’histoire, les lois sont changées… Et les mecs qui se sentaient protégés et inattaquables grâce au juridisme-neuneu… sont les premiers à se retrouver la tête sur l’échaffaud.

Avant de la perdre. La tête…

Si les produits ARNm fabriqués par Pfizer se révèlent dangereux pour la santé provoquant une multiplication de blessures et mêmes de décès… pensez-vous que les CENTAINES DE MILLIONS de personnes dans le monde qui furent injectées avec ces produits… vont se dire :

Ah ben ouais, zut, c’est vrai, les contrats sont béton, c’est écrit dessus comme le Port-Salut, on ne peut rien faire, Pfizer a raison. Dommage. Pardon de vous avoir dérangé. On s’excuse. Prout.

Poser la question c’est y répondre. 😉

Ces gens deviendront fous enragés et exigeront non pas de l’argent (ou des nouvelles lois), ni des peines de prison… mais DU SANG.

Ignorer cette évidence risque de conduire à des tragédies encore plus nombreuses.

Et cette affaire n’est pas anodine (je ne parle pas de la santé des gens, problématique évidente ici) mais elle agit comme révélateur pour notre civilisation.

Le juridisme-neuneu est ainsi devenu l’épitome de la dégénérescence de l’esprit occidental… qui a oublié qu’une loi qui n’est pas juste… n’a pour simple valeur (et mérite) que le prix du papier sur lequel on l’imprime.