Une étude choc, menée par 1 canadien et 2 Français : Denis G. Rancourt, Dr Marine Baudin et Dr Jérémie Mercier.
Les gens intelligents savent bien que quelque chose est sérieusement pourri au royaume de France… avec des bilans en terme de covidécès si… divergents d’un pays à l’autre.
Et plusieurs médecins et scientifiques ont déjà évoqué les effets délétères des politiques de confinement, et du fameux “restez chez vous, prenez du doliprane, et quand vous serez vraiment en train de crever, on viendra vous chercher“, qui fut la politique sanitaire française, officielle, pendant de trop nombreuses semaines.
(mon commentaire : une politique criminelle).
Les auteurs vont donc plus loin : ils affirment.
Le “pic Covid” en France en terme de mortalité, c’est-à-dire un événement très marqué dans le temps, entre fin mars et fin avril, et qui totalise une sur-mortalité de 30 000 environ, n’est pas un événement épidémiologique naturel.
Il a été provoqué par les politiques publiques ayant cours à ce moment (confinement et confinement des Ephad).
Les auteurs s’appuient sur une analyse statistique des données françaises de mortalité depuis 1946, très précise (Insee), et des comparaisons avec les USA.
L’étude est disponible ici : https://www.researchgate.net/publication/343775235_Evaluation_of_the_virulence_of_SARS-CoV-2_in_France_from_all-cause_mortality_1946-2020
Le fichier PDF peut être téléchargé sur la page.
Mon commentaire : je ne suis ni un statisticien, ni un expert en épidémiologie. Je ne peux donc pas qualifier cette étude.
En revanche, je peux constater qu’elle recouvre parfaitement ce que certains ont déjà dit sur des points clés (les dangers du confinement, les dangers d’isoler les vieillards, et l’invraisemblable prise en charge des malades par les services d’urgence en France) et qu’elle met des chiffres sur l’intuition que nous sommes nombreux à avoir.
Bref, à suivre.
Mais une chose est certaine : le collet de la justice se resserre de plus en plus.
Et viendra le jour, lorsque de nombreuses crapules finiront en prison.
Un communiqué de presse a été diffusé le 21 août qui synthétise l’étude. Encore aucun écho. Bien entendu.
Bref, faites tourner et faites chauffer les experts.
Concernant la bio : “Jérémie Mercier a fait ses études à l’École Normale Supérieure de Lyon (ENS Lyon) en tant que normalien en chimie, puis à l’École des Ponts et Chaussées (ENPC) et à l’École Nationale du Génie Rural, des Eaux et des Forêts (ENGREF). Puis doctorat en recherche environnementale à l’Imperial College de Londres.
Marine Baudin fit sa thèse en microbiologie, en collaboration avec le CentraleSupélec (anciennement Ecole Centrale Paris) et l’Ecole Normale Supérieure de Cachan.”
Il semble donc difficile de dire, a priori, que Mercier et Baudin sont des… clowns. 😉
Quant à Rancourt c’est un ancien professeur de physique à l’Université d’Ottawa.