On vous dit que le couillonavirus a tué 30 000 Français (30 999 très précisément au 15 septembre).
L’état civil… démontre la supercherie. Et on ne peut pas tricher avec l’état civil. C’est le seul juge de paix.
Voici les données de l’Insee : les décès en France toutes causes confondues, par mois.
De janvier à juillet compris. Sur 6 ans.
Les données sont dispo ici : https://www.insee.fr/fr/statistiques/serie/001641603
Par rapport à la moyenne (janvier/juillet) 2019 et 2018… La “terrible pandémie” a tué 16 000 personnes en “plus” (de janvier à juillet 2020).
C’est-à-dire deux fois moins que le bilan officiel.
ATTENTION. Il y a 2 bémols qui devraient encore réduire ce total différentiel de 16 000 d’ici fin 2020.
-chaque année, en raison du vieillissement de la population, le nombre de décès augmente… naturellement. On voit que sur 2019 cette augmentation n’a pas eu lieu. Ce qui fausse forcément un peu la comparaison avec 2020.
-deuxième bémol : parmi ces 16 000 “sur-tués”, nombreux sont ceux… qui seraient morts durant l’année, avec ou sans Covid, en raison de leur âge mais surtout de leurs nombreuses pathologies.
En clair, le Covid a simplement précipité leur décès de quelques mois… et comme ils ne pourront pas mourir une seconde fois d’ici la fin de l’année… Nous devrions donc voir une “sous-mortalité”, comparée aux années précédentes, sur août, septembre, octobre, novembre et décembre.
-autre précision technique : les données de 2019 et 2020 sont encore “provisoires” (si, si !)… Eh oui l’Insee ce sont des branleurs fonctionnaires, hein, alors faut pas pousser mamie dans les orties…
D’ici à ce qu’un certificat de décès en papier 120 g/m2 velin sur peau de couille, établi à Trifouilly-les-Oies et daté de janvier 2019 ou même janvier 2020 se soit perdu dans les méandres de l’administration frônçaise… Bref, les chiffres évolueront mais à la marge (voire à l’unité).
Au final, à fin décembre, et sur 12 mois, ce total de 16 000 pourrait ainsi être largement divisé par deux.
Et alors, les covidéments devront répondre à cette question : “tout ça… pour ça ? “…
Rappelons que l’Insee et les médias communiquent sur une autre série, à savoir les décès toutes causes confondues, quotidiens depuis le 1er mars, avec comparaison sur 2019, 2018. Ce qui permet de mieux faire ressortir le pic de mortalité de mars et avril, afin de mieux terroriser la population.
C’est une énième malhonnêteté.
Voilà. Même un collégien bas de plafond comprendrait la supercherie de la covidémence en regardant ces données…
On peut donc affirmer que Macron n’a pas besoin d’un Conseil Scientifique et d’autres glandus comme Véran et Salomon, pour comprendre qu’il y a un réel problème avec cette terrible pandémie.
L’évidence est là, sous nos yeux : Macron est en réalité complice.
PS : cet article fait bien écho avec l’étude réalisée par un Anglais, au sujet de la corrélation entre covidécès et… sévérité des épidémies de grippe 2019 et 2018. A lire d’urgence ici.